Ca me paraît compliqué de venir sur Toulouse.
J’ai trouvé des sites internet qui en vendent. C’est pas donné mais du deux mètres sur un mètre en 20 mm d’épaisseur (78€), ça doit tenir un bon moment si tu fais des persos de 2,5 cm sur 2,5 cm.
A vrai dire, j’ai toujours été une bille en activité manuelle et j’en ai marre d’être nul en ça. J’ai l’impression que ça n’a pas l’air compliqué. J’espère ne pas me tromper.
C’est une matière que tu découpes aux ciseaux et tu la modèles avec les doigts ? Ou on doit découper la forme avec les ciseaux ?
J’ai comme projet pour les NAP de construire une ville démontable en plastazote avec les enfants. A la fin de l’année, ils pourront repartir avec un morceau de la ville et des personnages.
Edit 1 : Je suis à environ 700 km de Toulouse :/
Edit 2 : Je viens de dire le prix d’une plaque à ma directrice, elle n’a pas trop aimé ^^
Mais maintenant que l’activité a été annoncée, elle ne peut plus reculer. Mais à mon avis, je vais devoir dire adieu à la ville et ne faire que des personnages. Je suis un peu déçu du coup.
Il faut ou être franc-maçon ou pouvoir
venir sur Toulouse…
Et si tu en as l’occasion, c’est vraiment une
matière à creuser pour des animations…
Ah super ! Merci pour ces réponses rapides.
Si j’ai bien compris, tu arrives à en trouver gratuitement ? Y a une combine secrète ou comment ça se passe ?
Je vais essayer de m’en procurer le plus rapidement possible pour m’entraîner histoire d’être prêt.
l’épaisseur bin, ça dépend de ce que tu fais…
En fait, je récupère le plastazote, souvent en grandes
plaques qui peuvent faire jusqu’à 20 ou 30 cm d’épaisseur.
Pour un petit oiseau comme le modèle d’enfant ci dessous,
je prépare des rectangles qui ont entre 2 et 2,5 centimètres d’épaisseur
(pour une question simple : la limite de ce qui
se coupe facilement avec des ciseaux (pour préparer
les rectangles dans les grosses épaisseurs, je fais au
cutter)
Et en sachant que d’un plastazote à l’autre, tu as des densités
différentes et donc la possibilité de couper
aux ciseaux sur des épaisseurs au delà des 2 cm…
Les yeux sur ce post : bin, en fait ils les ont eu à partir
de mon site où lors de réunions où on s’est vu “en vrai”.
Mais l’idée c’est ça : c’est facile de trouver des yeux sur
internet.
Exemple :
https://www.google.fr/search?q=yeux+%C3%A0+imprimer&newwindow=1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwiU2qKCsLTKAhWCLhoKHZf6C64Q_AUIBygB&biw=1360&bih=651
Mais j’en dessine aussi, j’en récupère sur des photos de jouets,
de dessins manga, je les retravaille avec Photoshop, je les redimensionne… etc..
Ce qui me fait à la longue des milliers d’yeux, autant de
modèles à dispo pour les enfants…
Pour les détails : ça dépend : on peut tout faire avec ses
plaques de plastazote : il suffit de faire des “fines
tranches” avec un cutter.
Mais tu te limites alors dans les couleurs.
L’idéal pour l’atelier : plastazote (avec 5 couleurs) et
des feuilles de créamousse (paquet de 10 feuilles
dans les Foire fouille)
Et en plus : des Posca.
Là, tu as tout ce qui faut pour que les gamins s’éclatent
(sur le post sur le claé, je viens de poster des photos
de ce qu’on fait les gamins vendredi)
Et oui, c’est léger.
Ce qu’il y a de plus proche dans les objets commun,
c’est peut être le tapis de souris…
édit : t’es loin de toulouse ?
Salut tout le monde,
Je dois dire que vous m’avez fait rêver avec vos constructions et j’aimerai m’essayer à la même chose.
J’ai quelques questions avant.
Vous utilisez du plastazote de quelle épaisseur ?
Les yeux vous les trouvez sur internet, vous les imprimez et ensuite vous les plastifiez c’est ça ?
Vous utilisez aussi le plastazote pour les petits détails (exemples : museaux, dents, oreilles, pois,…) ?
Est-ce que c’est léger cette matière ?
J’ai sûrement d’autres questions mais elles ne me viennent pas.
Merci 🙂
Oui. Tout.
Autant sur le claé je peux accompagner les enfants, autant là
ce n’est pas possible.
Par expérience : un enfant de 5 ans sait utiliser un pistolet à
colle et sait ce que c’est que de se brûler.
Il suffit de prendre le temps de lui dire comment marche le pistolet,
ce qui brûle, ce qu’il ne faut pas toucher…
(et j’ai en cas sous la main des tubes de néoprène que je sors que quand
j’ai un doute sur un enfant, que je lui offre le choix en
comparant le colles…)
Je les cachent, parce qu’elles sont moins efficaces, plus
difficiles techniquement à utiliser pour des enfants, et me coûtent
plus chers (je vends ces ateliers)
Et enfin, une majorité de ces petits sont accompagnés : c’est rares les
moins de 5 ans qui viennent sans adulte.
Sur ce festival, y avait une petite qui faisait sa bestiole, les larmes
aux yeux, parce qu’elle s’était brûlée, mais elle persévérait, elle parmi
d’autres enfants. J’ai été tentée de venir l’aider, la prendre sous mon aile,
mais en même temps il y avait quelque chose de l’ordre de la détermination
qui a fait que je l’ai laissé seule…
En fait, c’est un enchaînement : quand les portes ouvrent, pendant 5 mn,
il y a 3-4 enfants, qui commencent tranquillement, que j’accompagne, à qui
je prends le temps d’expliquer;
Puis, peu à peu, il y a de plus en plus de monde, d’enfants qui en sont
à des étapes différentes de réalisations, pour des jouets qui n’ont absolument rien
à voir (il faut par exemple ajouter les pré ados et ados qui cette année sont venus
en masse, attirés notamment par les modèles Star Wars, Superhéros, jeux vidéo…
(en fait, c’est la présence des ados qui permet aux pré-ados de ne pas avoir l’air de
bébé, qui entérinent leur présence…
De la même façon que sur certains festivals, pour le même atelier, il n’y aura
pratiquement que des filles : parfois, ça tient au premier enfants qui arrivent sur
l’atelier ! Et cela reste ainsi jusqu’à la fin de la journée (cela va aussi parfois pour certains modèles :
un enfant croise quelque part sur le festival un autre enfant avec un papillon, il arrive
alors sur mon atelier bien déterminé à avoir aussi son papillon, etc…
En fait, quand un enfant arrive, il y a partout des enfants en train de découper,
utiliser les pistolets à colle : ça lui dit quelque chose, sur ce qu’il est capable de
faire… il entre juste dans l’ambiance.
Ce côté “faire soi” déstabilise certains enfants : ceux-ci sont rares, mais ils sont
complètement bloqués par ce non accompagnement, cette liberté. (pistolet à colle ou pas)
Ce sont des enfants dont je peux ne pas me rendre compte de la présence, qui peuvent rester une demi-heure
sans rien faire, avant que je m’apercoive de leur présence parce qu’ils pleurent.
Ou ce sont des enfants qui vont attendre, me demander “où sont les ciseaux”, quand
partout autour d’eux c’est une ruche en furie, où les uns tendent la main pour attraper tel
outil, font le tour de la table pour prendre avec autorité la feuille pailletée violette…
Ces enfants perdus peuvent avoir les ciseaux devant eux sans les voir; Et je sais que quand
il va devoir coller, il va demander où est la colle…
Ce sont des enfants qui sont totalement “calibrés” par l’école, les
maîtresses, les animateurs de centres de loisirs.
Sur le claé, ils ne seraient pas en difficulté, parce que cela devient au fil
des ateliers une habitude… mon problème, c’est plus avec l’anim’ qui
vient “m’aider” parce qu’il y a “beaucoup” d’enfants… et qui se rend compte peu
à peu que les enfants sont plus autonomes que lui.
Ou qui par sa présence renvoie certains enfants dans cette logique de l’adulte qui
fait et l’enfant qui regarde…
Finalement, peu d’enfants se brûlent sur les festivals. Il y a en moyenne un pistolet par table, et j’essaie
de faire en sorte qu’il y ait un peu moins de dix table (ça fait déjà beaucoup de monde)
Le seul empêchement, ça a toujours été les parents (certains parents) totalement incapables
de laisser faire leur enfant (et ce qu’il y ait de psitolets à colle ou non)
Par contre, je joue sur la température des pistolets : régulièrement je les éteints, sans que
ça gène l’atelier, la colle continuant à fondre et à coller. Ca permet aux pistolets de descendre en
température.
Et autant de fois que je le peux avec les “nouveaux arrivants”,, je prends un pistolet et je me brûle, je leur montre la cloque, ou la simple rougeur.
En fait, ça les fascine ça : je leur dit : attention je vais me brûler, je me brûle volontairement,
je leur dis que c’est douloureux et je leur montre… (leur regard va de mon doigt à ma tête, en se demandant quand même si je suis pas
maboule…
Sur le claé, tous les enfants savent ce qu’il faut faire en cas de brûlure : c’est totalement intégré pour eux
quand ils viennent sur mon atelier.
Il y ajuste une petite fille de la Clis qui a au point de vue motricité
d’énormes retards : le premier jour je l’ai laissée se brûler (et je savais que
ça arriverait ; le soir je suis resté pour discuter avec elle et sa maman…
Au final, elle utilise la colle néoprène…
Ce qui est déjà pas évident
(pour elle, qui se déplace en déambulateur, le seul fait d’arriver
dans la salle est déjà un exploit)
Je l’aide rarement : il y a un gros travail sur cette école : et les enfants se battent
pour être celui ou celle qui aide ces gamins (qui eux en jouent parfois)
S’agissant des parents, j’en ai parlé avec les enfants, de leur choix à eux. Je leur ai dit d’en
parler avec leurs parents, de ce que eux avait envie de faire, ce à quoi il avait envie de participer,
de par exemple l’idée que l’on puisse se brûler…
Mais sur une moyenne de 30 enfants, c’est un enfant qui se brûle sur la séance, voir aucun. Et quand je dis
se brûle, cela va rarement jusqu’à la cloque.
Côté parents, il y a aussi tout ce que vit leur enfant sur le claé avec David, tout ce que l’enfant raconte à la maison
de ses aventures…
Je ne suis que sur les midis et donc ne les rencontre pas (sauf quand je me déplace pour)
mais je fais confiance en les enfants pour défendre leur présence sur ces ateliers…
(et je sais que j’ai une bonne côte chez les parents, de par les retours de la directrice)
Et puis y a une ou deux petites crevettes qui trouvent toujours un moyen pour venir me soudoyer,
me demander de coller à leur place… ce que je fais évidemment.
(et je passe sur ceux qui font semblant de s’être brûler pour venir se faire cajoler ; hop et ça repart.
Là, j’étais un peu bloqué parce qu’on a fini tous les blisters de petits bâtonnets de colle…
mais je suis un peu pistoné : je vais pouvoir utiliser la “réserve personnelle” de la directrice de l’école
(tout un symbole quand on sait quelles crises peuvent conduire l’erreur d’animateurs qui utiliseraient quelque chose de l’école !!),
on va faire un truc en commun (ce qui arrange la directrice du claé, parce qu’en ce moment le claé n”tait
pas en odeur de sainteté côté enseignants (je suis pistonné aussi par certaines maîtresses)
et moi, parce que le projet est vraiment bien (centré sur les enfants et leur récréation)
hé bin !
une p’tite question : est-ce que tout est collé au pistolet à colle ? et si oui comment ça se passe avec autant d’enfants ?
Où j’en reviens encore à la question des “modèles”…
Sur le dernier festival où je suis intervenu (et les festivals me permettent d’observer des
choses du fait du très grand nombre d’enfants, de l’enchaînement, du côté “travail à
la chaîne pour moi (on parle de centaines d’enfants sur plusieurs
jours, ici 7h30 par jour) :
(les tables continuent sur la droite mais sans modèles derrière moi)
Donc plein plein de “modèles” pour les raisons que j’explique déjà sur le forum…
Il y a toujours des enfants qui font leur jouet avec comme seule idée celle
de faire un “chat”, “chien”… attirés au départ par les modèles mais au final faisant
leur propre modèle :
De jolis choses, mais qui ne me suprennent plus… Je les prends en photo néanmoins parcequ’involontairement
les enfants font des mélanges de couleurs que je n’aurais pas osé, et que je vais copier…
D’autres qui clonent presque l’un de mes modèles, parfois (comme ici)
en l’améliorant :
(et cloner demande à ces enfants une grande maîtrise, que je ne retrouve par exemple
que très rarement chez les animateurs)
C’est l’absence de maîtrise souvent qui fait que les enfants partent sur “tout autre chose”…
D’autres enfants qui font vraiment “leur truc”, sortie de leur tête :
(ici le même enfant) :
et l’enfant exception, ce à quoi je ne m’attendais pas :
une gamine de 11 ou 12 ans qui choisit de faire une chauve-souris
(j’ai ajouté dernièrement deux chauve-souris, ce que je n’avais pas essayé avant)
Avant l’arrivée de la gamine, mes chauve-souris sont des modèles parmi d’autres, quelques
enfants qui s’en expirent.
Après la gamine, une fabrication sur 4 est une chauve-souris.
Elle est venue 2 fois, en 2 jours.
Le premier jour, elle fabrique une première chauve-souris, que je trouve
graphiquement super, plus belle que les miennes (j’essaie au passage de lui
échanger son modèle contre une dizaine des miens, en vain ; je sais c’est pas bien)
Elle me dit que par contre elle reviendra demain et m’en fera une
(en même temps je pense dans ma tête qu’elle sera incapable de reproduire
ce petit bijoux)
Elle revient donc le lendemain pour me faire ma chauve-souris… je vois qu’elle
part sur une toute autre direction et je lui fait remarquer (même si cela me semble
impossible qu’elle arrive à me refaire une aussi belle bestiole)
Elle ne m’écoute évidemment pas et fait une tout autre chauve-souris. Tout aussi graphique
et en faisant des choix graphiques différents : (celle-là je l’ai)
Aussitôt (comme c’est arrivé la veille, ça donne a plein d’autres
gamines de faire aussi une chauve-souris.
(même si le modèle est très joli, il y a “quelque chose” qui parle aux autres gamines,
que je ne peux comprendre… j’avais déjà observé ça avec notamment une petite chatte
blanche et rose qui était le modèle d’une réalisation
de fillette que j’avais trouvé très joli : parmi une vingtaine des modèles de chat,
ça a toujours été le modèle le plus attirant pour les gamines, sans que rien dessus
n’explique cela…
Mieux : la pré-ados (qui est venue avec une copine) arrive à faire faire à sa copine une
tout aussi belle chauve-souris, mais bien différente.
A elles seules, elles agglutinent un troupeau de petites prêtes à faire attendre papa ou maman
une demi heure pour avoir approcher les tables et avoir elles aussi leur chauve-souris.
Avec pour chacune d’elle, pour une même idée, un même modèle au départ “déclanchant”,
des bestioles bien à elles :
.free.fr/animateurs/fiches/caniche/mini357.jpg[/img]
Et j’aurais pu continuer de mettre d’autres photos, sans que deux modèles soient les mêmes…
Les modèles, très majoritairement ici, sont des “bases de départ”
à partir desquelles les enfants prennent confiance, imaginent, partent sur leur propre
envies…
Façon les peluches à la mode qui ont des yeux pailletés :
Je colle avant les yeux des ronds découpés dans du carton pailleté…
les gamines aiment bien…
En fouinant, ce sont des milliers de yeux à imprimer qu’on
trouve partout sur la toile…
un lapin gothique…
Et puis tu avais qu’à venir à la rencontre à Toulouse…
Avec un pot de yaourt :
Bin, ça semble assez facile à trouver sur
internet, non ?
Bon, c’est vrai que je n’ai jamais eu à passer par ce biais…
Si tu parlais de la question du prix, finalement
le plastazote ne coûte pas si cher que ça…
Là, je suis en train d’essayer de nouveaux yeux :
soit à peu près l’équivalent pour un atelier enfants…
Vu la taille des bestioles, la plaque de plastazote
nécessaire est très petite…
D’autant plus qu’on peut faire ses bestioles en encore
plus petit…
Sinon, y’a pas mal d’alternative possible… notamment pour
les petites bestioles :
mousse,
créamousse…
le problème n’est pas de s’y intéresser mais de trouver le plastazote 🙄
Allez… si ça peut donner envie à un animateur
de s’intéresser au plastazote…. encore des petits
jouets à construire en atelier enfants :
(petit bestiot de moins de 6 cm de haut)
Petite réflexion…
Ce week-end, j’ai mis en place mon atelier
plastazote sur un évènement sportif (les
championnats de France d’une discipline
pas vraiment populaire du fait du coût de la
pratique dudit sport)
Au contraire d’un festival, d’un évènement
tourné vers les enfants, et où j’enchaîne (à
quelque chose prêt du 20 gamins à la demi heure)
là peu d’enfants…
Sur le coup, cette fois je n’ai pas “chassé” les
gamins qui ont fini leur jouet…
Résultat : des gamins qui restent plusieurs heures
sur l’atelier.
L’atelier devait commencer à 10 h, mais comme
j’étais prêt à 9h10 et qu’il y avait deux petites
filles déjà attirées par l’une des maisons de Petshop,
Elles sont restés jusqu’à l’heure d’aller manger (soit
13h, et donc presque 4 heures plus tard)
Et de retour à 14h, jusqu’à … 18 heures.
Soit pour l’une des gamines pratiquement 8 heures
à faire ses jouets dans la journée…
4h pour une bonne, 6 h ici, 2 heures…
Elles se sont fais leurs petits animaux, leur maison avec lits,
lits à étages, toboggan qui descend du lit (une idée de
garçon), meubles…
Ce qu’il y a d’interessant, c’est qu’au bout d’un momnet
je ne gère plus : plus besoin. Notamment pour celle qui y
a passé la journée et à qui j’avais laissé son
pistolet à colle “perso”, sa table… et ses délires…
(et elle est repartie avec assez de plastazote pour
continuer des heures chez elle)
On voit des enfants totalement dans leur délire
créatif, qui n’ont besoin d’aucun adulte…
On trouve souvent sur les lieux d’animation
enfants des fiches qui voudraient dire comment
sont les enfants de tel ou tel âge, leurs besoins,
leurs limites… s’agissant par exemple de “concentration”…
L’expérience nous montre que, s’agissant d’humains,
les généralités ne sont… que des généralités.
Sinon, une thématique particulièrement adaptée
à cet atelier :
On pourrait très bien envisager avec des mater’ découper
toutes sortes de forme et les laisser colrier aux Posca…
Sinon, autre thématique abordée par des enfants
sur le claé (personnages ici faits par moi après
les réalisations des enfants, soit cette fois la question
des modèles à l’envers…)
‘faut se dire que de toute façon ça n’empêche pas
d’utiliser entièrement la feuille. Surtout si l’on fait
des petits bestioles en plastazote, vu qu’on découpe
des petites pièces…
moilapa a écrit :
Pour la créamousse, Est-ce que tu coupes déjà les feuilles A4
en 4 ou 8 ?
oui mais ça ne résoud pas tout.
Le plus gros travail est sur ma manière de “recevoir” le fait que les mômes ont cette tendance, et à l’accepter un minimum
Bin, en fait, ces modèles sont spécialement faits
pour qu’ils disparaissent… Et y’a pas que des chapardages :
j’en donne, je troque… De toute façon, ces modèles-là, je ne prévois
pas de les garder à la fin d’un festival…
Pour la créamousse, Est-ce que tu coupes déjà les feuilles A4
en 4 ou 8 ?
pour tes modèles…
moi je ne peux qu’espacer un peu les séances, le temps de me remettre de leur manière de découper la créamousse en plein milieu quoi que je fasse…
Non, y’a pas de “non collés” dans les petites maisons…
Ce sont des “modèles” qui sont sur les tables et qui aident les
enfants à “visualiser” le jouet en 3D (plus particulièrement
pour les enfants qui font sans moi et ne suivent pas les
consignes)
Et c’est pour ça que notamment sur les festivals
les modèles partent très vite : une centaine de petits
bidules sur les tables, dans le bazar de bouts de mousse,
ciseaux, créamousse…
Finalement, je fais plusieurs maisons plutôt que
de rajouter des étages (à partir d’un certain niveau,
c’est plus très stable…)
J’attaque les super héros et ça devrait être bon pour mardi…
Oh la Sona est bien bien chouette !
Sinon t’en met des collés et des non collés dans l’immeuble, en combien de temps les mômes vont se rendre compte qu’ils ne sont pas tous collés ?