[matw25]

vincenzo a écrit :
Avoir du bon sens!!!et supporter la vue du sang, ne pas avoir peur quand un môme tombe dans les pommes ou est un accident

Quand un mome est un accident, en effet c’est délicat d’en parler mais oui faut pas avoir peur 😆 😆 😆 . Désolé c’était juste trop tentant de la faire :jesors:

Sinon, je confirme que le PSC1 est un texte certifiant qu’on a suivi la formation de mon côté et qu’effectivement en termes d’évaluation il n’y en a pas forcément et que l’ajournement semble assez difficilement envisageable.

Pour le reste, comme dit avant surtout du bon sens pour être AS et suivre les avis des professionnels de santé sauf si vous tombez sur un généraliste boulet comme moi cet été 😉

[vincenzo]

Avoir du bon sens!!!et supporter la vue du sang, ne pas avoir peur quand un môme tombe dans les pommes ou est un accident

[Al-Batros]

yuna5108

Pour vous quelle doit être les compétences requise pour être as.

Attention je demande votre avis personnel.

Psc1 ou autre formation…

Je crains surtout ceux qui se prendront pour Dieu.

Pour moi, un bon AS est un qui saura facilement passer la main aux autorités médicales et qui saura lâcher son repas, sa brosse à dents, son oreiller douillet, …, n’importe quand, pour aller gérer un petit bobo.

Al

[RMR31]

Je ne sais pas si ça a été mentionné mais le public, ainsi que le nombre de vacanciers va quand même pas mal influer sur le travail de l’A.S. au quotidien.

[Erwan BERTIER]

Le PSC1 est une formation aux gestes qui ne tuent pas ! (ou qui n’aggravent pas le cas), c’est tout.
Ce n’est plus une formation complète et encore moins “largement suffisante”.

**[/quote]

Qui n’aggrave pas je suis pas d’accord pour etre AS certes le PSC1 ou plus particulierement son ancien forme AFPS est conseillé mais aprés un savoir faire et une experience pratique type infirmiere pedia ou pompiers est trés utile .

Je recommande PSC1+ experience en secourisme

[nozelle]

Bonjour,
Entièrement d’accord avec, avec semastien.
Cordialement.

[Semastien]

Matim a écrit :
“Former” est ce que c’est simplement valider un “copier coller” d’un geste sans même s’assurer qu’il a été compris ?!

Je suis le premier à dire que la réalité ne sera jamais aussi simple que dans les cas pratiques observés, qu’il faudra de toute manière s’adapter au réel, et que cela n’est possible qu’en comprenant la logique d’action de chaque conduite à tenir ;
MAIS
Didactiquement parlant, on ne peut pas ne pas revenir sur des gestes approximatifs durant la formation, car c’est justement le seul moment où ils auront l’occasion de le pratiquer sans le “parasitage” du réel avec tous les facteurs externes qui l’influenceront.
Comment peut-on attendre d’un sauveteur qu’il agisse au plus prêt de ce qu’il faut si déjà il n’a jamais ne serait-ce qu’une fois pratiqué correctement ?

Matim a écrit :
Quant au fait de ne pas laisser partir une personne qui n’a pas bien fait ces gestes, et bien c’est totalement discutable car les textes prévoient-ils les critères et modalités de validation (et donc d’ajournement) du PSC1 ?
Si je ne suis pas validé quels sont les arguments qu’on peut m’avancer ?? j’ai suivi la formation, j’étais présent, cela suffit donc à obtenir le PSC1.

Non : il est écrit que les participants doivent réaliser tous les gestes. Comment interpréter cela autrement que par “geste tel que décrit dans le référentiel” ?
Une personne de bonne volonté l’aura systématiquement, du moment qu’il a suivi la formation, donc :
– avec les ateliers (où l’on corrige le geste pour qu’il soit totalement correctes),
– et avec les cas concrets (où on rejustifie et fait recommencer si la conduite à tenir est inadaptée et/ou si les gestes sont dangereux ou inefficaces.)

Matim a écrit :
Vous en connaissez beaucoup des formation où vous avez la vie des autres entre vos mains et où aucune MAJ n’est envisagée et aucun critère de validation prévu ??

**

D’où l’intérêt en tant que formateur de préciser aux stagiaires qu’il est normal d’oublier, mais que de ce fait, il est de leur responsabilité de se tenir à jour, en tant que premier acteur de la sécurité civile ; pour l’intérêt de leurs proches (car c’est généralement eux que l’on cottoie le plus), d’eux-même et des gens qu’ils seront amenés à secourir.

[Import]

yuna5108 a écrit :
Pour vous quelle doit être les compétences requise pour être as.

Attention je demande votre avis personnel.

Psc1 ou autre formation…

Pour en revenir à la question initiale, plus qu’un diplôme (on ne va pas refaire la discussion sur la valeur de l’AFPS/PSC1) ce sont des compétences humaines à rechercher en premier (sens du contact, capacité d’écoute) puis techniques (rigueur, organisation…)

[Import]

nozelle a écrit :
Bonjour,
Je vais parler comme Formateur de secourisme, et secouriste Pro, et Formateur BAFA, car je vois beaucoup de questions.

et

Pour répondre je veux dire par la que, si les gestes sont sont effectuer correctement, sur une mise en situation avec correction, le diplôme est attribuer CF. les articles et je crois le Référentielle du PAE 3

me surprennent un peu… Tu es formateur et tu ne connais pas la PAE3 ?

Il n’y aura moins de matraquage que le PSE ou la vous devenez Secouriste Pro.

Hors les SP professionnels les PSE1/2 ne sont pas considérés comme pros.

Faire un C/C du référentiel ne fait pas d’un interlocuteur un spécialiste de la question et je trouve pour ma part qu’il manque une grande part de rigueur dans tes propos.

A bon entendeur…

[Matim]

nozelle a écrit :
Je dis cela car la plus pars des stagiaire ou des personnes que l’on forme au PSC 1 oublie rapidement les gestes ce qui est bien dommage, il suffis parfois de 2 semaines

Cela revient à réduire ce PSC1 à du bachotage, qui monopolise le cerveau pendant 1 petite journée , juste le temps de reproduire un geste qui vient d’être vu…

“Former” est ce que c’est simplement valider un “copier coller” d’un geste sans même s’assurer qu’il a été compris ?!
Quant au fait de ne pas laisser partir une personne qui n’a pas bien fait ces gestes, et bien c’est totalement discutable car les textes prévoient-ils les critères et modalités de validation (et donc d’ajournement) du PSC1 ?
Si je ne suis pas validé quels sont les arguments qu’on peut m’avancer ?? j’ai suivi la formation, j’étais présent, cela suffit donc à obtenir le PSC1.

Ce qu’il advient des connaissances après cette journée, c’est une autre histoire dont peu de personnes se soucient, a commencer par le legislateur qui n’a prévu AUCUNE mise à jour…
Vous en connaissez beaucoup des formation où vous avez la vie des autres entre vos mains et où aucune MAJ n’est envisagée et aucun critère de validation prévu ??

**

[Semastien]

nozelle a écrit :
Il n’y aura moins de matraquage que le PSE ou la vous devenez Secouriste Pro.

Je vais jouer sur les mots, mais on ne devient pas secouriste professionnel par la détention de ces certificats PSE1&2 : Ils assurent la reconnaissance d’une expertise secouriste de la part de son détenteur, et ne disent rien sur son statut.

[nozelle]

Semastien a écrit :
Euh, les gestes doivent être fait correctement, sinon, bein on refait jusqu’à ce que le geste soit correcte. On ne laisse pas partir un stagiaire qui n’a pas effectué chaque geste correctement.

Bonjour,
Pour répondre je veux dire par la que, si les gestes sont sont effectuer correctement, sur une mise en situation avec correction, le diplôme est attribuer CF. les articles et je crois le Référentielle du PAE 3.

Il n’y aura moins de matraquage que le PSE ou la vous devenez Secouriste Pro.

Je dis cela car la plus pars des stagiaire ou des personnes que l’on forme au PSC 1 Oublie rapidement les gestes ce qui est bien dommage, il suffis parfois de 2 semaines. l’essentielle sera la mais avec le temps…….

Cordialement.

[Semastien]

Euh, les gestes doivent être fait correctement, sinon, bein on refait jusqu’à ce que le geste soit correcte. On ne laisse pas partir un stagiaire qui n’a pas effectué chaque geste correctement.

[Matim]

Je vois pas trop l’intérêt de faire un copier coller du pavé des contenus .. Un lien bien choisi aurait été plus efficace.

Bref, moi ce que je retiens c’est ça :

Pour l’obtention du PSC 1, même si vous ne faites pas les gestes correctement du moment que vous avez suivie tous les modules et que vous avez voulue apprendre les gestes

C’est tristement clair…
De la bouche d’un formateur on vous dit que même si vous faites pas les bons gestes vous obtenez le PSC1 !!

Ce n’est pas une attestation de formation aux gestes d’urgence, c’est une attestation de présence à la demonstration des gestes qui ne tuent pas
Cela devient ridicule.

A quand le PSC1 par correspondance ?

**

[nozelle]

Bonjour,
Je vais parler comme Formateur de secourisme, et secouriste Pro, et Formateur BAFA, car je vois beaucoup de questions.
Pour etre assistant sanitaire le simple PSC 1 Suffi, Hors je ne sais pas si vous s’avais mais pour l’obtention du PSC 1.
Dans un premier temps le l’AFPS (Attestation de Formation aux Premiers Secours) n’existe plus depuis 2007 il devient PSC 1 “Prévention et secours civiques de niveau 1”.
Depuis Juillet 2012 un reforme également est tomber pour le PSC 1, la formation n’est plus de deux jours mais de 1 Jour, soit 7h00 de Formation.

Il vous suffis donc de suivre la formation de 7 h00 avec les Modules :
 L’ALERTE,
 PLS (Position Latérale de Sécurité)
 La RCP : (Réanimation Cardio-pulmonaire) sans et avec matériels (Anne (pour les gros plan, et une Victime pour les plan large.)
 La protection (Visible sur intervention mise en situation)
 La victime s’étouffe (Mise en situation, au ralentie avec une accélération au montage).
 La victime saigne abondamment
 La victime se plaint d’un malaise
 La victime se plaint après un traumatisme

Pour l’obtention du PSC 1, même si vous ne faites pas les gestes correctement du moment que vous avez suivie tous les modules et que vous avez voulue apprendre les gestes. On part du principe ou un enfant peut obtenir le PSC 1, il est à la portée de tous, dès 12 ans et sans limite d’âge. il est également valable a vie. Hors comme tous diplômes si vous ne pratiquez pas les connaissances partent. Si vous ne pratiquez pas, nous vous conseillons de faire une mise à niveau tous les ans, voir tous les deux ans. surtout si vous êtes régulièrement avec un publique, comme des enfants qui sont en général assez casse coup ^^

A ce jour il n’existe pas de PSC 2.

Après, au niveau des compléments pour les PSC 1, cela sera plus sur des petits point précis comme exemple sur un camp, il faudra voir les sanitaires assez souvent etc. des petites choses.
Mais quand les organisme vous forme Attention ! ! Car il n’y a pas toujours un diplôme valable (Le diplôme que vous aurez ne pourra etre utilisé que dans l’organisme ou vous êtes).
Apres il existe des Organisme qui vous forme au PSC 1, avec un diplôme et un emploie a la clef mais a ce jour cela reste assez rare avec la crise.

Si vous voulez le niveau supérieure je vous invite a passer le PSE 1 et PSE 2.
Cela sont des diplômes professionnel, avec une recyclage obligatoire tous les ans.
Déjà que cela soit le PSE 1 ou le PSE 2 ils sont sur 40h00 soit une semaine.
Puis la revanche pour la validation cela n’est pas la même chose vous devez faire des validations de compétence.

Au niveau formation on voit quoi vous allez me dire ?

Alors pour le PSE 1

PRESENTATION DES MODULES :

1ère partie : Le secouriste et la chaîne de secours

M1 : LE SECOURISTE
Rôle et responsabilité du secouriste
Le dispositif et le matériel
L’attitude du secouriste

M2 : LA CHAINE DES SECOURS
Les étapes de la prise en charge d’une victime
Les acteurs de l’organisations des secours

2ème partie : la sécurité et la chaîne de secours

M3 : LA SECURITE
La sécurité individuelle du secouriste
La sécurité de la zone d’intervention
La sécurité collective face à un risque majeur

M4 : L’ALERTE
Assurer la transmission de l’alerte

3ème partie : la victime présente une urgence vitale

M5 : L’OBSTRUCTION BRUTALE DES VOIES AERIENNES
L’obstruction des V.A chez l’adulte et l’enfant
L’obstruction des V.A chez le nourrisson
L’obstruction partielle des V.A
Cas concrets

M6 : LES HEMORRAGIES EXTERNES
L’hémorragie et ses conséquences
La compression directe
Le garrot et la section de membre
Les hémorragies extériorisées
Cas concrets

M7 : L’INCONSCIENCE
L’inconscience, signes et principe l’action de secours
La victime est consciente et respire : CAT à un secouriste
La victime est un malade inconscient qui respire : CAT à deux secouristes
La victime est un blessé inconscient qui respire : CAT à deux secouristes
Cas concrets de synthèse

M8 : L’ARRET CARDIO RESPIRATOIRE/ La réanimation cardio-pulmonaire
Signes, causes et principe de l’action des secours
La victime adulte est inconsciente et ne respire pas : CAT à un secouriste
La victime est un enfant ou un nourrisson inconscient qui respire : CAT à un secouriste
La victime est un nourrisson inconscient qui ne respire pas : CAT à un secouriste
La victime est inconsciente et ne respire pas : CAT à deux secouristes avec matériel sans D.A
La victime est inconsciente et ne respire pas : Cas particuliers

M9 : L’ARRET CARDIO RESPIRATOIRE/ La défibrillation automatisée externe
La chaîne de survie et la défibrillation automatisée externe
Le défibrillateur automatisé
Mise en oeuvre du défibrillateur automatisé au cours d’un RCP de l’adulte à deux sauveteurs
Circonstances particulières d’utilisation du défibrillateur automatisé
L’arrêt cardio- respiratoire- Cas concret de synthèse.
PROGRAMME du PSE1
Premiers Secours en Equipe de Niveau 1
SUITE MODULE PSE 1

4ème partie : la victime présente une maladie ou un traumatisme

M10 : LES DETRESSES VITALES
Interaction des fonctions vitales
Identifier une détresse vitale
CAT devant une victime qui présente une détresse vitale

M11 : LES MALAISES ET LES MALADIES
Les différentes zones du corps humain
Interroger et examiner une victime qui présente un malaise ou une maladie

M12 : LES ACCIDENTS DE LA PEAU
Les plaies
Les brûlures

M13 : LES TRAUMATISMES DES OS ET DES ARTICULATIONS
Les principaux types de traumatismes des os et des articulations
La victime se plaint d’un traumatisme du dos, de la nuque et de la tête
La victime se plaint après un choc à la tête
La victime se plaint après un choc au thorax
La victime se plaint d’un traumatisme d’un membre

M14 : LA NOYADE :
Causes – effets – mécanismes- Prévention-
5ème partie : la victime doit être surveillée.

M15 : LA SURVEILLANCE ET L’AIDE AU DEPLACEMENT
Surveillance d’une victime et aide au déplacement
Cas concret de synthèse et d’évaluation.

****************************POUR LE PSE 2 LES MODULES SONT :

1ère partie : L’EQUIPIER SECOURISTE
S1 : Rôle et responsabilité de l’équipier secouriste
S2 : Equipement nécessaire à une mission de secours

2ème partie : HYGIENE ET ASEPTIE
S1 : Principe de transmission et de précautions
S2 : Accident à risque d’exposition viral
S3 : Les différents types de déchets
S4 : Techniques de nettoyage et de désinfection

3ème partie : LE BILAN
S1 : Le bilan circonstanciel
S2 : Le bilan d’urgence vitale
S3 : Le bilan complémentaire
S4 : Transmettre le bilan

4ème partie : LES ATTEINTES LIEES AUX CIRCONSTANCES
S1 : Victime d’une morsure ou d’un piqûre
S2 : Victime d’un accident électrique
S3 : Victime d’une intoxication
S4 : Victime d’un effet de souffle
S5 : Victime d’une compression prolongée des muscles
S6 : Victime d’une exposition prolongée à la chaleur
S7 : Victime d’un accident dû au froid
S8 : Victime d’une pendaison
S9 : Cas concret de synthèse

5ème partie : LES AFFECTIONS SPECIFIQUES
S1 : Malade qui présente une crise convulsive
S2 : Diabétique qui présente un malaise
S3 : Personne qui présente une crise d’asthme
S4 : Victime qui présente une réaction allergique
S5 : Femme enceinte
S6 : Cas concret de synthèse

6ème partie : SOUFFRANCES PSYCHOLOGIQUES ET LES COMPORTEMENTS INHABITUELS
S1 : Souffrances psychologiques et comportements inhabituels
S2 : Conduites à tenir particulières

7ème partie : LES PANSEMENTS ET LES BANDAGES
S1 : Les principes généraux
S2 : Le pansement prêt à l’emploi
S3 : Le pansement à l’aide d’un bandage
S4 : lot pour membre arraché ou sectionné

8ème partie : LES IMMOBILISATIONS
S1 : Les principes généraux
S2 : Immobilisation du rachis cervical
S3 : Immobilisation de la colonne vertébrale
S’ : immobilisation d’un membre

9ème partie : LES RELEVAGES
S1 : Les principes généraux de manutention
S2 : Les moyens de relevage
S3 : Installation d’une victime sur un moyen de transport
S4 : Installation d’une victime suspecte d’un traumatisme de la colonne vertébrale
S5 : Relevage d’une victime en position particulière

10ème partie : LE BRANCARDAGE ET LE TRANSPORT
S1 : Les règles de base et la surveillance d’une victime
S2 : Brancardage d’une victime en terrain plat
S3 : Franchissement d’obstacles
S4 : Chargement d’une victime ans véhicule de secours
S5 : : Transport d’une victime sur une chaise

11ème partie : LES SITUATIONS AVEC DE MULTIPLES VICTIMES
S1 : Les causes et les conséquences d’une SMV
S2 : Rôle de la 1ère équipe
S3 : Le repérage de multiples victimes
S4 : Le plan de secours particulier

12ème partie : SYNTHESE
S1 : Cas concrets de synthèse

**************************FIN DE LA PRÉSENTATION DES MODULES ******************

Si vous avez les deux diplômes que vous soyez ou non en séjour de vacance, vous avez obligation de faire l’utlisation de vos connaissance et de faire un bilan de secours ainsi qu’avec du matériel si vous en avez,
Sans Matos vous pouvez :

=> Prendre le Pouls,
=> Prendre La fréquence Respiratoire,
=> etc. en gros voici la suite :p

Les bilans

On entend par le terme de bilan, la phase de recueil d’informations, par l’équipier secouriste (ou assistant sanitaire si vous êtes titulaire du PSE 2),
permettant d’évaluer une situation et l’état d’une ou plusieurs victimes. La réalisation d’un bilan
est indispensable à toute action menée par des intervenants secouristes en équipe.
Le bilan débute à l’instant même de l’arrivée de l’équipe secouriste sur les lieux de l’intervention
et se poursuit pendant toute la durée de l’intervention. Il doit être rigoureux et structuré et
suffisamment rapide pour ne pas retarder la mise en oeuvre des gestes de secours. Sa
transmission doit permettre au médecin régulateur d’évaluer l’état de la victime afin d’adapter sa réponse.

Il existe 4 bilans :
– Le bilan circonstanciel
– Le bilan d’urgence vitale
– Le bilan complémentaire
– Le bilan de surveillance

I/ Le bilan circonstanciel (ou d’ambiance)

Le bilan circonstanciel est souvent fait par le chef d’équipe, il doit répondre à 4 questions :
– Que s’est-il passé ?
– Existe-t-il un danger ?
– Les informations en ma possession sont-elles correctes ?
– Les secours engagés sont-ils suffisants pour le moment ?

Pendant ce bilan la protection doit être effectuée et à l’issue ce bilan doit être transmit (au chef d’équipe et/ou au CODIS).

II/ Le bilan d’urgence vitale

Ce bilan a pour but de rechercher une détresse vitale chez la victime qui peut la menacer immédiatement ou à très court terme.

Dans un premier temps l’équipier secouriste doit :
– Déterminer le sexe de la victime
– Déterminer son age aproximatif
– Chercher dans l’environnement ou par l’intermédiaire des témoins ou du bilan circonstanciel des indices permettant de déterminer s’il s’agit d’un malaise/maladie ou d’une chute/traumatisme.
– Faire l’abordage (“monsieur, monsieur, si vous m’entendez ouvrez les oeils, serrez moi les mains !”) rechercher si la victime a une détresse vitale évidente (Hémorragie, obstruction totale des voies aériennes, inconscience, ACR…).

Si la victime a une détresse vitale évidente il en va de soi que le secouriste doit immédiatement faire les premiers gestes de secours adaptés à la situation.

Puis il doit faire les 8 signes :

– Rechercher PCI, (Perte de Connaissance Initiale) désorientation dans le temps et l’espace.
– Motricité et sensibilité
– Aspect des pupilles (symétrique et réactive)
– Le FARS (Fréquence Amplitude Régularité Sonorité) ventilatoire sur 1 minute
– La saturation en O2 (en %) à l’aide du duo (ou multiparamétrique) et préciser si elle est prise sous O2 (avec le débit) ou non
– Le FAR circulatoire sur 1 minute.
– La tension artérielle (systolique et dyastolique)
– Aspect de la peau (exemple : cyanose, marbrure, paleur, sueur…)

Le bilan doit être transmit au chef d’équipe.

III/ Le bilan complémentaire

Le bilan complémentaire est fait par un équipier secouriste. On en différentie deux selon si il s’agit d’un malaise ou d’un blessé traumatique.

1/ Bilan complémentaire suite à un malaise

– Ecouter les plaintes de la victime
– Effectuer le PQRST (CF. bas de page pour plus d’information):
Provoqué par ?
Qualité ? (pique, serre…)
Région ?
Sévirété ? (EVS de 0 à 4, 0 = absence de douleur et 4 = douleur insupportable)
Temps ? (depuis combien de temps dure le malaise ?)
– Rechercher les antécédants de la victime avec le MATH :
Maladie ?
Allergie ?
Traitement ?
Hospitalisation ?
– Rechercher les signes d’un AVC (asymétrie de l’expression faciale, anomalie de l’extantion des membres supérieur, trouble de la parole)

2/ Bilan complémentaire suite à un risque de traumatisme

– Rechercher le mécanisme de l’accident (hauteur de chute, violence, vitesse du choc sur un AVP…)
– Analyser les plaintes de la victime et appressier la sensibilité et la motricité de la victime
– Rechercher les antécédants avec le MATH
– Le secouriste doit rechercher par le regard, les pleintes de victime et les palpations : les contusions, déformations, gonflements, brûlures, plaies, lacérations… les palpations sont à faire de la tête au pieds sans oublier les parties cachées ou à terre.

NB : Si la victime est inconsciente : le MATH et PQRST peuvent être fait grâce aux témoins et la palpation est à faire une fois tous les vêtements entièrements découpés.

A l’issue du bilan complémentaire, l’équipier secouriste doit :- Transmettre le bilan pour demander un avis médical (soit à son responsable d’équipe,
soit directement au médecin) ;
– Réaliser les gestes de secours nécessaires (position d’attente, pansements,
immobilisation…) dans l’attente d’un renfort ou d’une mise en condition de transport de la victime (immobilisation, relevage, installation sur un brancard…).

IV/ Bilan de surveillance

L’équipier secouriste doit surveiller la victime en permanence en :- Lui parlant, en lui expliquant ce qui se passe pour la réconforter ;
– Appréciant son état de conscience ;
– Recherchant une modification de ses plaintes : Avez-vous plus ou moins mal, la douleur
est-elle toujours la même ?… ;
– Appréciant l’aspect de sa peau ;
– Contrôlant régulièrement la fréquence respiratoire et cardiaque.

Si l’état de la victime s’aggrave, l’équipier secouriste refait un bilan d’urgence vitale, rend
compte à son responsable d’équipe ou demande un avis médical et adapte immédiatement la
conduite à tenir.
L’efficacité des gestes de secours réalisés est aussi contrôlée régulièrement : arrêt des
hémorragies, reprise de signes de circulation ou de respiration, qualité d’une immobilisation,
protection contre le chaud, le froid…
Lors du transport d’une victime, il est parfois nécessaire de renouveler le bilan complémentaire
et d’effectuer les gestes appropriés à toute modification de ce bilan.

***************************************FIN DE LA PARTIE DES BILANS**************************

Les bilans présentés ici sont ceux enseignés au PSE 1 et PSE 2, ils sont donc différents de ceux enseignés par l’ancien
NB : ce cours ne remplace en aucun cas la formation donnée lors du PSE 2.

Puis avec Matériel il sera possible d’aller beaucoup plus loin bouteille d’0², DAE, oxymètre, de pouls,……
ainsi que le conditionnement de vos victimes, Plan Dur, Matelas Coquille, brancard cuillère.

Après si vous avez le Choix entre pas de Formation est une Formation du PSC 1, même s’il s’agit d’un diplôme “bateau” je vous invite à le faire.
J’espère que mon aide servira.
Cela vous intéresserez que je développe ou vous fasse un Topique avec des petites partie sur le Secourisme pas comme la un pavé 🙂 ?
dans l’attente de vos réactions et vos questions

Cordialement.

LE PQRST en détaille :

Le PQRST est une méthode d’évaluation de la douleur par entrevue. Il s’agit de questionner
la personne qui souffre afin d’obtenir un portrait le plus juste possible de la douleur qu’elle
ressent et ainsi intervenir d’une manière efficace.
On utilise l’acronyme afin de se remémorer les items à questionner, soit:
◦ P:
▪ provoquée par: conditions ou événement précis
▪ palliée par: ce qui soulage
◦ Q:
▪ qualité: subjectif – cuisant, brûlant, écrasant, vive
▪ quantité: intensité, sévérité: échelle de 1 à 10 (numérique) ou de Gélinas
(avec des visages illustrant différentes émotions)
◦ R:
▪ région: siège de la douleur – repère anatomique – projetée, profonde,
irradiée, superficielle, cutanée
◦ S:
▪ signes: diaphorèse, tachycardie
▪ symptômes: céphalée, nausées, étourdissements
◦ T:
▪ temps: moment du début, durée et séquence: quand, combien de temps,
moment
◦ U:
▪ understand: signification de la douleur pour le patient: à votre avis, d’où cela
vient-il?
◦ aussi: réaction affective, stratégies d’adaptation, influence sur les activités de la
vie quotidienne (AVQ), attentes du patient

[Langelous]

c’est à dire qu’en complément du diplome dont on parle, il existe aussi des formations internes qui permettent de compléter l’apprentissage, notamment sur les “qualitudes” à avoir en tant qu’AS face aux jeunes.

Est-ce que tous ces éléments répondent à ta question ?

[yuna5108]

c’est a dire?

[Langelous]

yuna5108 a écrit :
je me suis peu être mal exprimer je voulais plus parler du savoir faire mais également du savoir être.

Ouaip et ?

Ce qu’il faut avoir en tete aussi c’est que certains organismes de séjour de vacances forment leurs AS, moyennant comme pré-requis le PSC1. Donc on ose espérer – en tout cas je m’y efforce lorsque je forme des AS au sein de ma structure – que la formation réponde à tes attentes en matière de : role, qualités, … donc tout ce qui va répondre au savoir, savoir-etre, savoir-faire et sans oublier la carte du joker en cas de dépassement de ses compétences d’AS.

[yuna5108]

je me suis peu être mal exprimer je voulais plus parler du savoir faire mais également du savoir être.

[Langelous]

Matim a écrit :

emma29 a écrit :
Comme l’ont dit les autres, le PSC1 est largement suffisant.

Salut.
Je modérerai tes propos en disant que le PSC1 est à peine suffisant !
C’est pas en 7 heures de bachotage qu’on devient AS…

Le PSC1 est une formation aux gestes qui ne tuent pas ! (ou qui n’aggravent pas le cas), c’est tout.
Ce n’est plus une formation complète et encore moins “largement suffisante”.

**

Soit tu parles de la formation PSC1 en elle meme en tant que rouage du mecanisme des secours, et dans ce cas, je te rejoins.

Soit tu parles du rôle de l’AS en ACM et dans ce cas là, je ne vois même pas pourquoi on a besoin du PSC1, vues les prérogatives qu’on nous demande.

Je rejoins aussi ce qu’évoque Lau sur le relationnel de ce role, mais la question étant sur le diplome, j’ai du mal à croire qu’un diplome enseigne a avoir un “bon” relationnel.

[Auteur]

Messages