Pouvoir et direction

  • Ce sujet contient 67 réponses, 16 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par solleana, le il y a 11 années et 10 mois.
20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 68)
  • Auteur
    Messages
  • #67704
    Import
      @import

      Bon, alors disons accompagner…

      #67714
      Images
        @images

        à encadrer les stagiaires

        Tu parles “d’encadrer”, alors que je parle d’accompagner. Le premier terme implique de poser des limites et est restrictif (le cadre ne doit pas être dépassé) alors que le second se propose d’avantage de créer un climat de confiance dans lequel le novice peut expérimenté et se former sans crainte de la hiérarchie lui rappelant ce cadre.

        #67720
        Import
          @import

          Très bien analysé, Mr Images (Jérémie).
          Personnellement, je laisse beaucoup d’autonomie et de responsabilité à mes animateurs, j’incite même les plus anciens ou capés à encadrer les stagiaires. Tout ceci fonctionne très bien, d’ailleurs !

          #67773
          Images
            @images

            @ Moilapa:

            “L’idée même d’autonomie, par exemple, n’a pas le moindre sens sur les accueils enfants : parce que les “passeurs” de cette idée, sont ces animateurs enfantillisés, qui ne peuvent prendre de décision, inventer, créer…”

            Là, je ne te suis pas, qu’entends tu par la?

            Je pense que ce qu’il veut dire c’est que dans un système ou les anim se voient imposés des thèmes, retenus dans leurs projets par une direction frileuse, sans parler des jeux plus ou moins débile qu’on utilise pour amener une réflexion chez eux…

            Je me suis déjà exprimé sur le sujet du pouvoir et de la direction. A mon sens, le milieu de l’animation souffre d’un très grave complexe d’infériorité vis à vis des autres institutions et surtout vis à vis de l’école. Il n’y a qu’à voir l’arsenal de dossier, projet, bilan, déployer pour essayer de “faire sérieux” par rapport à l’école pour s’en convaincre !

            La relation d’un directeur avec une équipe vient à mon sens en partie de la. La direction à pour soucis de faire bonne figure face aux parents et surtout face à l’école en ayant pour conséquence de reproduire certaines méthodes plus coercitives pour assurer une certaine qualité.

            Outre cet aspect, je reste persuadé qu’il existe une forme de dominance très fortement animal dans les rapport directeur/animateur. Le directeur est celui qui, par son expérience et/ou ses diplômes, exerce une ascendance sur les autres que l’on peut comparer à une meute (sans aspect péjoratif). Comme dans tous groupes sociaux, il existe une lutte permanente pour être leader car être en tête apporte une reconnaissance, un statut face aux autres qu’il s’agira ensuite de défendre pour ne pas perdre la face (Goffman toujours).

            Le serpent se mord ainsi la queue, il y a lutte pour le “pouvoir” car il y a reconnaissance de ce “pouvoir” et l’ambition de garder ce “pouvoir” entraîne un certain mode coercitifs qui engendre à nouveau lutte pour le pouvoir de la part des subordonnés ne voulant pas perdre la face non plus…

            Ce raisonnement mériterais bien sûr d’être approfondi mais il relate plutôt bien les divers expériences que j’ai pu avoir et mes observations de terrain.

            D’un point de vue plus axé sur le terrain, il est vrai que j’appréhende la fonction de direction de la même manière que Moilapa : c’est à dire plus centrée sur l’administratif et la gestion.
            Certains pourront alors me dire : qui va former les animateurs dans ce cas et leur poser des limites ?

            C’est bien là le font du problème car plutôt que d’accompagner une réflexion, les direction ont bien plus souvent tendance à formater et imposer une ligne de fonctionnement en se basant sur un rapport “enseignant/enseigné” que l’on retrouve dans les conseils (bien souvent innocent) du directeur à un stagiaire. Dans toute équipe cohabite des animateurs d’expérience et d’autres plus novices, les plus vieux aidant les plus jeunes et leur offrant la possibilité d’essayer par eux mêmes comme c’est le cas pour les centres qui font le choix de mélanger petits et grands.

            On ne peut s’empêcher de revoir surgir cette peur de laisser un animateur “s’essayer” au contact avec les enfants et vivre ce contact et cet échange avec eux. L’argument appelé par les directeur sera bien souvent sécuritaire (parfois admissible) mais cachera trop souvent la peur de perdre le contrôle sur ses subordonnés et pire : sur les enfants qu’il faut “cardrer” “gérer”.

            On insiste ainsi à une intrusion de directeur donnant son point de vue sur un fonctionnement culturel et social qui, bien que le bureau ne soit qu’au premier étage; lui est totalement étranger car il n’a pas vécu l’instant T de la formation d’un jeu, n’aura pas suivi son évolution et n’en aura pas compris la matrice. le jeu sera donc mis à mal par cette intrusion voir stoppé par de faux arguments cachant une fois de plus les peurs que j’ai déjà cité.

            Il serait d’ailleurs intéressant de s’attarder sur la réaction du groupe (enfants) face à cette intrusion et de voir quel mécanismes de défense se mettent en place dans ces cas la… Je n’irais pas plus loin sur ce domaine par manque d’observation.

            #67797
            Import
              @import

              @Ludou : j’aime bien ces colos thématiques où l’on sait dans quelle direction on va, c’est sécurisant !

              #67818
              Laclairiere83
                @laclairiere83

                @ Moilapa:

                “L’idée même d’autonomie, par exemple, n’a pas le moindre sens sur les accueils enfants : parce que les “passeurs” de cette idée, sont ces animateurs enfantillisés, qui ne peuvent prendre de décision, inventer, créer…”

                Là, je ne te suis pas, qu’entends tu par la?

                #67823
                ludou
                  @ludou

                  Directeurdu34 a écrit :
                  Il ne peut pas laisser l’équipe décider tout et n’importe quoi sans s’assurer que la sécurité physique, morale et affective des enfants sera bien respectée !

                  ce qui est, somme toute, assez facile à vérifier si on est présent sur le terrain, non ?
                  Un dirlo sur le terrain (presque en permanence, c’est possible sur les séjours à effectifs raisonnables), ça permet de laisser une marge de manœuvre aux anims et même une capacité à décider assez grande. Idem avec les enfants… d’où des séjours co-construits, sans affiches de mai 68 ni bédos fumants… où chaque individu peut faire, peut décider de ce qui est bon pour lui. Evidemment, dans un séjour “Photo et journalisme” (made in Telligo), c’est un peu plus difficile…

                  #67827
                  Import
                    @import

                    J’aime bien le “directeur qui n’est plus qu’un gestionnaire”… Personnellement, je reste proche du terrain donc serait-il possible de ne pas généraliser ? Mais comme il a été souligné, effectivement les responsabilités du directeur sont grandes par rapport à son travail ! Il ne peut pas laisser l’équipe décider tout et n’importe quoi sans s’assurer que la sécurité physique, morale et affective des enfants sera bien respectée !

                    #71206
                    erenault
                      @erenault

                      Moilapa,

                      Tu vas pas bosser avec un connard qui a une vision de l’enfance à l’extrème de la tienne

                      assez d’accord avec toi. à vrai dire, j’ai autre chose à foutre que de me mettre sur la tronche avec un blaireau même si, de temps en temps, ça me tente un peu…

                      pour revenir à ma remarque, elle était plus en terme générique. j’ai vu pas mal de directeurs (en séjours, en al ou dans des stages de formation) qui partaient plusieurs fois d’affilé avec les mêmes équipes, avec un joli projet bien ficelé… tu vois où je veux en venir, j’imagine… dans la plupart des cas (j’admets évidemment des exceptions à ce que je vais dire) le dirlo y va tranquilou parce que clairement il n’y a plus aucune remise en question par ses anims.

                      si remise ne question il y a eu au départ, de son pouvoir, de ses idées, de ses fonctionnement, le fait de repartir systématiquement avec cette même équipe instaure rapidement une routine qui légitime d’elle-même ce pouvoir qui n’est plus ni partagé ni discuté. Et c’est notamment ce que je voulais dire dans ma remarque.

                      du coup, par rapport à ce que disais Shaa, j’émets la même réserve.

                      Combien de fois avez-vous pu le faire ? Repartir avec la même équipe ? Sur la même structure ? Avec le même organisateur ? Des envies et des intentions qui sont déjà appropriées par l’équipe ?

                      repartir avec les mêmes anims, dans la même structure, avec la même population, pourquoi pas, mais avec ce prérequis de remise en question de ce qu’on a fait avant. à mon sens, l’intention qu’on avait peut demeurer la base du travail, mais le fonctionnement, le rythme, l’intégration des enfants dans chaque décisions, et le nom du gars qui fait office de dirlo sur les papiers doivent être systématiquement rediscutés.

                      et par rapport à

                      Ça demande aussi des espaces pour souffler, analyser ce vécu et repartir sur d’autres pistes dès lors que les fondations sont posées.

                      je suis complétement d’accord. ça suppose une disponibilité qu’on ne trouve pas forcément partout (voire rarement) dans l’animation socio-cul.
                      m’enfin, j’espère avoir été clair, il est encore un peu tôt… 🙄

                      #71232
                      moilapa
                        @moilapa

                        Erenaut : Ton
                        Il me semble assez intéressant aussi de travailler de temps en temps avec des inconnus,

                        en réponse à mon :
                        Le mieux que l’on ait affaire, c’est de choisir les gens avec qui l’on bosse, le plus précisément possible (et heureusement elles existent !!!) C’est avec qu’elles que l’on peut avancer….

                        ait pas tout à fait approprié :

                        Les personnes avec qui on choisit de bosser, ce ne sont pas forcément des gens que l’on connaissait avant de se mettre d’accord : ce sont celles que l’on rencontre en entretien, avec qui on échange un minimum 1 heure (2 heures généralement) lors de cette première rencontre : avant la rencontre, c’étaient des inconnus !!! Il y a tellement à faire sur le terrain entre les enfants et les animateurs qu’il y a intérêt à être sur la même longueur d’onde, (ne serait-ce que sur cette idée de remise en question constante !!!! De tout !!! Du fonctionnement jusqu’à la gestion d’équipe…) gagner du temps en ce mettant d’accord sur une vision commune sur tout ce qui est essentielle, ce sur quoi l’on ne peut mettre un mouchoir !!!
                        Cette idée de remise en cause, elle est primordiale !!!
                        Et d’ailleurs, quelqu’un qui m’embauche sait pertinament ce que cela implique de remise en cause. Ca fait partie de ce qui est mis sur la table. C’est même de fait une attente du recruteur… Enormément de choses se disent durant ces deux heures, même si les recruteurs n’imaginaient pas qu’un entretien pouvait durer autant…

                        Pour ma part, je reste en moyenne deux mois sur le même lieu… ce qui fait que je suis très souvent à la recherche de nouveaux lieux, et donc de nouvelles équipes… (et en même temps : pas de temps à perdre : cette “vision commune” la plus “creusée possible pour ne pas ensuite perdre du temps quand je propose une autre organisation pour tel ou tel temps.

                        Tu vas pas bosser avec un connard qui a une vision de l’enfance à l’extrème de la tienne, qui met en place un fonctionnement que tu trouves totalement aberrant, dans un fonctionnement qui va t’obliger à taire les valeurs qui te semblent “incompressibles” (c’est pas le terme que je voulais utiliser, mais à raison de mieux…) . Sauf dans le cas où tu vas sur ce lieu justement pour te friter ! Pour en faire baver au connard en question, faire réagir l’équipe…ce qui peut arriver, mais pour quelqu’un qui met avant tout en avant le plaisir à bosser, faut vraiment avoir la hargne, faut vraiment que le type soit con et que son discours me hérisse le poil…

                        #71323
                        Al-Batros
                          @al-batros

                          erenault

                          à la condition que ces personnes que tu vas choisir n’hésitent pas à te remettre en question.

                          Et à la condition que tu acceptes cette remise en question.

                          Et à la condition que tu puisses t’opposer sans qu’on te traite de débile, de malade, … ou autres nom de mes collègues.

                          Al

                          #71324
                          Shaaa
                            @shaaa

                            De mon côté, je dirais qu’il me manque un élément essentiel dans l’animation volontaire : du temps. Pour que la relation se construise, les conflits soient dépassés, les idées qui se concrétisent… Or, avec son côté occasionnelle et temporaire, les gens travaillent une fois entre eux et puis s’en vont. Difficile de construire quelque chose de solide en si peu de temps…

                            (S’)autoriser, ça prend du temps et ça demande du vécu pour dépasser les “niveaux 0 de la pensée” auxquelles j’ajouterai les pratiques et l’organisation de la structure. Ça demande aussi des espaces pour souffler, analyser ce vécu et repartir sur d’autres pistes dès lors que les fondations sont posées.

                            Combien de fois avez-vous pu le faire ? Repartir avec la même équipe ? Sur la même structure ? Avec le même organisateur ? Des envies et des intentions qui sont déjà appropriées par l’équipe ? Ce serait trop beau. 😀 (ceci dit, des organisateurs tentent de construire cette possibilité).

                            Une équipe en autogestion, d’accord mais pas avec n’importe qui ! 😀

                            Au passage, le métier d’animateur n’évoluera pas tant qu’il sera un métier de transition (vers d’autres métiers ou d’autres statuts : dirlo, coordo…)

                            #71325
                            erenault
                              @erenault

                              Le mieux que l’on ait affaire, c’est de choisir les gens avec qui l’on bosse, le plus précisément possible (et heureusement elles existent !!!) C’est avec qu’elles que l’on peut avancer….

                              à la condition que ces personnes que tu vas choisir n’hésitent pas à te remettre en question. Il me semble assez intéressant aussi de travailler de temps en temps avec des inconnus, ce quelque soit leur expérience. parce qu’à ces personnes là, on est amené à expliquer son fonctionnement, on peut être déstabilisé parce que ce qu’on pensait évident ne l’est pas pour tout le monde, et qu’expliquer ce qui semble évident n’est pas si aisé que ça.
                              et ça aussi, ça permet d’avancer.
                              m’enfin, il me semble 😉

                              #71335
                              Import
                                @import
                                #71345
                                Ggamer
                                  @ggamer

                                  Ok, merci, ça fait toujours plaisir de venir discuter. Mais si on pouvait éviter de tomber dans les attaques personnelles à chaque fois, ce serait peut-être plus formateur. Parce que faire une 20aine de lignes uniquement sur mon faible niveau intellectuel, ça bride un peu le débat non ?

                                  A +

                                  #71346
                                  Import
                                    @import
                                    #71359
                                    moilapa
                                      @moilapa

                                      Il y aura toujours ce décalage sur le site… En dehors des quelques personnes réellement capables d’échanger, on liera encore et encore ce genre d’idioties… et l’idée de participer à une réflexion naissante (ce que tu ambitionnes et que je ne partage pas vraiment) se heutera à la réalité de cette animation sociocul : cette andouille ou une autre, elle durera ce qu’elle durera : le système fait que la majorité des intervenants de l’animation ne durent pas… on ne pourra que se répéter alors, avec d’autres andouilles… ce n’est donc pas tellement grâve, aussi bête soient ces affirmations péremptoires…

                                      Et quand bien même on a affaire in situ à des gens qui naviguent depuis un bout de temps, cette animation sociocul est tellement sclérosée que je ne suis pas sûr que cela soit une bonne chose… le temps ne faisant qu’encrer un peu plus profondemment cette bêtise… Combien de personnes refermées sur un “périmètre limité” n’ont plus aucune référence pour confronter leurs “vérités” à autre chose que rien du tout (leurs collègues…) ? Quel vécu, quelle formation, quelles références leur a t-on donnés pour cela, d’ailleurs ?

                                      Le mieux que l’on ait affaire, c’est de choisir les gens avec qui l’on bosse, le plus précisément possible (et heureusement elles existent !!!) C’est avec qu’elles que l’on peut avancer….

                                      Ici, dans ce cas-là, ça tient plus de la récréation…

                                      Et s’agissant de ces personnes qui viennent avec candeur nous faire profiter de leur bonne parole couillonne, heureusement bien souvent sur le terrain on peut quand même imaginer bosser avec elles… le “format” internet a la facheuse tendance, je trouve, à “figer” les positions… la “réalité du terrain” (notamment le face à face que l’on ne peut esquiver facilement comme ici) fait que cela est moins confortable….

                                      Par exemple içi, c’est tellement gros de connerie qu’il est difficilement imaginable que cette personne pense et fonctionne réellement comme cela le laisse croire… déjà elle n’est pas seule, comme on l’est devant son ordinateur… on peut se dire que si la contradiction ne vient pas d’une équipe amorphe, elle peut venir des enfants, si ils sont assez grands pour ça. Et que leur éducation les a préparés à cela….

                                      Et ça, par contre, on peut agir dessus… C’est même au centre de notre métier…

                                      #71362
                                      solleana
                                        @solleana

                                        On est effectivement au niveau 0 de la réflexion, lorsque que ce qu’on a à dire se limite à : “c’est celui qui parle plus fort qui domine dans un groupe”

                                        Il faut n’avoir pas observé un groupe pour aboutir sur un tel raisonnement. Il y a de multiples façon d’avoir du pouvoir: alliance, évitement, chantage, dénigrement, amitiés, , histoires sexuelles etc. qui toutes participent de la construction de l’autorité ou de la prise de décision mais sur des raisons disons peu rationnelles.
                                        Ce que tu proposes c’est finalement de dire que la démocratie ne peut s’exercer donc autant ne pas s’emmerder et laisser le pouvoir à celui qui a la plus grosse. C’est un positionnement pour le moins discutable non?

                                        #71373
                                        moilapa
                                          @moilapa

                                          Tu pouvais pas choisir meilleur exemple… Que cette façon de penser l’enfant d’une autre époque… Complètement idiote, et sans doute teinter de sexualité homosexuelle refoulée (de la part de l’auteur, je ne te connais pas)…

                                          Cette façon de penser l’enfant issue d’un autre siècle (des enfants entre eux, c’est forcément la violence !!! l’anarchie !!!)

                                          en dehors des milliers de lignes que j’ai écrites sur le sujet ici bien modestement, au lieu de lire les fantasmes sexuelles d’un type mort depuis bien longtemps, quit à se référer à des morts, je te suggère notamment Cousinet, qui il y a déjà très longtemps à répondu à des gens comme toi, si limitées dans leur compréhension de l’enfance…

                                          Ou plus récemment Daniel Gayet :

                                          “La seule autorité qu’ils soient sommés de reconnaître est celle de l’instituttion et de ses représentants. Comment pourraient-ils alors gérer leurs éventuelles conflits s’ils ont été tenus à l’écart de l’élaboration du seul règlement qui se donne pour légitime : celui que des adultes ont pensé et rédigé pour les enfants à leur place ?”

                                          où Delalande, et autres auteurs cités régulièrement sur le forum, etc…

                                          “Al’école, les enfants apprennent à être amis et solidaires contre quelqu’un, contre quelque chose et non pour construire, pour coopérer dans une tâche longue et obstinée”
                                          (Cousinet cette fois)

                                          Sinon, je lis tes “compétences” dans l’ensemble de tes posts ici…

                                          #71377
                                          Ggamer
                                            @ggamer

                                            moilapa a écrit :
                                            et c’est ce type de réflexion “courte” qui “nourrit” ce système : des animateurs de moins en moins impliqués, de plus en plus infantilisés, un directeur lui aussi limité dans sa compréhension de la gestion d’un groupe humain, etc…

                                            Heu, et tu as lu tout ça dans mon post ? C’est ce qu’on appelle lire entre les lignes. Ma pensée était bien plus simple (oui, je sais, je te tends une sacrée perche 😉 ) : Dans un groupe, c’est rapidement celui qui parle le plus fort qui a raison, et la prise de décision soi-disant démocratique devient illusoire. Cela n’a rien à voir avec le monde de l’animation.

                                            D’ailleurs, cette problématique me fait tout de suite penser au livre “Sa majesté des mouches”… Une réflexion intéressante sur le pouvoir dans un groupe…

                                          20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 68)
                                          • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
                                          3
                                          0
                                          color
                                          https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                          https://archive.planetanim.fr/
                                          #febf42
                                          style1
                                          paged
                                          Chargement en cours
                                          #
                                          on
                                          none
                                          loading
                                          #
                                          Trier la galerie
                                          https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                          on
                                          yes
                                          yes
                                          off
                                          off
                                          off