XXYYZZ a écrit :
Enfin, pour répondre plus précisément à Ludou,le titre pas compris
sur le titre du sujet déconstruction de la notion de projet ; je trouve, à tort ou à raison, que le mot “déconstruction” indique au départ une notion négative. C’est dommage.
Fort heureusement cela n’a pas empêché un débat passionné et de nombreuses interventions, plus de 50 pages, avec des points de vues différents. Je suis moi même intervenu plusieurs fois.
Le projet c’est comme le planning. cela dépend t pourquoi il le fait et ce que chacun en fait par la suite.
ah ok, je croyais que tu parlais du titre de ce sujet…
Déconstruire, tu peux l’envisager de manière négative (en l’occurrence, j’ai vraiment l’impression que ça l’est concernant le projet vu que tu y es bien accroché), mais il s’agit en fait avant tout de se poser la question “qu’est-ce que je fais lorsque je travaille de telle ou de telle manière ?”. Déconstruire ce n’est pas détruire. C’est… déconstruire.
Avé la foule
3 choses
Au sujet de planning ou non planning.
En effet c’est à chacun de voir s’il juge que certains planning sont néfastes, inutile, utile ou indispensable. Apres cela dépend de la façon de les utiliser en fonction de la situation et des choix de chacun.
Au sujet de l’effectif en séjour de vacances.
Evidement peux être que tout le monde n’a pas la m^me notion du mot satisfaisant.
Cependant je pense que l’on peux faire un séjour satisfaisant où les enfants trouvent leurs comptes avec plus de 50 enfants.
C’est une question d’organisation, de préparation, de volonté, de travail d’équipe et de compétence. Pour moi les maitres mots sont souplesse et adaptation aux différentes situations.
Enfin, pour répondre plus précisément à Ludou,
le titre pas compris
sur le titre du sujet déconstruction de la notion de projet ; je trouve, à tort ou à raison, que le mot “déconstruction” indique au départ une notion négative. C’est dommage.
Fort heureusement cela n’a pas empêché un débat passionné et de nombreuses interventions, plus de 50 pages, avec des points de vues différents. Je suis moi même intervenu plusieurs fois.
Le projet c’est comme le planning. cela dépend t pourquoi il le fait et ce que chacun en fait par la suite.
La langue peux être la meilleure et la pire des choses. Esope. c’est pareil pour le projet et le planning.
Cela m’a m^me ramené 3 ans en arrière ou je modérai encore le forum. 🙂
Allez bye :cass:
Alors ok, c’est une erreur d’interprétation de ma part quand j’ai lu au sujet des plannings:
il y a d’ailleurs énormément de liens entre les pratiques agricoles et les pratiques éducatives. De là à dire qu’on nous prend pour des légumes ).
On organise des séjours comme on gère du bétail, autant utiliser les outils des industries qui travaillent avec le bétail (ou des voitures, ou d’autres produits manufacturés).
Désolé pour de ce procès d’intention.
**
Matim, sérieux, t’es sûr que tu lis les messages ? Il n’y a que toi qui parles d’anti-planning, qui vois une remise en cause des planning ici. Alors qu’il n’y a en a absolument pas… Tu tournes en rond, mais tout seul là 😮
Si j’ai bien lu Ludou, le problème n’est pas planning ou pas planning, le problème est qu’un séjour de plus de 40 (50?) enfants est une trop grosse machine, avec trop de contraintes organisationnelles pour pouvoir mettre en oeuvre un projet permettant une réelle prise en compte des attentes, besoins, envies de chacun.
ludou,
A vouloir toujours chercher le mieux du mieux on en arrive parfois à se contenter de dire qu’on ne sait pas faire… Alors ok tu n’as jamais réussi à fonctionner correctement avec +40 gamins , mais avec le recul est ce que tu crois que c’est à cause de l’outil ou plutôt à cause de l’utilisation de l’outil? (c’est une vraie question).
Tu peux mettre un super outil dans les mains d’une personne incapable de s’en servir correctement et ça va donner un truc ingérable et emprisonnant. Là ou je te rejoints c’est effectivement l’obligation de rigueur quand à l’utilisation de l’outil en question.
Oui, gérer 40 ou 100 gamins c’est pas pareil, et oui dans les 2 cas l’organisation que tu mettras en place va, que tu le veuilles ou non, influer sur la vie du groupe et sur chaque individu composant ce groupe..
Mais est ce un problème ? est ce que la vie en société n’est pas justement basée sur cette interrelation et cette influence de “l’autre”, y compris des règles ? des libertés collectives et individuelles ? etc.
L’outil “planning”, tu le dis toi même, est INDISPENSABLE.
Partant de là il faut apprendre à s’en servir. Pour faire le lien avec la notion de projet et bien c’est pareil: il faut apprendre à s’en servir pour la comprendre et l’utiliser à bon escient sinon ça peut devenir une catastrophe, oui (je me suis déjà exprimé sur les fils en question).
A aucun moment je dis qu’il FAUT en passer par là, y’a pas une recette bien sur.
Je pense simplement qu’il n’est pas honnête de dénigrer ces outils juste par principe ou juste parce que , peut être, on ne les dompte pas encore bien.
Loin de moi l’idée de stigmatiser les anti-projets ou les anti-planning en les enfermant dans une case, non. Juste que c’est un peu simpliste de dire que une chose et “mal”, une autre est “bien”. L’outil doit être compris, apprivoisé et adapté à l’utilisation qu’on souhaite en faire.. savant dosage de rigueur, de process (y compris issu de l’industrie, c’est pas indescent) et de feeling/improvisation.
**
le titre ? Pas compris…
Bon, alors je vais reformuler du coup : je n’ai jamais réussi à fonctionner de manière satisfaisante (donc dans mon expérience) avec un groupe de plus de 40 enfants.
Je sais pour avoir participé à ce type de séjour de masse, vu les coulisses et analysé un minimum les processus avec des personnes qui y travaillent de l’intérieur que, à ma connaissance, il est impossible de gérer 80, 100 ou 300 gamins autrement qu’en utilisant des techniques et des outils industriels.
300 je ne sais pas, mais j’ai dirigé des séjours avec un grand groupe d’ados. le plus était 92 ,exactement.
Je ne sais pas ce que tu appelles les techniques et les outils industriels??
Tous les matins les jeunes choisissaient une activité ou deux, ou aucune. pas d’inscription au préalable.
Les animateurs se répartissaient en fonction de leurs compétences et du nombre d’enfants:
Informatique, activités nautiques, baignade, sport promenade, musique, théâtre etc…Pour certaines activités des ados venaient et repartaient en cours
Bien sur ce n’était pas pareil chaque jour.
Sur le séjour personne n’était obligé de tout pratiquer.
A table chacun se mettait où il voulait.
Le lever et le coucher était échelonné avec des limites (Aie ça c’est industriel 🙂 )
Certains moments ont été évoqué puis instauré dans la journée.
Deux exemples ; un petit groupes’est vu invité à la soirée festive d’un mariage, qui avait lieu en face du centre. Un animateur a eté convié à accompagné ce groupe.
La participation d’un petit groupe, a une fête situé à proximité du centre. demande le matin participation l’apres midi. Certains ont m^me dansé sur le podium.
.
Il y a eu, tout de m^me, une activité où les enfants devaient prévoir la veille
.le camping.
Cela avait des conséquences sur le nombre de places sous tente, la bouffe, le matériel à préparer, le lieu;, le déplacement etc.Il faut donc un certain temps de préparation.
En fin de séjour j’ai proposé à une dizaine de jeunes d’aller camper sans animateur.
Mais horreur, je ne l’ai pas proposé à tout le groupe! Quel crime abominable de ma part !
Enfin personne ne s’est manifesté en plus.Par contre j’ai eu un refus. le gars a invoqué une douleur au genou. (il fallait partir à pieds.)
Donc pas de planning au niveau des activités des enfants.
I l y avait des planning pour les jours de repos des animateurs.
Pour les horaires de travail, heureusement, les ronds de cuir bureaucrates de SUD et de la cour de justice Européenne, n’avaient pas encore sévi avec leur conneries. ( Aie aie aie, cette remarque ne vas plaire à tous.)
Un jour de repos par semaine et possibilités de se reposer en cas de fatigue.
Ah oui aussi un planning pour le personnel de service. Il me semble que c’est à peu près tout.
Donc oui il y avait des plannings, mais je ne penses pas que le fleuve Indus triait quoi que ce soit. :cass:
Autre chose :
Tentative de discrédit ? Si tu veux, autant en parler ouvertement sur le topic “déconstruction de la notion de projet”, non ?
Oui d’accord bien je trouve que le titre du sujet soit déjà orienté dans un sens. tu ne penses pas ?
mais cela n’empêche pas e donner ses points de vue
Allez bye
Matim, je te laisse te battre contre les moulins. Pour ma part je ne crois pas avoir dit que le mot planning était sale, évidemment que c’est un outil et qu’il est souvent indispensable. D’ailleurs, si tu lis bien, c’est la première chose que j’ai proposé à hakkar. Merci d’être un poil plus cohérent par la suite.
Le “on”, je ne m’inclue pas dedans, mais je ne le dis pas à la légère non plus. Je sais pour avoir participé à ce type de séjour de masse, vu les coulisses et analysé un minimum les processus avec des personnes qui y travaillent de l’intérieur que, à ma connaissance, il est impossible de gérer 80, 100 ou 300 gamins autrement qu’en utilisant des techniques et des outils industriels. Ce que je ne dis pas, c’est que ça conditionne tout ce qui peut se vivre sur le séjour, puisque, évidemment, les individus qui vont encadrer les mômes vont apporter autre chose (ou pas). Mais ça conditionne d’autres choses (la bouffe, la relation aux parents, l’impossibilité d’exister individuellement dans bon nombre de situation dans lesquelles ce ne sont pas des personnes mais un groupe qui est “pris en charge” (charge).
Mais le planning, je n’ai jamais dit que c’était pourri Matim :titille:
La seule chose qui sera commune entre une organisation de type industrielle et une organisation de type familiale ou à “échelle raisonnable” (échelle qui permet par exemple l’émergence d’une organisation modifiée, amendée ou reconstruite par un groupe d’enfants), c’est qu’il faut de la rigueur, de la rigueur et un peu de souplesse (car même à grande échelle, le manque de souplesse est fatal contrairement aux idées reçues).
Pour les projets, il y a sans doute des extrémistes anti-projet, mais les gens que tu sembles viser en son, à mon humble avis, très loin. Et cet argument très léger n’est évidemment pas suffisant pour se permettre l’économie de la réflexion sur le projet aujourd’hui en France (et particulièrement dans l’animation).
Je crois que ça a un nom ce syndrome. Dès qu’une idée un peu forte et différente commence à prendre de l’âge, certains la qualifient de hippie révolutionnaire (“crise de bouton”, “révolte”…). Bref, que des qualificatifs orientés “adolescence”.
Tentative de discrédit ? Si tu veux, autant en parler ouvertement sur le topic “déconstruction de la notion de projet”, non ?
Bin je me dis qu’un séjour comme celui là demande énormément de préparation et organisation. .
cela fait un moment que je dirige mais comme indiqué au début c’est la 1er fois que j’ai un aussi gros effectifs ..
Ne rien oublier sur les plannings . Vie quot , congés, référent par âge. ..
Merci au personnes qui ont répondus 😉
ludou a écrit :
On organise des séjours comme on gère du bétail
C’est qui “On” ?
Je suppose que tu t’inclus dans ce “on”, en connaissance de cause donc ? sinon peux tu préciser stp.
Quand au mot “planning”, c’est pas sale, c’est pas un gros mot ni une maladie et c’est bien sur la solution. Tout ceux qui ont eu, ne serait ce qu’une fois, à gérer autant d’enfant sur autant d’activités le savent.
Alors arrêtons de stigmatiser certains mots juste parce qu’ils sont employés dans le monde entreprenarial, ou par “principe”.
C’est comme le mot “projet” qui fait déclencher des crise de boutons à certains juste par principe..!
Ok, je sais c’est à la mode de s’élever contre “le systeme” (quand bien même ceux qui se révoltent sont souvent les premiers à y baigner jusqu’au coup sans s’en rendre compte…), mais il faut rester un minimum sérieux.
A titre personnel je suis impliqué dans le monde de l’entreprise et associatif ce qui ne m’empêche pas d’utiliser des méthodes et outils communs.
**
XXYYZZ,
je suis passé à un moment, j’ai vu ton message, j’ai posté une réponse… Je n’attendais pas depuis 4h du mat devant mon écran que tu postes un message 🙄
Pour tes questions, je me moque bien du statut juridique. Je suis moi-même à la tête d’une entreprise et ce n’est pas un problème. Pour te dire, même, j’aime bien l’esprit d’entreprise, qui me paraît bien plus sain que l’esprit associatif français pour un certain nombre d’activités.
Ce que tu sens peut-être comme aspect critique, ce n’est pas l’enterprise, c’est l’entreprise industrielle dans le “secteur” de l’enfance (ou dans l’agriculture… il y a d’ailleurs énormément de liens entre les pratiques agricoles et les pratiques éducatives. De là à dire qu’on nous prend pour des légumes :roll:).
XXYYZZ a écrit :
Mais tu as des éléments que je n’ai pas.
Comment sais tu que l’organisateur est une entreprise ?
le nombre d’enfant ? le fait qu’il y ai des thèmes ? Où alors mon intelligence limité nem’aps permis de deviner ?
Relis ton propre message (#6) et tu auras les réponses.
Tu fais encore une différence entre une association qui organise ce type de séjours et une (vraie) entreprise ?
CEI ?
réponse au quart de tour, merci.pas m^me eu le temps d’éditer. Deux auteurs de science-fiction, on créé le verbe quardetourner, pour se déplacer dans l’espace temps. 😛
Rassure toi…..la bonne notation de l’entreprise,.
.
je ne suis pas inquiet. Un rat sur une ré, c’est possible et il se débrouillera bien..
Mais tu as des éléments que je n’ai pas.
Comment sais tu que l’organisateur est une entreprise ?
le nombre d’enfant ? le fait qu’il y ai des thèmes ? Où alors mon intelligence limité nem’aps permis de deviner ?
mais comme tu me l’a dis plusieurs fois c’était difficile à comprendre. :cass:
aucune ironie, non. On organise des séjours comme on gère du bétail, autant utiliser les outils des industries qui travaillent avec le bétail (ou des voitures, ou d’autres produits manufacturés).
Si ce sont les jeunes qui ont choisi, je suis d’accord avec toi. Mais cela ne doit pas empêcher qu’ils puissent faire autre choses si l’envie leur en prends. Car 10 jours la m^me chose c’est peux être un peu beaucoup.
rassure-toi, le business est basé sur la fidélisation du client et la bonne notation de l’entreprise, donc le but des ouvriers et des contremaîtres sera, un moment ou un autre, de répondre au moindre désir du client et de son extension (à savoir l’enfant). Sauf si le produit en question est défectueux (un peu chiant par exemple), mais bon, on s’en moque après tout, il avait cas être normal. T’imagines si on avait 110 cassos à gérer, non mais c’est pas faisable… (là c’est ironique)
Avé à tous :coucoub:
Il y a 4 thématique je m’explique .
24 jeunes sont venu faire du quad .
50 thématique 100%adrénaline
40 autour de la ferme
26 des activités nautique …
Hakkar, là j’ai mieux compris; Si ce sont les jeunes qui ont choisi, je suis d’accord avec toi. Mais cela ne doit pas empêcher qu’ils puissent faire autre choses si l’envie leur en prends. Car 10 jours la m^me chose c’est peux être un peu beaucoup.
Par contre suivant la façon de le pratiquer, le Quad, les activités nautiques et m^me la ferme, peuvent être 100% adrénaline . 🙂 😀
Ludou : , j’ai du m à comprendre ton message sur la quantité innombrable de pla nin(Nin est une marque) :J’espère que tu es ironique. mais comme tu me dis souvent j’ai du mal à la comprenure. 😆
Etoiledumatin: lorsque j’ai dirigé le séjour avec 90 ados et les trois dominantes il n’y avait pas e planning. Tous les jours chaque enfant décidait où il voulait aller, avec souvent d’autres choix ( voir message précédent). cela c’est bien passé.
Sur ton pseudo: A La Réunion il y a un musée consacré à l’histoire de la canne et du sucre qui s’appelle Stellamatituna, qui veux dire étoile du matin. :boire: :jump2:
Allez bye
Oui, planning indispensable, mais je pense que c’est là dessus que tu voulais des billes justement hakkar !!
J’ai dirigé des séjours avec 110 enfants aussi, deux années de suite, avec des outils différents selon mes adjoints qui ont été créatifs et organisés!
Hésite pas a me contacter par mail si tu veux des ex de fichiers ou des infos sur cmt on a fonctionné : aurore.festas#hotmail.fr le #est un @ !
J’avais moi aussi plusieurs séjours, enfin thématiques, en mm temps’ et c’est en effet du temps de prepa de s’organiser pour que ça roule, mais aussi bcp de réajustements durant la colo. La seconde a d’ailleurs été mieux que la première car la première je testais, maintenant j’ai mon fonctionnement un peu plus calé !
salut,
des plannings quotidiens…, ça me paraît indispensable pour ce type d’organisation (avec double vérification). Ce qui fait environ 4 plannings chaque jour :
– planning des congés
– planning des animateurs
– planning des activités enfants
– planning de la vie quot. enfants (avec anims référents sans aucun doute…)
C’est évidemment beaucoup de boulot, mais quand on veut être gestionnaire d’une centaine d’enfant (comme on est gestionnaire d’un parc automobile), il faut prendre les outils de l’industrie (et y être formé).
Nn désolé je me suis mal exprimé ..
Il y a 4 thématique je m’explique .
24 jeunes sont venu faire du quad .
50 thématique 100%adrénaline
40 autour de la ferme
26 des activités nautique …
Ils ont tous entre 6 et 15 ans en vie quotidienne j organise par tranche d’âge mais c’est plus pour les planning d activités . Oublier personnes ….
Avé hakkar
je ne suis pas favorable au thèmes en général ,sauf le thème : les enfants en vacances.
Qui impose ces thèmes ?
proposition : Vois avec les enfants les thèmes qu’ils préfèrent et laissent les choisir eux m^mes, avec peux être un nombre limite en fonction des activités qui y sont associés.
je ne vois pas l’intérêt d’une rotation . Si un enfant n’ a pas envie de participer à l’un des thèmes, laisse le faire.
tu devrais m^me aussi, prévoir le cas où les enfants, qu le souhaitent, fassent autre chose.
il y a quelques années j’avais diriger un camp de 90 ‘ados avec : camping, informatique et activités nautiques.
Très peu de jeunes ont pratiqué les 3 activités. ils étaient volontaire. Et cela s’est bien passé.
En plus certains ont fait tu théâtre, d’autres sports, ont participé aux activités d”enfants d’une maternelle J’en oublie…
d plus cela avait été décidé par une grande partie de l’équipe et transmis à la personne qui a inscrit les jeunes.
J’en profite pour dire, qu’en général, on n’accorde pas assez d’importance aux personnes qui inscrivent les enfants.
Allez bon courage et merci de nous tenir au courant.