Non ? même pas en les reprenant une par une ?
Exemple : combien sont payés vos animateurs chez vous ?
Mais alors : s’agit-il de tes limites ou les limites des idées que tu défends ?
Désolé Moilapa mais je me vois dans l’immédiat dans l’incapacité cérébrale (qui à ses limites !) de pouvoir répondre aux questions philosoficoéconomicoésotérique que tu puisses te poser.
Donc, durant ce séjour, vous auriez pu amener les enfants faire de la voile ?
A leur demande par exemple.
Nous l’avons fait par conviction, pour ne pas rentrer dans un système occupationnel ou l’enfant ne fait que de l’activité pour l’activité en les enchainant les unes derrières les autres.
Et en abordant cette activité autrement que comme “une activité occupationnelle” ?
Puisque ce qui en fait une “activité occupationnelle”, c’est non l’activité mais la façon dont on l’aborde.
“Nous l’avons fait par conviction”. La conviction de qui , Vous, organisateur ? Ok. Et si vous êtes logiques avec vos idées vis à vis des enfants, vous auriez pu participer à une activité voile. Dans le cas où c’est “non”, comment expliquez vous cette contradiction entre les idées et les actions ?
L’activité de consommation c’est un produit d’appel qui attire les parents à inscrire leurs enfants sur un séjour.
Donc, cette “activité voile” n’est un produit de consommation que selon la façon dont on l’aborde ?
Vous pourriez faire un autre séjour avec cette activité voile “au menu” sur place et non en amont dans la “brochure commerciale” ? En donnant du sens à l’activité voile (ce qui est très facile : découverte du milieu marin via un voilier, d’un métier de la mer…) , comme on peut en donner à un jeu coopératif, un spectacle…
A ce propos : comment concilliez-vous une philosophie vis à vis des “activités commerciales” avec le fait que vous vendiez des colos ?
Question dans un autre domaine : combien sont payés vos animateurs ? Si “CEE” combien touchent -ils ? Si ils touchent moins que le smic horaire pour une heure effectuée, comment concilliez-vous les idées que vous défendez avec celles de ce CEE qui permet de ne pas se préoccuper de droits du travail ?
On est donc d’accord que l’on peut amener des enfants faire de la voile dans une colo sans que cela remette en cause les idées mises en avant dans votre projet ?
Que le problème, ce n’est pas que l’activité est payante, mais qu’on lui donne du sens.
Sinon, à moins de proposer aux familles une colo entièrement gratuite, cela n’a aucune cohérence : pourquoi l’animation cerf-volant organisé par l’animateur qui est payante, puique les parents paient le séjour, aurait plus de “consistance philosophique” que l’activité voile ? Activité voile où l’on peut avec l’intervenant discuter objectifs, savoir si l’idée d’aborder son activité correspond à nos valeurs.
Si tu réponds : parce que ça coute cher et que les familles n’ont pas les moyens de payer une colo qui coûterait plus cher à cause des intervenants”.
Est-ce que si les familles en avaient les moyens, vous proposeriez ces intervenants ?
Si c’est “non”, le problème n’est pas le prix des intervenants.
Il s’agit donc d’une position “philosophique” : Et là tu n’as rien expliqué : Qu’est-ce qui fait que l’on refuse l’activité d’un extérieur ? Tentative de garder dans un huit-clos le groupe d’enfants ? Désir de ne pas rencontrer ce qui fait l’économie du lieu où l’on a organsié cette colo (sinon pourquoi la mer plutôt que la montagne, un milieu socio-économique plutôt qu’un autre…)
Comment expliquer philosophiquement ce refus de ce qui fait une partie des rapports entre les hommes depuis la nuit des temps ? Ce système complexe qui fait qu’une personne sait faire des poteries et va échanger ce savoir contre de la monnaie, ce qui reconnait son travail, et cette monnaie (monnaie créée parce que tous ces hommes ne peuvent être en contact directement) qui va lui permettre donc d’échanger son savoir-faire en poterie contre le savoir-faire en ferronnerie de son voisin via un système financier ? Comment l’expliquer aux enfants ? Si cela a été expliqué.
Quelle est la logique ici ? L’objectif vis à vis des enfants notamment ?
Et surtout et enfin : Quel a été votre démarche face aux enfants pour expliquer cette philosophie vis à vis des échanges commerciaux ?
Et il se peut alors que l’on soit d’accord, au contraire de ce que tu avancais…
Moilapa je pense déjà avoir répondu à tes questions et j’ai l’impression que tu mélanges un peu les choses notament les exemples que je donne d’exemples de ce peuvent vivre des enfants en séjour mer et du séjour tel qu’il s’est déroulé.
Non n’avons pas programmé de voile pendant le séjour. Non pas pour couler l’activité économique du loueur de bateaux qui au passage est généralement débordé pendant la saison d’été par son activité !
Nous l’avons fait par conviction, pour ne pas rentrer dans un système occupationnel ou l’enfant ne fait que de l’activité pour l’activité en les enchainant les unes derrières les autres.
On a voulu que se soit leur vacances. Et comme l’a dit l’un d’entre eux sur son évaluation de son séjour : “c’était bien parce qu’on était Libre de faire ce que l’on veut”
L’activité de consommation c’est un produit d’appel qui attire les parents à inscrire leurs enfants sur un séjour. C’est une activité pas forcément choisi par l’enfant et qui est vécu comme un moment d’occupation. Moment qui peut être vécu, certaines fois comme une contrainte par l’enfant.
coloandco a écrit:
DIR-PTR effectivement nous n’avons pas la même conception de la participation.Tous les adhérents peuvent avoir accès à des postes de responsabilité, selon toi, cela veut qu’un enfant de 3, 6, 12, 14, 16 ans peut être membre d’un C.A. à partir ou il y adhère.
3 et 6 ans, ça se discute, et la réponse ne sera sûrement pas dans le cadre d’un conseil d’administration. 12, 14 et 16 ça ne me pose aucun problème, ça me semble même plus que souhaitable si l’on veut proposer une alternative.
Je n’ai pas encore vu d’enfants de 3, 6, 12 ans participer à des C.A d’association au cadre de juniors association.
La formulation n’est pas des plus claire. Il y a des enfants de 12 ans (et moins) qui participent à des Juniors Associations, il y a d’autres dispostifs, les ATEC (Association Temporaires d’Enfants Citoyens), par exemple. Il y a surtout tout ce qui est à inventer dans le cadre de la construction d’une alterntive à un système que l’on juge dépassé…
Durant le séjour les enfants n’ont pas fait de voile. Comme je l’ai déjà écrit notre terrain de jeu était uniquement la mer.
Donc la voile ne fait pas partie de la mer, ne fait pas partie d’un séjour à la mer ?
L’existence du gars qui y gagne sa vie en louant des embarcations, qui vit dans ce pays grâce à cela, et qui y fait vivre le pays, n’est-ce pas une dimension importante quand au choix de l’installation d’une colo ?
Seulement quand sur un séjour mer on ne laisse pas le choix à un enfant si il veux faire de la voile, qu’on lui programme 3 séances et qu’au bout de la deuxième il ne veut pas en faire, on lui dit que ces trois séances et puis c’est tout…
Est-ce à dire, à partir d’un système qui ne prend pas en compte l’enfant, qu’on ne fait donc pas de voile ? qu’on ne propose pas de voile ? Avez-vous proposer aux enfants de faire de la voile ? Pourquoi ?
Nous n’avons fait aucune activité de consommation en rapport avec un séjour en bord de mer “classique” (voile, planche à voile, kayak de mer…).
Quelle est la définition “d’une activité de consommation” ?
Quelle est le sens de la démarche que tu décris ici ?
DIR-PTR effectivement nous n’avons pas la même conception de la participation.
Tous les adhérents peuvent avoir accès à des postes de responsabilité, selon toi, cela veut qu’un enfant de 3, 6, 12, 14, 16 ans peut être membre d’un C.A. à partir ou il y adhère.
Je n’ai pas encore vu d’enfants de 3, 6, 12 ans participer à des C.A d’association au cadre de juniors association.
Moilapa ma réponse ne se voulait pas enfantine mais juste quelque peu provocatrice.
Effectivement, je me suis peut-être emballé en disant que tu n’adhèrais pas à l’idée mais je n’ai pas vu beaucoup d’éléments qui me dises que tu y adhères.
Durant le séjour les enfants n’ont pas fait de voile. Comme je l’ai déjà écrit notre terrain de jeu était uniquement la mer.
coloandco a écrit:
DIR-PTR tu n’as pas bien lu les statuts : “Les mineurs de plus de 17 ans sont éligibles au conseil d’administration.” et non que “seuls les mineurs de plus de 17 ans peuvent participer à l’association” comme tu l’écris.
On ne doit pas avoir tout à fait la même définition de la participation. Pour ma part, je ne la conçois que pleine et entière. Rapporté à une association, ça veut dire que tous les adhérents ont accès à tous les postes de responsabilité.
DIR-PTR tu n’as pas bien lu les statuts : “Les mineurs de plus de 17 ans sont éligibles au conseil d’administration.” et non que “seuls les mineurs de plus de 17 ans peuvent participer à l’association” comme tu l’écris.
Tout a fait d’accord avec toi sur la participation de l’enfant à son éducation. “l’enfant au coeur de ses loisirs” c’est loin d’être une parole en l’air.
Notre volonté est de favoriser le choix de l’enfant dans le déroulement de son temps de loisirs afin de l’amener vers l’autonomie et la responsabilisation.
Nous devons faire émerger les besoins et les attentes des jeunes et non avoir uniquement un discour pyramidale de l’adulte vers l’enfant.
Si on a été 5 animateurs sur le séjour pour 18 enfants c’était bien pour favoriser la proximité et favoriser le lien inter individu et non la relation adulte enfant. C’était aussi pour pouvoir avoir un suivi individuel des enfants et non qu’une gestion de groupe.
coloandco a écrit:
…
DIR-PTR, si notre démarche associative s’incrit dans le cadre dominant qui est d’amener un peu d’éducation dans l’animation, de faire que l’enfant vive ses vacances et ne les subissent pas, d’évaluer un séjour et son pojet pédagogique au delà du simple bilan d’équipe, de favoriser l’autonomie et la responsabilisation des enfants dans les faits et non que sur le papier alors il faut m’expliquer pourquoi 90 % des séjours sont des séjours catalogues ?????
…
Merci de lire attentivement : je parle bien de la démarche associative, et non pas du (des) projet(s) pédagogique(s) développé(s).
L’association se présente comme porteuse d’une alternative et pour autant inscrit sa démarche dans le cadre classique sans même essayer d’aller à ses extrêmes. Pourquoi dans vos statuts est-il précisé que seuls les mineurs de plus de 17 ans peuvent participer à l’association ?
Ce point peut paraître anecdotique, il est loin de l’être. Le cadre dominant de l’éducation est depuis des années (décennies) construit sur la notion des adultes éduquant les enfants. Il me semble que la moindre des choses pour une structure se prétendant alternative est de remettre ça en cause et d’imaginer une réelle participation des enfants à cette éducation. Ce qui ressort d’ailleurs comme volonté dans tes écrits, mais que je ne vois absolument pas traduit dans le cadre associatif, ce qui m’amène à penser que l’on est dans le discours incantatoire et non dans la pratique nouvelle, et non dans la construction d’une alternative…
”C’est sur qu’au vu des réactions lié à ce sujet sur l’animation alternative, je me dis que si personne n’adhère à l’idée celle-ci n’a pas d’avenir. Ne parlons même pas d’un mouvement d’animation alternative, même pas en rêves ?!!!”
C’est très enfantin comme réponse.
Où as-tu vu par exemple dans mes interventions que je “n’adhère pas à l’idée” ? Certes, il y a des posteurs qui ici ont l’habitude de n’intervenir que pour dire “je suis pas d’accord” sans apporter d’argumention, comme peut le faire dir-ptr. Mais la raison d’une intervention sur un forum n’est pas là. Tu relèves à la rigueur la légèreté de l’intervention en question, tu y réponds, et tu déroules tes idées. Tu t’adresses aussi à tout lecteur qui passe par là, intervenant ou pas.
Avoir des idées sur une autre façon d’éduquer, ce n’est pas juste les mettre en place, c’est aussi savoir les défendre. Etre capable de les faire vivre y compris dans un débat. Le but étant aussi de vouloir ralier à sa cause ceux qui ont un fonctionnement différent.
L’animation c’est de la politique.
Nous n’avons fait aucune activité de consommation en rapport avec un séjour en bord de mer “classique” (voile, planche à voile, kayak de mer…).
Jamais les enfants nous ont dit :”et pourquoi on fait pas de voile, planche à voile, kyte surf…”
Seulement quand sur un séjour mer on ne laisse pas le choix à un enfant si il veux faire de la voile, qu’on lui programme 3 séances et qu’au bout de la deuxième il ne veut pas en faire, on lui dit que ces trois séances et puis c’est tout…
Je ne dit pas non plus que les enfants ne doivent pas faire de voile.
Les enfants durant ce séjour ont-ils fait de la voile ? Dans quelles circonstances ?
Je n’ai jamais dit que l’on allait révolutionner l’animation ou que l’on a été novateur dans notre démarche.
Je ne dit pas non plus que les enfants ne doivent pas faire de voile.
Je ne dit pas qu’un séjour ne doit pas s’intégrer dans la réalité économicosociocultiricosportive du lieu ou il est implanté.
Seulement quand sur un séjour mer on ne laisse pas le choix à un enfant si il veux faire de la voile, qu’on lui programme 3 séances et qu’au bout de la deuxième il ne veut pas en faire, on lui dit que ces trois séances et puis c’est tout…
…quand on oblige des gamins à aller tous les après midi à la mer parce que c’est un séjour mer et que ce serait abérement que se ne soit pas comme cela…
…je me dis qu’un peu moins d’activités pour un peu plus de réactivité de la part de l’équipe d’animation cela peu être quelquefois un plus profitable pour l’enfant.
DIR-PTR, si notre démarche associative s’incrit dans le cadre dominant qui est d’amener un peu d’éducation dans l’animation, de faire que l’enfant vive ses vacances et ne les subissent pas, d’évaluer un séjour et son pojet pédagogique au delà du simple bilan d’équipe, de favoriser l’autonomie et la responsabilisation des enfants dans les faits et non que sur le papier alors il faut m’expliquer pourquoi 90 % des séjours sont des séjours catalogues ?????
Moilapa, j’espère que lors de notre séjour on a donner vie aux valeurs de l’éducation populaire en essayant de permettre à l’enfant de s’épanouir lors de ses vacances en le rendant un peu plus responsable et autonome durant son temps de loisir.
Enfant acteur de ses loisirs ou enfant consommateur de ses loisirs il faut choisir. Pour nous c’est tout vu, c’est aussi peut être le point de vue de quelques personnes en animation : mais où sont elles ????
C’est sur qu’au vu des réactions lié à ce sujet sur l’animation alternative, je me dis que si personne n’adhère à l’idée celle-ci n’a pas d’avenir. Ne parlons même pas d’un mouvement d’animation alternative, même pas en rêves ?!!!
Cela ne m’empêchera pas de continuer avec ma p’tite assoce, mes statuts copier coller et mon blog tout fouilli et quelques persones (qui si croient eux) à continuer de militer pour un tel projet utopique soit-il !
Pourquoi les enfants ne feraient-ils pas un tour sur un voilier sur un séjour à la mer ? Pourquoi sur un séjour dans un territoire où l’activité économique est en grande partie tournée vers la mer, un centre ne s’intégrerait-il pas dans cette réalité “socio-économo-culturelle” ?
”parce que pour le reste, y a pas grand chose de nouveau en effet…”
le problème, c’est pas que les idées sur l’éducation nouvelles existent déjà (ça fait des lustres qu’elles existent par exemple dans l’éducation nationale, et pourtant elles ne sont appliquées qu’exceptionnellement) , c’est de ce donner les moyens de les mettre en place.
Or là, on ne peut juger de cela.
Les idées, elles y sont.
Nous n’avons fait aucune activité de consommation en rapport avec un séjour en bord de mer “classique” (voile, planche à voile, kayak de mer…).
Le camping était en face de l’océan qui était simplement un terrain de jeu au travers de la baignade et son lot de découverte aquatique.
Jamais les enfants nous ont dit :”et pourquoi on fait pas de voile, planche à voile, kyte surf…”
Ce qui à été interressant c’ estde voir que les enfants étaient plus demandeur d’aller à l’aire de jeu du camping que de se baigner.
OK pour la coquille.
Pour ce qui est du reste de mes remarques, je ne les trouve absolument pas déconnectées du post mais fondamentales : comment se prétendre alternatif en s’inscrivant dans un copié-collé du cadre dominant ?
Entièrement d’accord avec Moilapa sur l’absence de présentations des résultats, et un peu (beaucoup) sur ma faim après ton début de réponse.
juste une question:
“de ne favoriser aucune activité de consommation” = n’en faire aucune ou bien en limiter le nombre ou bien encore les proposer mais sans en faire “la pub”?
parce que pour le reste, y a pas grand chose de nouveau en effet…
Même si c’est toujours intérressant d’avoir des avis de personnes extérieures, je passe sur les critiques associatives (et en prend bien note) de DIR-PTR qui ne concerne pas le sujet.
Pour répondre à MOILAPA et ses questions :
– Pourrais tu mettre le lien vers ce qu’est ce mouvement ?
– Sa représentativité ?
– Ses valeurs ?
– Ses actions ?
L’idée d’un mouvement d’animation alternative n’est pas de faire revivre “le bon vieux temps” de l’animation mais bien de faire front à l’animation consommation qui nous envahit et donner en réponse qu’il peut exister encore une animation d’éducation. Dit comme cela certe y rien de nouveau pour un certain nombre d’animateurs et d’acteurs de l’animatoin seulement au delà des mots il faut pouvoir, vouloir et réussir à le faire vivre dans l’action.
Pour notre part cela a été notre séjour “expérimental” en 2008.
Pour faire simple, et répondre quelque peu à MOILAPA sur le fait qu’il manque à juste titre un écrit sur le blog tout brouillon 😀 ca à été de :
– laisser le choix de l’enfant de faire “ce qu’il veut” de son séjour (lui permettre de se lever quand il souhaite, de participer ou non aux activités, de gérer son temps librement…)
– de ne favoriser aucune activité de consommation.
– de faire un suivi individuel des enfants au cours du séjour.
En gros pour reprendre la coquille de DIR-PTR cela à été d’adapter notre organisation à l’enfant et non pas à l’enfant de s’adapter à notre organisation.
Merci Crevette.
Edite : merci Dir-tpr
Alors, à moins ne n’avoir pas suffisamment voyager sur le site (ce qui est possible) il manque à mon avis une chose essentielle au delà des idées : c’est comment on a concrètement fait vivre ces idées. Voilà ce qu’a été cette colo. Voilà comment on a répondu à tel questionnement.
Difficile sinon de pouvoir débattre.
Les idées sont intéressantes : maic concrètement qu’elle voie a été cherchée ?
Des liens ?
je crois pas que je vais savoir faire. Je me suis baladé sur le blog, j’ai lu et j’ai compté…
tu cliques sur “vie associative” en haut à droite et après tu descends.
Damned, la crevette est décidément vive.