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D’où les notions de “laisser faire”, “faire avec”, ou même “faire pour” au delà du “faire faire”.

Comme je le disais, tout dépendra de l’enfant, de ses besoins, de l’évolution du groupe dans la prise d’autonomie et de responsabilité.

Et bien évidemment je n’ai jamais dit que les animateurs ne doivent pas apporter leurs idées bien au contraire. Je n’ai jamais dit que les animateurs doivent jamais imposer. Et je n’ai encore moins dit que l’animateur était en “stand-by” tant que l’envie de l’enfant n’émerge pas. Au contraire.

PS : je serai curieux de voir ton spectacle ; si l’idée m’interesse, elle me fait aussi peur… celà doit être hyper frustrant et flippant pour l’équipe d’animation !

[moilapa]

Les mots non plus ne sont pas neutres…

Je crois pas qu’il s’agisse d’avoir “choqué” mais d’avoir fait réagir…
Ce que n’aurait pas fait un terme comme “ressource” …

Pour ma part, je parlerais de “partenaires”.

Et j’ai un avis différent sur les vacances des enfants.

Exemple avec une des animations que je mets en place cet été : un spectacle (un des 8 spectacles).

Si dans certains l’enfant est créateur, scénariste, acteur, réalisateur de décor (donc dans l’idée d’un enfant en tout point acteur de ses vacances, pour ceux qui ont le souhait de se retrouver sur la scène magistrale devant laquelle ils peuvent passer avec envie, sur laquelle ils auront vu avec leur parent des tournées nationales)
sur l’un de ces spectacles ils sont dans la situation de comédiens engagés pour une pièce de théâtre : ils n’ont ni écrit l’histoire, ni réalisé les marionnettes, ni même les décors !
Et j’explique cette démarche : dans le cadre de ces activités enfants sur un village vacances, vouloir monter un spectacle de cette envergure demanderait que l’on ne fasse que ça, du matin au soir, toute la semaine (et pour le cas de ce spectacle réellement : 3 ans de préparation).
Or ce n’est pas un séjour “spectacle”.
Et ce n’est pas le but. Donc ces enfants, tout en participant à un spectacle trés “pro”, ne découvriront l’hisoire que le matin même du spectacle, en même temps que la distribution des rôles. L’organisation tourne autour de cette idée : “pas de répétition !!!! Et des enfants qui s’amusent comme ils joueraient dans leur chambre avec des poupées (les marionnettes sur table) et l’animateur qui est garant du scénario, de la place de chacun dans l’histoire, garant aussi de faire vivre les idées, les improvisations des enfants.
Le reste de la semaine ils feront tout autre chose.

Voilà où je veux en finir : c’est une expérience que je sais enrichissante pour les enfants, sans doute ne se retrouveront-ils jamais sur une scène comme celle-ci, avec des conditions de jeux pareil.
Et évidemment que ça sera un moment fort en émotion pour les enfants.
Et pour l’animateur : je ne peux faire ce spectacle seul (c’est un spectacle qui tournaient jadis pour 4 acteurs) et je me retrouve sur scène avec des enfants comme partenaires. A devoir leur faire confiance. Avec un petit bout de onze ans qui va avoir à gérer une vingtaine d’éclairages et d’effets visuels, une dizaine d’enfants dissimulés dans le décor en attendant leur tour, 7 micros sans fils qui se baladent avec d’autres petits bouts de choux avec qui je vais échanger pendant une demi-heure…

Donc oui à cette idée que les enfants organisent leurs vacances, mais oui aussi aux idées des animateurs qui ont envie de faire partager quelque chose…

Il ne faut pas avoir peu en tant qu’animateur de proposer, de proposer des actions réfléchies par rapport à nos connaissance de l’enfant, de ses envies, de ses possibilités… et de ses rêves.

Oui pour les idées.
Mais oui aussi pour les surprendre, leur “proposer des voyages”, leur faire partager des passions.

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Il s’agissait simplement d’insister sur le fait que ce sont les enfants qui sont acteurs des leurs vacances et non que les animateurs sont des GO.

Alors peut-être qu’à la place d’outils j’aurai du utiliser ressource… pour moins choquer !

[moilapa]

En quoi ton discours est dangereux ? :

“nous sommes au service des enfants commes des outils au même titre qu’une scie ou q u’un livret d’activité”

En cela que tu parles de personnes comme d’objets. Tout simplement.

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A commencer par le fait, qu’au contraire d’un objet inanimé, nous ne sommes pas neutre.

un fichier d’activité (puisque c’est à celà que j’ai pu comparer) non plus. Je ne metterai pas à disposition un fichier sur la réalisation de bombes artisanales par exemple[/quote]

Si il est évident qu’il faut avoir le soucis de tendre vers ce que souhaite l’enfant, on se doit aussi de proposer, d’amener des choses vers lesquels les enfants n’iraient pas

Ai-je dit le contraire ? J’ai dit “nous suscitons et accompagnons”

Sinon on passerait notre temps à desiner des Winnies l’ourson et à découper des princese Sarah et à refaire la star académy…

Si tu aménage un coin permanent fabrication de cerf-volant, un coin lecture (dans lequel tu choisi bien évidemment les livres), un coin jeu de société (dans lequel également tu ne mets pas tous les jeux du marché), un coin jeux extérieur, un coin arts plastiques,… t’inquiète pas les winnis et la star ac tu n’en verra pas la couleur sur ton centre

C’est un discours qui voudrait que les animateurs soient juste des surveillants qui amènent les enfants de l’intervenant escalade à l’intervenant rafting…

Bien au contraire c’est justement proposer d’autres possibles que le planning imposé par l’organisateur. C’est offrir un richesse de possibilité en accompagnant, en impulsant, en suscitant,…

Doublé souvent d’un soucis de cacher un manque d’originalité, de proposition….

Je ne vois pas ce qui te permet de dire ceci. Bien évidemment ces propositions n’empechent pas bien au contraire l’innovation, le renouvellement, la formation permanente,… ça suppose justement d’avoir des animateurs compétents, très riches, et complémentaires. Bien évidemment, il peut y avoir des animateurs laxistes… mais ceux-là ne se cachent pas longtemps !

En tout cas effrayant pour une personne qui a un poste de responsabilité…

Pourquoi effrayant ? Qu’y a-t-il effrayant de clamer haut et fort que les enfants sont en vacances et que ce sont LEURS vacances et non pas celles des animateurs… que si certains doivent s’éclater c’est avant tout les enfants. Qu’y a-t-il d’effrayant à dire que les CVL sont de lieux de vacances ET d’éducation, que nous ne sommes pas des super héros qui savent tout faire, que au-delà du faire faire, on peut aussi laisser faire, faire avec, ou même faire pour… tout dépendra de l’enfant, de ses besoins, de l’évolution du groupe dans la prise d’autonomie et de responsabilité.

et bien dans la même direction que tes autres prises de positions…

Ah oui, je ne vois pas en quoi mes prises de position pour la reconnaissance d’un statut unique pour TOUS les animateurs volontaires qu’ils soient de collectivité, d’assos, de centres sociaux,… pour éviter des disparité de salaires, des conventions collectives non adaptées (SNAECSO par exemple), des créations d’aasos paramunicpales fictives,… a un rapport avec ma conception (qui est partagée par de nombreuses personnes) des vacances des enfants et de la mission des CVL.

Les animateurs se doivent d’être force de proposition. Ce ne sont pas des pions au service de qui que ce soit. Ni des enfants, ni des structures, des directeurs avec des discours dangereux.
C’est la richesse d’une personne qui fait qu’elle est ou pas un bon animateur…

On est d’accord… mais pour ma part même si effectivement je ne suis pas en accord avec le terme pion, je suis cependant persuadé que nous sommes au services des enfants en tant que groupe et en tant qu’individus.

Cela n’est en rien incompatible avec la prise en compte des souhaits de l’enfant : au contraire : prendre en compte la demande d’un enfant (fabriquer une peluche de girafe par exemple) n’est possible que si l’animateur est capable non seulement de construire cette girafe mais aussi de savoir comment amener l’enfant à construire cette girafe.

Donc savoir faire faire.

Ce qui veut dire que dans ton équipe tu as suffisamment d’animateurs qui savent faire faire toutes les envies les plus farfelues des enfants.

moi je n’ai pas honte de dire à un enfant “désolé, ça je ne sais pas faire mais si tu veux on va le faire ensemble, s’entraider tous les deux,…” Et non je ne suis pas parfait ; c’est comme ça que j’ai appris à jouer à la gamelle (oui je sais j’ai pas vu grand chose en base bafa !), à pêcher les grenouilles, à faire des cerf-volant, à faire du tour de potier, à faire des cabanes,…

[moilapa]

Je suis étonné qu’il y ait si peu de réaction…

J’ajoueterai à mon idée : “On ne se demande plus ce que l’enfant est capable de faire mais ce que l’on est capapble de lui faire-faire.”

Cela n’est en rien incompatible avec la prise en compte des souhaits de l’enfant : au contraire : prendre en compte la demande d’un enfant (fabriquer une peluche de girafe par exemple) n’est possible que si l’animateur est capable non seulement de construire cette girafe mais aussi de savoir comment amener l’enfant à construire cette girafe.

Donc savoir faire faire.

[moilapa]

Discours dangereux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Comparer une personne à un objet !!!!!!!
Surtout dans un milieu où l’on parle de travail social, de respect de la personne…
A commencer par le fait, qu’au contraire d’un objet inanimé, nous ne sommes pas neutre. Nous défendons des idées, nous croyons à certaines choses. Sinon un animateur serait interchangable avec un autre anim’…
Sinon nous pourrions passer allègrement des Francas aux jeunesses du Front national.

Si il est évident qu’il faut avoir le soucis de tendre vers ce que souhaite l’enfant, on se doit aussi de proposer, d’amener des choses vers lesquels les enfants n’iraient pas (méconnaissance, culture différente de la sienne…)
Sinon on passerait notre temps à desiner des Winnies l’ourson et à découper des princese Sarah et à refaire la star académy…

Ce discours, c’est nier la personne, ce qui fait qu’on est unique, ce qui fait qu’une personne sera amener un temps sur la musique classique parce que c’est sa passion…
C’est un discours qui voudrait que les animateurs soient juste des surveillants qui amènent les enfants de l’intervenant escalade à l’intervenant rafting…

Doublé souvent d’un soucis de cacher un manque d’originalité, de proposition….
En tout cas effrayant pour une personne qui a un poste de responsabilité… et bien dans la même direction que tes autres prises de positions…

Les animateurs se doivent d’être force de proposition. Ce ne sont pas des pions au service de qui que ce soit. Ni des enfants, ni des structures, des directeurs avec des discours dangereux.
C’est la richesse d’une personne qui fait qu’elle est ou pas un bon animateur…

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Mais cela sous-entend par exemple de travailler avec cette optique : On ne se demande plus ce que l’enfant est capable de faire mais ce que l’on est capapble de lui faire-faire”.

Effectivement se pose le problème de la compétence mais nous sommes au service de senfants commes des outils au même titre qu’une scie ou qu’un livret d’activité. Nous suscitons et accompagnons (et c’est bien là que doit résider la compétence de l’animateur) mais ce n’est pas à nous de nous positionner sur ce que nous devons (ou pouvons) faire faire mais bine sur ce que l’enfant souhaite faire.

(édité pour mettre en forme la citation)

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il y a plein de thème favorable à une histoire…

le cirque ruiné qui veut décroché un gros contrat mais c’est sans conter sur les opposants (voir topic sur le cirque, il y avait un lien pour un scénario de spectacle que nous avons adapté sur notre CL avec la semaine recrutement, la semaine fabrication du matériel (échasses, balles, bidons d’équilibre), la semaine entrainement et communication (affiches, tracts, radio,…), la semaine de la grande première, la semaine du mauvais sort lancé par le cirque opposé, et la dernière semaine l’adieu à la troupe, le départ en tournée,…

Après le tour du monde, il peut aussi y avoir le tour de france ou d’europe. et là-dessus il y a plein d’histoires : l’enfant dont le cerf-volant s’envole ou dont le chat se sauve (c’est pas mal il laisse des traces dans chaque région, se déguise,…)

Sur 4 semaines c’est peut-être long (sur une ou deux maxi) mais il peut y avoir une super sensi à partir d’une histoire de pirates qui vont de port en port, s’entrainent, entretiennent leurs bateaux, et praparent une bataille finale (avec un autre centre ?) pour découvrir le fameux trésor

[moilapa]

Tu as à disposition une banque de milliers de scénariis : ceux des films, ceux des livres…
Ensuite, en découleront les activités…

que ce soit des classiques de la littérature enfantine, comme chez Collodi, cette marionnette en bois qui va passer par plusieurs étapes initiatiques pour devenir un vrai petit garçon (bien obéissant et sage, comme en rêve toutes les mamans), comme Alice, personnage un peu moins politiquement correct qui affronte les adultes, comme Peter Pan, ou Mowglie dans le livre de la jungle dans un autre registre, ou plus récent, comme Kirikou, Némo ou autres oeuvres moins commerciales…

Sinon part d’un thème de scénario : l’enquête policière, le roman iniatique, l’aventure dans un monde merveilleux… Que ce soit en s’inspirant de scenarii existants (parcourir les Terres du milieu avec les Hobbits, les mains,…) ou en utilisant seulement le visuel : décors, personnages, ou dans le cas d’un roman policier décortiquer l’énigme pour en faire une adaptation…

Ou part d’un lieu de la planète : la banquise, les montagnes de l’Himalaya, la forêt amazonnienne…

un temps de l’histoire : les grands voyages des vikings, les civilisations pré-colombiennes, l’Egypte des pharaons, le Japon des samouraïs…

ou de légendes, comme le peuple de l’Atlantis…

L’autre solution, dans le cas d’une équipe d’animateurs capables de répondre aux demandes des enfants dans tous les domaines : créer cette aventure avec les enfants : vous vivez l’histoire au fur et à mesure que les enfants l’inventent, et vous êtes capables de rebondir si ils vous demandent pour le surlendemain comment construire un pont suspendu, un mamouth ou un bijou merveilleux…

Mais cela sous-entend par exemple de travailler avec cette optique : On ne se demande plus ce que l’enfant est capable de faire mais ce que l’on est capapble de lui faire-faire”.

C’est à dire : le problème, la limite, ce ne sont pas les enfants mais les anim’…

[ptitfouit]

Oui l’idée de partir d’un scénario puis de développer autour n’est pas mal. Mais le problème c’est que l’on tourne toujours autour des même thèmes : faire un tour du monde et découvrir d’autres pays, oubien découvrir d’autres époques, oubien d’autres cultures, …. et d’un été à l’autre on se retrouve avec quasiment les mêmes activités, toujours autours des mêmes sujets bateaux. C’est chiant. A croire qu’on a fait le tour de tout ce qui était faisable, ou plus vraisemblablement que nous manquons tous cruellement d’imagination. 😕 🙁

[sirene]

:coucou:
l’idée de moilapa est intéressante et mélanger les deux idées est super!
je rajoute ça pour mes anims de cet été, ça peut els aider!
:thx: moilapa et :thx: ptifouit

[moilapa]

Salut Ptifouit et bienvenue

Salut Sirène…

Ce que j’aime bien dans l’expérience racontée de Ptifouit, c’est qu’il y a une histoire qui lie les différents thèmes, un fil rouge qui va rendre les activités plus attractives, plus vivantes… certainement plus que pourrait le faire les thèmes eux-mêmes ou une réflexion ” projet d’animation”…
Puisqu’on propose aux enfants d’entrer dans une histoire, d’en être les acteurs… et non d’être consommateurs inactifs d’animations qui collent pourtant au thème choisi par l’équipe.

Peut être, Ptifouit, devrais-tu procéder comme dans l’exemple que tu donnes : partir d’un scénario.

Si par exemple on prend les idées de Sirène :
les enfants ont retrouvé le carnet de voyage d’un célèbre archéologue. Celui-ci est sur les traces de “pilleurs de tombeaux”… au travers des différents continents…

Ou celui de martiens qui découvrent les coutûmes humaines (ce sont les enfants qui leurs expliquent ensuite l’Afrique et ses coutûmes, ses objets…)

Ou un message retrouvé dans une pyramide…

ou un messge d’un voyageur du temps…

[sirene]

mon thème cet été c’est “découverte du monde : culture, contes, musique, sport, …” avec un continent par semaine
1 : afrique : djumbé, awalé, l’égypte,
2 : asie-océanie : contes des milles et une nuits, danse et tatouage tribaux, dragons, éventails, …
3 : europe : carnaval de venise, mythologie grecque,
4 : amériques : les amérindiens, les mayas, le brésil,

voilà, si ça peut t’aider, c’est avec plaisir.

[ptitfouit]

[ptitfouit]

Bonjour à tous !!!

Le cvl dans lequel je travaille cet été organise les activités mensuelles des enfants autour d’un thème général, disons d’un fil rouge, qui est lui-même divisé en quatre sous-thèmes correspondants aux quatre semaines du mois. Ainsi et pour illustrer mes propos, nous avions un été choisis pour fil rouge une histoire d’enlèvement : tout au long du mois, les enfants devaient aider deux personnages à retrouver leur chien enlevé par des bandits. Une rançon avait été demandée, rançon particulière puisqu’il s’agissait pour récupérer le chien de livrer aux kidnappeurs 3 objets bien spéciaux, à savoir une aile de dragon, un cristal de l’Atlantide et une fleur rare du Brésil. Seulement, ces 3 objets ne se trouvaient pour certain ni en France, et pour d’autres n’existaient plus (l’Atlantide à coulé et les dragons ça n’existe plus). Cette histoire constituait donc le fil rouge du mois (l’enlèvement) et les quatre sous-thèmes : en effet, pour trouver les objets les enfants allait devoir : la première semaine, trouver une machine à voyager dans le temps (le thème de la semaine était “Les inventions — l’air”) ; la deuxième semaine grâce à leur machine à voyager dans le temps les enfants allaient au Moyen-Age trouver l’aile de dragon (thème de la semaine “Moyen-Age — le feu”) ; la troisième semaine ils se rendaient sur l’île perdue de l’Atlantide (thème de la semaine “Atlantide — l’eau”) ; et la quatrième semaine ils allaient au Brésil trouver la fleur (thème de la semaine “le Brésil — la terre”). Nous avions couplé les sous-thèmes avec les quatres éléments air-terre-feu-air. Ainsi chaque semaine nous leur proposions des activités en rapports avec l’un des deux sous-thème du moment, et nous nous arrangions pour qu’à chaque début de semaine les enfants trouvent leur centre décoré façon “Moyen-Age”, “Atlantide”, etc… A la fin du mois, les enfants remettaient la rançon et retrouvaint le chien, cet évènement étant suivi par l’annonce de l’arrestation des kidnappeurs. Et le mois finissait par une grande fête.

Si je raconte tout ceci, c’est parce que cet été il va de nouveau falloir trouver un fil rouge et des sous-thèmes, donc si vous avez des propositions à faire, de choses que vous avez déjà mises en place et qui on bien marché, j’apprécierai beaucoup votre aide ! En attendant d’éventuelles réponses, j’espère que ce message pourra en inspirer certains. C’était un chouette mois et les enfants avaient aimé. 🙂

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