A mon sens il y a une grande différence en terme de choix pédagogiques relatifs à l’autonomie entre une colo d’ados et une structure d’accueil type Local Jeunes même public. Pourquoi un type serait meilleur que l’autre ??? si le directeur d’un séjour à envie de mettre en place cette notion d’autonomie poussée à son extrême et qu’un autre travallera en sens inversse …. il est simplement primordial que tout cela soit expliqué aux ados et aux familles à eux de choisir ensuite dans quel cadre et quel mode de vacances et/ou de loisirs ils ont envie d’adopter.
Plus y’a de choix, plus il y aura de place ou portes ouvertes pour le maximum de personne. Ne rentrons pas dans le “1 seul système éducatif (école en l’occurence)si tu rentres pas dedans bah … tu t’accroches” …
:coucou:
Bonjour l’autonomie et tous ses amalgames. L’autonomie oui mais limité dans l’espace et dans le temps, dans le cadres d’un réglement respecté.
Mais attention ne pas confondre autonomie et apprentissage de l’autonomie.
Nous on ne veut pas faire la croisière de 48 heures, (elles est commandée les bateaux sont retenus….) c’est nos vacances on fait ce que l’on veut.) Oui mais pas vos caprices. Alors vous faites vos sacs soit pour partir en croisière, soit pour rentrer au pays. Nous avons fait la coisiére. L’apprentissage de l’autonomie, c’est respecter le contrat, les intervenants, les comités et services sociaux qui participent aux financement de leurs vacances.
Pour moi les anims sont des collaborateurs à priorie, je leur fait confiance. Il m’arrive de réviser mon jugement pour certains, mais dans l’ensemble nous assurons de bonnes colos et partageons de bons moments. Ils ont leur part de boulot et d’autonomie. Mes refus à leurs propositions sont toujours motivés et éxpliqués et en règle général bien compris. Il en est de même pour les orientations que je leur donne.
Si j’étais vraiment capable de tout faire, je n’aurait pas besoin d’anim. Or si il m’en manque un seul, je me sens assez embarrassé.
J’ai aussi eu une molle du genou, selon vos critères, avec des prés ados, elle fut formidable.
Quand aux formations BAFA lorsque je lis les appréciations des stagiaires je me pose beaucoups de questions sur leur formation. Rarement un point faible de relevé à coire que nos anims sont tous parfait et rien à corriger en sortant de formation.
Oui…
mais au delà de ces différences sur les méthodes d’apprentissage, se pose peut être l’idée de ce qu’est un pédagogue, un formateur (Bafa), un directeur de formation…
Et dans le cas présenté par Dollie, les capacités d’écoute de celui-ci : quelqu’un qui préfèrera essayer de faire partager ses idées (ou tout au moins de les expliquer par la discution) plutôt que de les imposer… quelqu’un capable de créer le débat…
Et sur le double language : appliquer des idées (par exemple d’autonmie) sur le terrain auprès des enfants et être incapable de se les appliquer à soi même vis à vis d’une équipe d’animation…
Etre capable de se remettre en cause, et ne pas se “cacher” derrière une expérience pour répondre à des interrogations et des points de vues différents…
etc…
Et pour ce qui est de ces idées d’autonomie (dont on débat aussi en ce moment là où je suis concernant les stagiaires Bafa), comme souvent, je pense qu’on va aller très loin dans l’idée, jusqu’à ce que cela n’ait plus de sens, avant de revenir à un équilibre.
Ex sur les bafa (mais ce qui est valable aussi avec des enfants, des jeunes) : le discours (auquel je n’adhère qu’en partie) est de dire : on organise rien à propos du stage. Ce sont les stagiaires qui vont tout mettre en place selon leurs désirs, etc…
Mais… et si l’un des désirs des stagiaires est justement de recevoir des apports de la part des formateurs ? Que ceux ci arrivent avec des domaines d’intervention dans lesquels ils sont “pointus” et ont envie de les faire partager aux stagiaires parce que ça leur semble intéressant sur le terrain ? Des domaines auxquels les stagiaires n’auraient même pas songé ?
Dollie:
Je pense que ce système de “pédagogie nouvelle” est applicable avec quelques contraintes.
Entre autre, il ne faut pas que cela devienne un centre de glande pour anipm. On laisse le choix à l’enfant mais c’est à nous de lui proposer sans cesse des activités, d’exciter son imagination et son envie pour qu’il n’ai pas envie de faire du foot toute la journée.
Sinon, on par dans l’excès inverse et le centre tombe à l’eau
Alors là, Dollie, on va t’interroger jusqu’à ce que tu nous dises de qui il s’agit !
En même temps, si il y avait dans le monde de l’animation des gens qui ont de beaux discours en amont et qui sur le terrain ne vallent pas un clou… ça se serait !
Ce forum m’interpelle. Je vous explique. Ce week-end j’ai été (avec 1 célèbre membre du forum dont je en citerai pas le nom) à 2 jours d eformation pour devenir formatrice bafa. Ona fait des groupes de travail pour proposer 1 séquencede formation aux stagiaires bafa. Le mec avec qui j’étais nous a affirmé de bout en bout qu’il fallait laisser le “champ libre” aux stagiaires bafa, qu’on était pas là “poour lui apporter des connaissances”, qu’ils pouvaient tout apprendre en faisant des “brainstormings”, des débats. Par pour le chapitre “connaissance de l’enfant” (connaissance des différentes tranches d’âge”) il ne voulait surtout pas apporter des connaissances théoriques aux staigiaires ” (“ils ne retiendront rien !” ) et tout faire sous forme de débat… Nous avec l’autre fille de mon groupe on était pas du tout d’accord, mais lui nous a affirmé qu’il était déjà formateur depuis longtemps et qu’il faisait toujours comme ça ! Idem pour le système d’ateliers libres qu’on a évoqué plus haut dans ce post…
D’ailleurs 1 des ses crédos, c’était le rythme de l’enfant. Il était aussi directeur de séjours. Il laissait les gamins dormir jusqu’à pas d’heure (quel que soit leur âge…) et prônait l’autonomie totale.
Pour lui c le gamin qui décide tout et les anim n’ont qu’à respecter sonb choix : ex : s’il veut faire du foot toute la journée, il faut le laisser faire…
Quand on a parlé de l’intérêt d’une activité, pour lui il n’y en a pas, il s’agit avant tout de “distraire l’enfant”, d’où l’intérêt de lui proposer uniquement ce qu’il aime…
Bref je n’étais pas du tout d’accord avec lui et j’étais pas la seule, mais le problème c’est que comme il avait de l’expérience en tant que formateur et directeur il ne se remettait pas du tout en question…
Bref j’espère ne jamais avoir à bosser avec lui…
Merci d em’avoir lue jusqu’au bout, c’était mon coup de gueule de la soirée 😆
Au fait à mon stage pratique on m’a dit que comme j’étais douce et calme, je serais bien avec des maters, ça veut dire que je suis molle du gnoux ?
Ne t’inquiète pas trop eleonore… Salti exagérait volontairement pour mettre en relief un problème récurent. Mais il est évident qu’il ne faut pas généraliser.
Il combat le cliché qui dit qu’une anim “douce et calme” n’est faite que pour des mater…
Quant à celui qui dit que les ados sont plus cool, plus autonome, et donc moins de travail, il a lui aussi la vie dure…
Mais les ados le ressentent bien (tout comme je le ressentais à l’époque…). Même inconsciement, on se tourne toujours vers l’anim qui saura nous stimuler constamment. Nous avions le choix, mais les anims savait si bien présenter les activités que rarement “la glande” n’a été décrétée.
Tout le travail “économisé” sur la vie quot’ grâce à l’autonomie des ados doit être investit dans la sensibilisation et la stimulation de leurs esprits… et ca n’est pas une mince affaire…
J’ecris depuis l’Irlande avec un clavier anglo-saxon : Veuillez excuser l’absence d’accents 🙂
Crakinette a écrit:
[…] mais pour cela , NON, il ne suffit pas de les laisser faire ce qu’ils veulent de leur coté, sans aller voir ce qui s’y passe.
[…]
des ados qui ne se lèvent pas le matin pour prendre leur petit déj, et qui ne se lève pas non plus à midi pour manger, et personne ne s’en apperçoit.
Pour moi, le probleme est seulement dans une partie des situations decrites (en gras). Laisser un groupe d’enfants seuls, sans aller voir toutes les 5 min, est une possibilite. De meme, laisser un ado dormir le matin et meme rater le repas de midi est tout a fait envisageable.
Mais dans ces cas, il s’agit d’un choix, plus que jammais centre sur les envies et besoins de l’enfant, et non de la feneantise ou un manque d’attention, c’est vrai.
Je rejoint tout a fait Bamcar sur l’importance de la construction du cadre des le depart.
Je trouve un peu faciles les propos de la serie “Tu as accepte le job, tu n’as rien dit, donc, tu cautionnes!”. Ils sont frequents sur un forum de discution, ou chacun, au calme, deriere son clavier, peut s’elever contre les pratiques d’une direction.
Par exemple:
chebs78 a écrit:
A l’avenir tu pourra toujours contester avant d’approuver.
[…]
Fallait répondre: “veillez à respectez les besoins de l’enfants”.En principe moi j’aurai répondu “Veuillez la fermer Mr”.
Comme l’avait souleve vassrohm ici, les projets peda reflettent helas trop souvent peu la realite du centre. Pas evident de les dechifrer, voire de lire entre les lignes, pour savoir concretement ce qu’il va se passer. Et en face du directeur, surtout si il a le pouvoir le valider mon stage pratique, j’aurais peut-etre peur de trop la ramener…
Et de même, trop d’autonomie provoque la glande! Observé en stage B.A.F.A durant lequel les stagiaires (à peine plus âgés que les ados, en majorité), laissés libre d’organiser leur aprem’ entre divers ateliers proposés, se réunissent en petit groupes dehors et papotent et papotent… Une semaine de glandouille à 300 euro! Si c’est pas beau, ça! Alors z’imaginez avec les enfants!
L’idée est de trouver un juste milieu: enfants (et animateurs, par leur Equipe de Direction Vénérée) doivent se sentir encadrés, soutenus, écoutés, et voir leurs envies et idées incontestablement prises en compte, sans tomber dans l’assistanat outré et le directivisme.
Quand à ces anims faux-babas style “laissons l’enfant libre” (en fait dans les tréfonds d’eux-même ça veut dire “comme ça je vais pas me casser le cul à imaginer des activités et me stresser avec la Présence…), se sont tout simplement des gens qui s’imaginent avoir trouvé un moyen de passer des p’tites vacances coolos et bien sûr payées. Erreur, les p’tits garszéfilles! Grosse, grosse erreur…
Je mets une majuscule à Présence parce que to me c’est le plus important, donc forcément en totale contradiction avec la notion stupéfiante de “gestion libre”. Ben sinon, franchement, pourquoi des anims?! Pour faire joli, pour faire sérieux, pour rassurer les parents, pour se sentir béatement admiré par une poignée d’ados? Oh yeah!!!!
Je me lâche là, mais bon, en gros, y a du vrai la dedans les cocos, non?!
saltimbanque a écrit:
D’un côté les Ado ont le droit à tous les animateurs “glandus” et de l’autre les maternelle se payent toutes les animatrices “molles du gnoux” et n’ont pas le droit à des anims dynamiques……
Au fait à mon stage pratique on m’a dit que comme j’étais douce et calme, je serais bien avec des maters, ça veut dire que je suis molle du gnoux ? 🙁
Et bien moi je viens de faire une colo ski il y a avait en tout 4 chalets, dans celui où j’etais il y avait 2 groupes de filles (10/12 et 13/15)!
En dehors des activités, c’est à dire entre les heures de ski, elles étaient en totale autonomie!
Au repas elles descendaient au refectoire seules du moment qu’il y avait déja un animateur sur place!
Elles débarrassaient leur plateau quand elles avaient finit et attendaient les autres!
Au temps calme, nous les laissions faire ce qu’elles voulaient, en cas de besoin nous etions dans les couloirs..
Les enfants ont besoin de se sentir libre tout en sachant qu’il y a quelqu’un pour eux en cas de problème!
Eleonore– a écrit:
“veillez à bien respecter l’ordre hiérarchique” c’est pas abusé ?
Fallait répondre: “veillez à respectez les besoins de l’enfants”.
En principe moi j’aurai répondu “Veuillez la fermer Mr”.
En tout cas bon courage pour vos prochaines colo Crakinette et Eleonore…
Avt la colo je n’étais jms allée sur le centre j’avais juste eu le dirlo au tél pr me dire a quelle heure je devais etre a la gare pr le convoyage, mais c’est vrmt tout. Et on ne pouvait pas parler avc lui, c’etait jms de sa faute, ou alors on était trop nuls et inconscients parceque on était prêts à laisser un enfant monter seul un escalier ! Enfin bref pas de discussion possible, mais au moins ca m’a appris qu’avt ma prochaine colo je lirai bien le projet péda pr voir si je partage les idées de la direction.
Ah oui pr ce qui est de la discussion avc le directeur, on a tous essayé, et résultat, les stagiaires ont eu comme apréciation: “veillez à bien respecter l’ordre hiérarchique” c’est pas abusé ?
Vous n’avez jamais eu de temps de discution pendant la colo? Et pendant les réunions de prépa avant la colo l’organisation et le déroulement n’etait pas déjà mis a plat? Et pas contesté?
Les autres anims qu’en pensent ils? T’as jamais essayer d’en parler avec le dirlo?
Enfin, il y a des choses qui se réglent et se négocient avec le boss.
A l’avenir tu pourra toujours contester avant d’approuver.
Salut et @tout @llure :coucoub:.
Non non y’avait même pas de projet péda, le directeur s’est justifié en disant qu’il avait été prévenu peu de temps avant pour la colo donc pas de temps. Enfin toute façon dans ce centre y’avait plein de trucs qui tournaient pas rond, ils voulaient se faire du fric le plus possible, que ce soit sur notre dos ou sur celui des enfants je crois. Mais pour en revenir au sujet, les enfants avaient entre 7 et 15 ans. Bon a la limite que ce soit dangereux de laisser un petit de 7 ans monter seul un escalier je peux le concevoir, et encore. Mais pour ceux qui avaient 15 ans, ils ont du étouffer.
Salut Eleonore.
On a pas tous les elements pour dire “Oui” t’as raison ou “Non”, néanmoins si tu l’as ce ressenti c’est que quelque part l’objectif de l’autonomie de l’enfant n’a pas était accompli.
A priori, d’aprés ce que tu nous expose là et le coup de gueule de crakinette nous montre bien qu’il y a toujours autant de non sens dans les attitudes de nos collégues (Bien sur au niveau de la direction mais aussi aux autres tels les anims.)
Ce son peut être des séjours pour dire qu’effectivement les enfants ont fait un séjours, sans enjeu, sans but.
Vous aviez les projets peda avant de commencer votre colo, il n’y avai rien qui puisse vous mettre la puce à l’oreil?
En même temps je viens de faire une colo où les jeunes n’avaient aucune autonomie (les anims non plus d’ailleurs, on été gérés par le directeur comme une bande de gamins) Et je trouvais ça dur pour les enfants: pdt les temps calmes, ils étaient obligés d’aller en salle d’activité et ne pouvaient pas rester dans leur chambres pour se reposer (c’était une colo ski, donc claquant pour des gamins!) et les animateurs devaient se balader avec leur chambre de référence, en gros leur coller aux basques pour qu’aucun gamin ne soit seul une minute ! Les enfants ne pouvaient même pas remonter seul dans leur chambre quand ils avaient fini leur douche parceque ils pouvaient “glisser dans l’escalier”, il fallait attendre d’avoir 8 enfants pour remonter. Ca m’a semblé excessif, je ne sais pas ce que vous en pensez…
Voici une petite aventure qui est arrivée sur un de nos groupes d’ados, où l’autonomie des jeunes était un des objectifs premiers de l’équipe de direction.
Lors d’un séjour à l’étranger, le directeur a refusé de récupérer tous les papiers d’identité des jeunes (comme demandé par l’organisateur), leur laissant le choix de les garder ou de les confier aux anims.
Résultat, le jour du départ, à l’embarquement à l’aéroport, il réalise que 2 ados ont perdu leurs papiers d’identité et ne peuvent pas voyager avec le groupe.
Je passerai les détails de l’organisation mise en place pour faire revenir ces enfants, racheter des bilelts d’avion, refaire des docs à l’ambassade de France.
Le directeur a pretexté l’autonomie des jeunes quand on lui a demandé des explications.
Où est l’autonomie ici ? Une fois que le jeune a perdu ses papiers, est-ce lui qui va se racheter un billet d’avion et prendre en charge seul les démarches à suivre ?
Donner de l’autonomie, c’est permettre aux jeunes de choisir, certes.
Mais il ne faut pas considérer les ados comme étant déjà autonomes. Ce qu’il faut mettre en place, c’est la marche vers plus d’autonomie. Donc mettre en place des cadres précis où on sollicite l’autonomie des ados.
Par exemple, leur confier le budget pour un repas pour faire menus, courses, cuisine.
Ou alors, en itinérant, leur confier l’organisation d’une journée.
Mais c’est un travail progressif. Il faut juger du degré d’autonomie des jeunes du groupe pour voir ce qu’il est sensé de leur proposer.
Commencer un itinérant en disant aux jeunes : “c’est vous qui décidez”, ça n’a pas de sens.
Par contre, l’équipe peut commencer le séjour en organisant le séjour avec les jeunes, puis au fur et à mesure, laisser une plus grande autonomie pour l’organisation de la journée, gestion du budget de la journée, etc.
Rentrer dans une démarche de favorisation de l’autonomie, demande beaucoup de rigueur et de reflexion de la part des adultes. Déveloper l’autonomie des enfants et des ados participe évidemment de notre rôle. Mais il faut savoir définir les cadres dans lequel s’exerce cette démarche et les moyens qu’on se donne pour la mise en oeuvre.
une liberté dans un cadre donné et construit par l’équipe d’animation avec des règles de départ non négociables. Si le cadre est bien fixé dès le départ, normaleùmnt c’est un espace où le sjeunes peuvcent être libres, participants et acteurs. effectivement si c’est un centre où tout est permis et le jeune n’est que consommateur, là ça pose un problème. Si le jeune n’a que des droits et aucuns devoirs
où est l’éducatif. Ne pas confondre autonomie et citoyenneté avec “anarchie !”
Oui j’entends bien tes définitions… Je suis d’accord de dire que le laxisme est une tolérance excessive… Mais certain dico mettent permissif comme synonyme de laxisme… Pour Permissif le Petit Robert propose même “permet trop facilement”.
Personnellment il y a trois courants pédagogiques :
– Laxiste / non interventioniste
– Démocrate
– Directif
A nous de jongler avec ces trois courants sans tomber dans l’un des deux extrêmes…
Mais dans le fond je te rejoints Matim…