Bonjour !
Merci pour les deux liens 🙂
bonjour,
euh …
je te propose le premier site sur google :http://www.hugolescargot.com/fiche-bricolage/creation-petit-poisson-pompon.htm ou un autre http://www.parents.fr/enfant/culture-et-loisirs/mon-poisson-pompon-32857
Super ce sujet sur les pompons ! Vous m’avez donné pleins de bonnes idées pour un atelier créatif (j’anime des anniversaires d’enfants). Est-ce que vous pensez que des enfants peuvent réaliser facilement des pompons et à partir de quel âge ?
Un truc pour faire des pompoms avec de la récup:
Récupérer des collants fins usagés et couper en une longue bande pour faire une pelote. Ca nécessite de faire moins de tours pour un rendu sympa qu’avec de la laine standard. Du coup mieux adapté aux enfants et même aux animateur qui doivent démeler les pelotes.
Et fixer sur une tresse réalisée également en collant usagé, ça permet de faire un head band sympa.
Profitant de trajets en train pour visiter
des campings :
J’aurais envie de dire : simple mais pas facile !
A cause des deux noeuds (et notamment le deuxième)
Un enfant seul ne peut juste pas (il faut qu’il soit au moins
deux, à moins de remplacer le noeud par un petit élastique)
Sinon, avec un peu de recul à présent sur la laine feutrée en atelier avec des mômes :
au point de vue de la matière, c’est celle qui certainement offre la possibilité d’aller le plus loin possible côté résultats. Mais trop complexe avec des mômes… il faudra sans doute, côté sculpture, être moins ambitieux, se limiter à des modèles plus simples…
J’ai tenté de protéger les doigts des enfants, mais en mettant quelque chose sur les doigts des mômes, on casse les aiguilles très fragiles…
C’est une matière de plus à avoir dans son bagage technique, à sortir pour des projets précis et adaptés à cette technique…
Cette “palette” permet à l’animateur d’adapter selon les enfants, le modèle envisagé…
exemple avec le personnage d’un dessin animé :
il y a une floppée de façons d’y arriver… reste à comprendre laquelle est la plus adaptée.
Ici : mini ponpons, laîne feutrée, éthafoam et chaussette pour le plus grand (on peut rajouter : pâtes à modeler, boules de ouate ou polystirène, etc…
(ici la laine feutrée)
bien envie d’essayer ça, ça a l’air simple
un prétexte à pompon tout bête auquel je n’avais pas pensé
source (boutique)
monstrueuses bestioles à accrocher au cartable pour la rentrée…
source & tuto (english)
Comme attendu, l’atelier monstres (fourrure
et mousse de matelas) est un atelier qui cartonne.
Avec ce type d’atelier créatif où l’enfant a la possibilité de
faire ce qu’il veut, on a comme résultats des choses très diverses.
(c’est le cas des animaux en
mousse, des jouets en plastazote, tout ce qui échappe
à la logique façon animation sociocul où l’anim’
se cache derrière un modèle unique)
Parfois “graphiquement discutable”
Et sur ces ateliers, je ne garde en photo qu’une partie
des réalisations…
Avec l’atelier monstre, on a comme résultat beaucoup beaucoup
d’objets vraiment réussis (parce que ce sont justement des monstres; que les disproportions, les placements suspects des yeux, des bouches
ne posent pas problème graphiquement)
Sinon, avec le couvre-lit dont je parle plus bas :
Crevette : dans la même idée que les gants
ou les serviettes de toilettes… le dessus de lit :
là, la récup’ va permettre de faire bien plus de bestiots
ou monstres…
Côté économies, on peut d’ailleurs tout réaliser (ou presque)
juste avec cette matière “peluchoneuse”…
Je vais tester en fin de semaine sur mon dernier festival enfants de l’année…
j’espère que tu vas tester la laine feutrée en vv, j’ai peur que ça soit trop long ça aussi
bon ça fait un moment que j’ai fabriqué des monstres en fourrure mais pas testé avec les enfants mais je me suis bien fait plaisir
je vais essayer de mettre des photos ce week-end avant que tu partes en saison moilapa
le bléme, c’est que ceux ceux avec la néoprène sont bien plus faciles à faire, on sent à peine les soudures sous les doigts
par contre j’ai trouvé galère avec le pistolet à colle et pas agréable au toucher
donc je sais pas si on va pas faire le corps (uniquement) en cousant les morceaux (maintenant qu’ils savent tous coudre 😀 )et coller au pistolet tout le reste
surement à la rentrée pour les TAP donc une vingtaine de mômes
pour la stéatite, je suis mitigée
tout ce qui est sculpture, ça marchait bien mais le ponçage trop fastidieux pour eux, seulement 4 ou 5 enfants (9-10 ans) ont été persévérants et ont bien fignolé
mais pour des ados ou des adultes, je suis sure que c’est un super atelier
Situla : alors ? T’as commencé avec la fourrure
synthétique ? Et la stéatite ?
Bon, sur le coup, j’ai pu tester avec des mômes…
C’était pas prévu, je devais juste passer sur
un village vacances pour voir les lieux et écouter
les discours “des lieux”… j’y ai passé finalement
trois jours…
Petit groupe de gamins, 8-11 ans.
La principale difficulté est bien celle que j’attendais :
la question de l’espace. De savoir pour l’enfant
“se repérer” dans son jouet en construction, “voir” la
forme qui n’existe pas encore.
Je pense que cet atelier fera suite à d’autres
ateliers (comme les jouets en mousse, une première
approche de sculpture qui facilitera ensuite la fabrication
des jouets en laine feutrée)
Autre réflexion à avoir : le temps (long pour certains) qu’il faut
pour “modeler” la partie principale du jouet :
là il suffit seulement de penser son atelier par
rapport aux enfants : évidemment que sur un
atelier manuel les enfants doivent pouvoir
venir et aller quand ils le veulent, partir, revenir,
aller jouer…. selon chaque enfant, chaque
personnalité (si vous avez peur de laisser
filer les gamins, vous pouvez juste mettre
une cabane à dispo à côté de l’atelier)
Découle de cette question de temps : les jouets
des enfants sont moins dense que les miens,
sans doute plus fragiles…
En même temps, c’était des conditions d’atelier
particulière : des enfants qui ne me connaissent pas
(puisque je n’étais pas là comme animateur)
un atelier donc pas du tout prévu, lors d’une
soirée jeu au micro pour les adultes et enfants, …
Sinon : je vais chercher un système pour protéger
les doigts des gamins. Ceux que j’ai eu se sont
tous piqués au moins une fois (et certains y
allaient façon bourrin alors même qu’ils redoutaient
d’autres piqures… )
Côté production : encore plus intéressant
que je ne le pensais : le manque de maîtrise des
enfants fait la “gueule” du jouet, l’expression,
la particularité. C’est la matière elle-même qui fait cela.
Testé aussi avec des animateurs qui ont eu les mêmes difficultés.
C’est du point de vue d’un atelier enfants :
pour ce qui est de la facilité de faire.
Le cou effectivement (les membres) sont délicats
à faire en laine feutrée; Et c’est aussi le premier
intérêt de laine enroulée : il est difficile de faire des
membres en mousse, en plastazote…
Mais pas pour une question de rigidité : longuement travaillée,
la laine feutrée peut devenir dure…
Si l’on prend le cure-pipe seul par exemple, pour faire
des membres, des cous… se pose la question du peu
d’épaisseur (ce à quoi répond la laine enroulée et le fait
qu’on puisse maîtriser l’épaisseur voulue)
dans le cas de la girafe, ça me semble alors évident (toujours
du point de vue “fabrication par des mômes” )
ce qui marche bien avec la laine feutrée, ce sont les bestioles
“dodues”. Ce qui par exemple a fait ma fixette sur les bestioles
façon “chambre d’enfants” (hamster et autre saloperie de lapin nain) :
C’est con mais je n’aurai certainement pas l’occasion de tester avec des mômes avant cet été…
vouais, ça envoie du steak !
pour la girafe : ben c’est pour que son cou soit plus rigide ?
hmmm…
ça devient de plus en plus tentant d’essayer 😀