réponse michmuch
Tu ne comprends pas mon propos ce n’est pas un jugement mais un constat historique
Le lien entre les mouvements de jeunesses et l’État ne date pas du Front populaire mais de Vichy C’est le truc qu’avait trouve Pétain pour tenter d’embrigader la jeunesse
Même si certain haut dirigeant se sont rallier au maréchal en faite cela n’a pas vraiment marché
Après guerre les mouvement de jeunesse ont retrouvé leurs indépendances .
En 60 Maurice Herzog ministre de la jeunesse et des sports sous de Gaulle pour les aider a lutter contre l’hégémonie du PC et de ses courroies de transmission ,a réactivé un dialogue qui a aboutit depuis 50 ans a une cogestion de faite du secteur
Pour comprendre la dérive des mouvements de jeunesse il nécessaire a mon sens de se référer sans tabou au passé
alexis Selinger
Bonjour a tous,
juste un point pour voir si on parle bien de la même chose….
C est quoi pour vous l éducation populaire… G parfois l impression que chacun y met bien ce qu il veut derrière ces mots… Pour argumenter leurs propre valeure…!
D’ autre part sanctuariser un service publique en parlant de l animation… Ça veut dire quoi? L animation as t elle etait a un moment donne dans le secteur publique?
Les syndicats: seul encore porteur des valeurs de l educ pop: faudrait qu on m explique…! Je crois que voilà bien une vision utopiste des syndicats en France surtout en ce qui concerne les acm entre autre….
réponse à Sosvoyage :
Tu cherches désespérément à travers de nombreux messages à faire le lien entre éducation populaire, fédération d’éduc pop’, mouvement de jeunesse et Vichy (Pétain).
Ce rapprochement est pour le moins un peu simpliste et très réducteur. Il faut rappeler la dissolution par de gouvernement de Vichy de la ligue de l’enseignement et des CEMEA. L’UFCV est “suiviste” c’est à dire qu’elle s’oppose pas et qu’elle ne s’aligne pas, elle gère ses affaires courantes POINT. Léo Lagrange et Francas n’existe pas encore. Tu oublies aussi de citer l’école des cadres d’Uriage “conscience contre le maréchalisme”. Si le maréchal fait de la politique de la jeunesse un axe fort de sa politique, il s’appuie sur le scoutisme et surtout pas sur les mouvements d’éducation populaire de l’époque. Il ne faut pas confondre fédération d’éducation populaire, mouvement de jeunesse et scoutisme. Le premier agrément donné par Vichy est le Scoutisme Français. CEMEA, ligue et UFCV n’ont jamais reçu d’agrément…
Le début de la co-gestion du secteur date des années 50 et surtout de la politique du Général de Gaulle (haut commissariat à la Jeunesse M. Herzog). A cette occasion les fédérations ont tout refusé “l’étatisation” du secteur (comme on a pu le voir dans les secteurs de la santé) ou une institutionnalisation (comme on a pu le voir dans le secteur social et/ou caritatif). Les fédérations voulaient leur indépendance et l’argent de l’état… Il reste de cette époque que l’indépendance d’où le virage vers le secteur marchant pour obtenir de l’argent.
Bref, tu n’as pas besoin de parler de Vichy pour démontrer que tu n’es pas d’accord avec l’éducation pop. Tout n’est pas fachisme, maréchaliste ou ….
Quelques lectures historiques sur le sujet te permettrait d’être plus exact dans tes propos.
réponse Michmuch
Globalement c’est une bonne analyse, il manque toutefois un marqueur qui pèse sur les mouvements de jeunesse la cogestion du secteur par les assos et l’Etat.
Ce rapport ambiguë a été primitivement mis en place par Vichy puis a été abandonné dans l’après guerre pour être réactive dans les années 60 par Maurice Herzog ministre de la jeunesse et des sports sous de Gaulle.
Ce partage de pouvoir qui procurait des avantages à ces mouvements de jeunesse est en train de montrer ses limites compte tenu du désengagement pour partie de l’Etat et de l’incapacité de ces fédérations de redéfinir leur rôle dans le cadre d’une société qui a évolué entrainant un changement des besoins et des valeurs.
Comparativement le tourisme social ,a mon sens, tire mieux ses billes du jeu.
Après avoir été au bord du gouffre il a su se renouveler tout en gardant ses fondamentaux et trouver ainsi sa place parmi les offres concurrente du secteur marchand.
alexis Selinger
D’accord avec l’ensemble de ce que tu dis Michmuch en particulier sur le double jeu entretenu par les assos. Je pense aussi que l’Etat a sa part de responsabilité. Au lieu de sanctuariser un service public qui a fait ses preuves, il a participé à son élitement en introduisant et renforçant la concurrence. Ce qui explique la fragilité, la tentative de l’exploitation, le renforcement du fonctionnement marchand.
On est d’accord je pense sur un point. La plupart du secteur de gestion des ACM n’a plus rien à voir avec l’éducation populaire ! Et ne parlons même pas du secteur de gestion des structures de proximité, encore pire. Bien que comme tu dis, quelques structures ici et là font encore oeuvre utile (et parce qu’ils ont résisté à cette évolution), l’ensemble avec en tête les fédés a vendu son âme au capitalisme tout simplement.
L’éduc pop se trouve bien ailleurs. Dans ces assos syndicalistes, les assos de rumue méninges. la différence c’est qu’elles ne savent pas elles qu’elles font de l’éduc pop…
Pendant le temps que je rédigeais un message pour le sujet CEE, celui-ci s’est fait fermé… mais comme je trouve que mon message est intéressant (bin oui, je suis fier de ce que j’écris 🙂 ), je le poste ici. Mon but n’est pas de recréer une polémique sur le CEE mais bien de questionner (ce que je précise en fin de message) la gouvernance des associations du secteur, ce message trouve finalement bien sa place dans ce sujet.
S’il faut le déplacer ou s’il risque de devenir trop polémique, je m’en excuse pas avance.
Les questions du CEE et du professionnalisme sont à replacer dans le contexte historique d’un secteur d’activité…
Rappelons rapidement, la naissance des colonies de vacances date d’un siècle environ, on ne parle à l’époque ni d’association (même si le statut légal est bien celui-là), ni de société mais d’oeuvre. Cette dénomination sera maintenue jusqu’au année 60. La vocation est caritative permettre au enfant d’être en meilleure santé, tout le secteur s’appuie sur le bénévolat, l’engagement (politique, religieux, etc.). l’objet de ses oeuvres sont d’éduquer les enfants our leur permettre de devenir les citoyens, les communistes, les chrétiens ou les protestants de demain. La loi sur l’école publique laïque amène ses oeuvres à devenir des objets politiques ou religieux importants sur fond de conflit entre laïque et religieux…
Ces oeuvres vont progressivement se fédérer en fédération de l’éducation populaire. La massification des départ en colonie commence avec le front populaire mais devient importante à la suite de la guerre. Pour “regonfler” les enfants victime des privations de la guerre, le bol d’air d’un mois pdt les vacances est l’une des réponse proposée par l’état. Ce qui veut dire investissement financier des pouvoirs publics… Ces fédérations d’éducations populaires sont donc des fédérations d’organisateurs de séjours et non pas d’adhérents individuels. Les adhésions individuelles vont apparaître au cours des années 80-90 en réponse à la crise du secteur (baisse massive des financements publiques, apparitions des appel à projet puis des appel d’offre, et baisse de la fréquentation).
Au cours des années 70-80 puis 90, le secteur va progressivement quitter le secteur du “caritatif” pour entrer dans celui du tourisme… Pour autant les organisateurs restent attachés à leur histoire et au courant de l’éducation nouvelle. Chaque fédération va développer le formation des animateurs et des cadres puis diversifier son activité vers le secteur de l’animation socio-Q donc professionnelle : création des BEATEP, etc… C’est en fait au cours de des années 80 que les colonies de vacances entre pleinement dans une évolution massive qui les font tendre vers le secteur du tourisme. C’est seulement en 1976 d’apparait l’annexe 2 de cc de l’animation précisant la notion de personnel pédagogique occasionnel et le fameux 24h travaillé=2h de salaire…
Afin de ne pas déstabiliser le secteur de plus en plus en crise, cette annexe 2 va rester jusqu’à l’apparition de CEE. Les fédération d’éducation populaire qui restent massivement des fédération d’organisateur ont pour beaucoup fait évoluer le secteur pour vendre des séjours… Création de filiale (ligue de l’enseignement) pour distribuer les séjours voire même création “d’agence de voyage” (pour l’ufcv dans les 90 : l’expérience ratée lui a couté qq millions de FF à l’époque) mais n’ont jamais fait évoluer le statut des animateurs. Le CEE est un réhabillage de cette annexe 2 pour la faire entrée dans le droit européen. Qu’est ce que cela à apporter aux animateurs? rien ou pas loin… Nos diverses employeur ont fait évoluer un secteur d’activité de l’oeuvre caritative (ou le bénévolat est la règle) vers l’entreprise touristique (ou le salariat devrait être la règle) en essayant de garder les avantages de l’associatif et en profitant des avantages du secteur commerçant. Le meilleur exemple est que le CEE est ouvert au SA et SARL et que l’annexe 2 leur était interdit. La confusion entretenus entre militant et salarié reste encore aujourd’hui… Qui dit salariat dit syndicalisme… Combien d’animateurs occasionnels sont aujourd’hui syndiqués.
Ce point historique permet de comprendre pourquoi, notre secteur en est là aujourd’hui et la cristallisation des positions. Syndicaliste ou militant? Pour ma part, je ne défend pas vraiment le CEE (d’ailleurs l’ensemble des centrale syndicales étaient contre de la CFDT à SUD) mais je ne demande pas son abrogation définitive immédiate. Ma question est plus sur la gouvernance du secteur : soit l’organisateur entre pleinement dans le secteur touristique et il doit devenir entreprise (SA, SARL voire SCOP), soit il reste dans le secteur de l’éducation populaire (donc à vocation social, caritatif, etc..) et il reste associatif la notion de PE et de PP a un sens et ces organisateurs doivent mettre en place un contrat de travail alternatif permettant le dédomagement et la valorisation des militants.
L’UFCV, la ligue, les CEMEA, Léo Lagrance, ne sont plus des oeuvres par contre l’association “truc machin du quartier de la Fleur à Guéret dans le Creuse” l’est encore. Cette association est peut être adhérente à une fédération pour garder qq avantages négociés (assurance, catalogue, veille juridique, avocats, etc…) mais qu’ont-ils en commun?
Lorsque l’UFCV organise un appro BAFA “animation en village de vacances” que fait-elle de ces valeurs et de l’éducation populaire? pourtant je fais qq stage avec eux… Parce que j’y ai rencontré des personnes (salariés et occasionnels) qui se posent les mêmes questions, que dans les stages je travaille avec les valeurs de l’éducation populaire, et que je crois qu’il faut être à l’intérieur des structures pour les changer…
Dernier point, occasionnel n’est pas synonyme d’incompétence et professionnel n’est pas signe de compétence. Comme chef de service éducatif, je travaille avec bon nombre de travailleurs sociaux (Educ, AS, anim socio-Q, psychologie, etc…) et je peux vous dire que je ne leur confierais pas des enfants en colonie. Pour faire passer les diplômes (DEES, BPJEPS, etc…), je peux vous dire que bien souvent un bon BAFA avec une expérience et une réflexion est bien meilleur.
sosvoyages a écrit :
Bjr a tousIl manque un élément essentiel à ce débat, c’est la définition du rôle de l’Etat et de son pouvoir régalien dans le cadre de la communauté européenne, attendu que celle-ci a pour finalité de réduire les particularismes (monarchisme) de ses membres pour permettre l’émergence à terme d’une gouvernance politique et économique commune.
Sauf à vouloir sortir de ladite communauté européenne avec les risques économiques que cela comporte il n’est plus possible d’opposer le secteur public au secteur privé.
(…)
L’Etat a bien d’autres moyens de réguler le système dans le domaine des colos :
– Appliquer les lois interdisant toute forme de publicité aux associations ;
– Prélever 19,6% de leur chiffre d’affaire quand elle exercent une activité à dominante commerciale sous un statut non lucratif
– Suspendre les subventions publiques quand elles constituent une recette supplémentaire sans contrepartie
– Récupérer ses fonctionnaires “mis à disposition” quand ces pratiques reviennent à une concurrence déloyale avec le secteur marchand
…etc.
L’Europe comprend tres bien ces types d’arguments. non ?
Par contre, l’UE sait reconnaitre l’engagement volontaire et citoyen quand il constitue une originalité désintéressée. Elle vient de reculer sur son projet d’assimiler le régime de pompier volontaire à du travail. Ce projet de réglementation, inspiré par des juristes qui ne connaissaient le monde des secours que depuis qques mois, inspirés par des groupes de pressions minoritaires mais très “bruyants”, a été retiré en urgence quand les autorités ont compris qu’elles allaient mettre en pièce un système qui avait fait ses preuves depuis près de 100 ans…
… Un peu comme le régime non proffessionnel des animateurs bafa et directeurs bafd qui prennent sur leurs congés pour s’investir dans l’encadrement des vacances d’enfants depuis 80 ans …
Salut xxyyzz,
pas de soucis pour l “emprunt”, si les expériences positives des uns peuvent être utiles pour montrer que c est possible et faire changer les choses… C est un bien pour tous…
Effectivement ma liste des motifs qui fait que l organisateur met en place des “freins” a la liberté et au pouvoir de choix du directeur sont diverses… Ma liste ne se voulait pas exhaustive… Et plus haut dans le fil j avais exprime le fait que le mode de gestion ( gestion libre, pc ou autre… Et dans ton cas la non maitrise par le directeur de la gestion des repas) font partie des critères imposes au directeur…
Sinon je suis bien d’ accord avec toi et comme la majorité des gens ici… Le ” Il” c est bien le directeur… LOL
Avé xav
D’abord merci pour ton message 199, au sujet de ta position, vis à vis de l’organisateur, sur le pp d’un séjour.
Je viens de finir une FG BAFDet j’ai cité ton exemple aupres des stagiaires pour montrer qu’un directeur doit essayer de négocier avec l’organisateur du séjour. Ensuite il reussit ou pas, mais au moins il aura essayer.Un proverbe créole Réunionnais dit “Pas capabl lé mort sans essayé”. J’espère que tu excuseras ce petit emprunt.
Entre parenthèse j’ai reposé la question à l’inspecteur de la DRJS qui est venu inspecter le stage, il m’a confirmé que le IL est bien le directeur.
Si quelqu’un ne me croit pas tant pis pour lui.
Pour le reste je suis en gros d’accord avec toi, mais les raisons qui poussent les oeuvres à diminuer le pouvoir du directeur sont diverses. Dans mon département les communes ont une cuisine centrale et le plan alimentaire est constitué par une personne de cette cuisine centrale puis livré en liaison chaude, le service de restauration scolaire impose le personnel de service et il y a quelque fois des conflits entre directeur et le responsable de la partie restauration du lieu de l’accueil.
Au niveau budget certaines oeuvres préférent faire eux mêmes les achats mêmes pédagogiques.
Par ailleurs les raisons que tu évoques existent aussi bien sur.
Pour le aitres points, projets, organisations, pédagogie, je comprends tres bien qu’une association vérifie un peu plus le pp avec un directeur qu’elle ne connaît pas. J’ai en mémoire quelques exemples effarants
Tout a fait d’ accord avec toi, c est bien pour ça que j ai rajoute a mon exemple ( vécu sur le principe de l analyse que de rare fois… Je l admet), mon propos sur la plupart des organismes…. Etc.
Par contre on s aperçoit quand même ( par expérience et en regardant différents sites ou catalogue d’ organisateurs) que de plus en plus ceci s engage dans une démarche de charte et d’ engagement auprès des parents ( volonté de rassurer les parents, arguments commerciales, volontés de palier en amont a de potentiels dysfonctionnement( ne connaissant pas le directeur qui dirigera le séjours)….) qui définissent des pinots précis de l organisations de la vie collective réduisant ainsi le pouvoir du directeur dans les moyens de mises en œuvre du pe…)
C est un constat…
xav43 a écrit :
Maintenant chaque organisme pratique a sa manière, d’ autre font de réelle analyse du PP. Et s en suit un aller retour entre organisateur et directeur… Et de débat pour argumenter sa position… ( j ai vécu le cas avec un ce qui avait des habitudes et des attentes sur le contenu du PP., qui ne correspondait pas a ma vision… Eux aurait voulu un PP. Complet avant la reunion avec l équipe et je leur ai fourni un projet de directeur qui s affine par la suite en PP. Avec l équipe, donc il trouvait mon projet pas assez directif auprès des animateurs… Après discussion avec le responsable charge du suivi de mon séjour, j ai argumente et faut valoir mon point de vue et ai ainsi change sa vision des choses…)
Oui bien sur. Tant mieux si tu as pu changé lavision des choses de l’organisateur.je pense que tu as agis de façon efficace. Mais tu cites un cas sur combien ?
.dans la plupart des cas, comme tu le dis les PP. Sont acceptes directement… Les directeurs ayant les compétences nécessaire a mettre en place un PP. Tenant compte du pe et des différentes contraintes imposées par l organisateur ( contraintes dont je parle plus haut…)
C’est que que j’ai rencontré presque chaque fois. je n’ai fait que tres peu de concession,. Je dois dire que les contraintes étaient matérielles ou financières, J’ai toujours été libre de ma pédagogie.
XXYYZZ a écrit :
Al-Batros a écrit :
gentianen,[quote]L’organisateur redige son PE, le directeur son PP en suivant le PE et l’organisateur s’assure que tous sa est fait et bien fait.
le litige n’est pas là.
Selon toi, qui décide les conditions de mise en oeuvre du pe, l’organisateur ou le directeur?
Al
Selon moi c’est Le Directeur, puis l’oeuvre peut, si elle le désire, vérifier qu”il y a bien concordance. Pour moi mes PP ont toujours été acceptés sans problèmes.
Ce matin j’ai encore posé laquestion à 3 directeurs d’ACM. Pour tous les 3, le il est le directeur du séjour.[/quote]
je serais moins nuancer… Tu dis si il le désire… Les textes l obligent a plus que ce simple désir… L organisateur est garant de la qualité éducative, de la qualité des prestations, de la qualité de Securite… Etc… Il est donc tenu de vérifier les conditions de mise en œuvre du pe par l équipe et de se tenir au courant de se qui se passe sur le séjours…
Maintenant chaque organisme pratique a sa manière, d’ autre font de réelle analyse du PP. Et s en suit un aller retour entre organisateur et directeur… Et de débat pour argumenter sa position… ( j ai vécu le cas avec un ce qui avait des habitudes et des attentes sur le contenu du PP., qui ne correspondait pas a ma vision… Eux aurait voulu un PP. Complet avant la reunion avec l équipe et je leur ai fourni un projet de directeur qui s affine par la suite en PP. Avec l équipe, donc il trouvait mon projet pas assez directif auprès des animateurs… Après discussion avec le responsable charge du suivi de mon séjour, j ai argumente et faut valoir mon point de vue et ai ainsi change sa vision des choses…)
dans la plupart des cas, comme tu le dis les PP. Sont acceptes directement… Les directeurs ayant les compétences nécessaire a mettre en place un PP. Tenant compte du pe et des différentes contraintes imposées par l organisateur ( contraintes dont je parle plus haut…)
Al,
content de voir que ce débat aura quand même servi a quelque chose et que mes efforts n auront pas été vain…
A mon sens sur le fond le texte ne fait qu appuyer sur la responsabilité de l organisateur… Dans son obligation de vérifier entre autre la mise en œuvre du pe par son directeur, dans son obligation d expliciter les moyens de contrôle du deroulement du séjour, d informer des moyens materiels et financier le directeur… Ce qui n est pas un mal…
Si le texte a mon sens, ne donne pas explicitement plus de pouvoir pour décider des moyens de mise en œuvre du pe par le directeur, il a effectivement, pour nombre d’ organisateur mis face a ces obligations, de définir plus d’ obligations pour le directeur dans la mise en œuvre du pe par le directeur et d’ engagement contractuel ( puisqu écrit) auprès des parents…
Alors qu avant très souvent les seules “contraintes” imposees a l organisateur a son directeur étaient liées au respect de la réglementation, aux caractéristiques des locaux et du mode de gestion ( hôtelière ou gestion libre, aux objectifs éducatifs du pe, au budget, et pour certains des organisateurs les activités “vendues” ( selon le type de séjours) ou le thème…. De plus en plus d’ organisateurs ( mais pas tous), éditent des documents a destination des parents ( ou des équipes)( chartes, parent sachez que, engagements… Etc.) qui définissent certains points de mise en œuvre du pe par l équipe ( gestion du linge, gestion de l argent de poche…. Etc…) limitant de ce fait la liberté du directeur dans ces choix de mise en œuvre du pe…
Je sais pas si j ai été clair…!!!
Mais ce n est pas une règle imposée par les textes directement mais induites par ces textes qui ont mis les organisateurs devant un certain nombres d’ obligations….
Al-Batros a écrit :
Attention, Xav, si une amphibologie conduit à un double sens dont un est aberrant, on peu considérer qu’il n’y en a pas.
Wouaiiiii! Ah la tienne Etienne!
Le PP avait disparu du règlement et puis il est revenu timidement dans le règlement dans l’arrêté du 22 juin 2007 et c’est reparti comme en janvier 60.
Al
J’ai envoyé sur le forum plusieurs messages où les mots Projet p&édagogiques sont mentionnés. Il revient en force.Il faudra t’y faire.
Citation :
Morbac a écrit :
Bref, tu me diras si on est au moins d’accord sur ces points :
– l’organisateur ou son représentant écrit le PE
– le directeur ou plus exactement la personne qui assure la direction rédige le PP en collaboration avec son équipe
– l’organisation vérifie la cohérence entre le PE et le PP
– ces deux document doivent être communiqués aux famillesÇa nous fera toujours une base commune…
Je ne sais pas pour Albatros, mais moi je suis d’accord sur ces points.
Al-Batros a écrit :
gentianen,L’organisateur redige son PE, le directeur son PP en suivant le PE et l’organisateur s’assure que tous sa est fait et bien fait.
le litige n’est pas là.
Selon toi, qui décide les conditions de mise en oeuvre du pe, l’organisateur ou le directeur?
Al
Selon moi c’est Le Directeur, puis l’oeuvre peut, si elle le désire, vérifier qu”il y a bien concordance. Pour moi mes PP ont toujours été acceptés sans problèmes.
Ce matin j’ai encore posé laquestion à 3 directeurs d’ACM. Pour tous les 3, le il est le directeur du séjour.
Morbac,
Putain, Al!!! Galilée!!! Rien de moins!
Ben mon cochon tu te mouches pas du coude toi quand tu veux fte comparer à quelqu’un… En même temps tu n’as peut être pas tort on n’est jamais si bien servi que par soi même.
Et puis finalement tu t’en tires pas mal, nous ne sommes pas la sainte inquisition et tu ne finiras pas sur le bucher même si tu es relapse…
T’es pas un rat dans tes compliments, là.
Bref, tu me diras si on est au moins d’accord sur ces points :
– l’organisateur ou son représentant écrit le PE
– le directeur ou plus exactement la personne qui assure la direction rédige le PP en collaboration avec son équipe
– l’organisation vérifie la cohérence entre le PE et le PP
– ces deux document doivent être communiqués aux famillesÇa nous fera toujours une base commune…
On est d’accord sur ces points.
Le litige est ailleurs. Pour moi, il me parait clair que l’organisateur fixe les objectifs éducatifs et en même les conditions de mise en oeuvre du pe, cad les exigences (ou consignes) que le dirlo et l’équipe devront suivre pour atteindre ces objectifs qui sont des buts, des visions de ce que le futur sera.
Al
xav43
heu…. Ben pour moi ni l un ni l autre… Les dispositions mentionnées dans l alinéa précédent c est la mise en œuvre du projet éducatif par la personne qui dirige tel qu il la définit dans un document élabore…. Voilà ce que dit le texte… C est pas plus complique…
T as pas l impression de voir des interprétations partout…
Je comprends que tu dis par cette allégation, que tu as compris dans la phrase du litige:
Le directeur met en oeuvre le pe dans les conditions que le directeur décide lui même et définit dans le pp.
Temporellement, le pe est écrit, ses conditions sont définit par celui qui va le mettre en oeuvre, c’est cohérent.
Ce qui me gêne, c’est que “conditions de mise en oeuvre”, c’est “exigences pour la mise en oeuvre”, alors, que ce soit l’organisateur qui les fixe, ça me convient, mais, que ce soit le directeur, et bé, ça me chagrine.
Ce débat est intéressant parce que tu fais des efforts pour comprendre. Grace à toi, j’ai compris l’amphibologie qui pose ce problème, c’est un bon en avant, pour moi.
Al
xav43
al, par sa lecture de la phrase, estime que le pe définit les conditions de mise en œuvre de lui même par le directeur et son equipe, donnant ainsi moins de liberté a l équipe quand a la mise en œuvre du Pe … Qu auparavent… Je sais pas si g été clair…
Tu as été limpide.
Al
xav43,
Sinon l article precedant qui dit que le pe définit les orientations éducatives des personnes….
… Et les modalités que met en place l organisateur pour être informe du detoulrment du séjour…Et suivi de l article dont nous discutons le sens… Le pe ne définit rien de plus qu avant… On est bien tjrs dans le même cadre…
le litige n’est pas là, non plus.
Dis moi simplement qui, selon toi, décide les conditions de mise en oeuvre du pe, l’organisateur ou le directeur?
Al
gentianen,
L’organisateur redige son PE, le directeur son PP en suivant le PE et l’organisateur s’assure que tous sa est fait et bien fait.
le litige n’est pas là.
Selon toi, qui décide les conditions de mise en oeuvre du pe, l’organisateur ou le directeur?
Al
Putain, Al!!! Galilée!!! Rien de moins!
Ben mon cochon tu te mouches pas du coude toi quand tu veux fte comparer à quelqu’un… En même temps tu n’as peut être pas tort on n’est jamais si bien servi que par soi même.
Et puis finalement tu t’en tires pas mal, nous ne sommes pas la sainte inquisition et tu ne finiras pas sur le bucher même si tu es relapse…
Bref, tu me diras si on est au moins d’accord sur ces points :
– l’organisateur ou son représentant écrit le PE
– le directeur ou plus exactement la personne qui assure la direction rédige le PP en collaboration avec son équipe
– l’organisation vérifie la cohérence entre le PE et le PP
– ces deux document doivent être communiqués aux familles
Ça nous fera toujours une base commune…