[Al-Batros]

Salut la Foule,

cet été, nous avons fait un camp en exterieur, le directeur nous à demander de vérifier que les jeunes ados (entre 11 et 14 ans) se lave correctement (nous étions en exterieur, et présences de bestiole). Nous avions installer une partie douche.

Nous étions à lexterieur de l’installation mais devions vérifier par le dessus de la bache, que les jeunes se lavait bien… et surtout entre les jambes (a cause des tics.). En avons nous le droit ? Si nous avons un doute sur un jeune qui ne se laveré pas, avons nous le droit de vérifier qu’il se lave ? même d’un un lieu “en dure” ?

Quel en sont les réglementations ?

Toujours les mêmes problèmes.

Al the memory

[Simon]

Pour te répondre en partie, l’Afps n’a pas à vocation à parler de cette question comme tu t’en doutes je suppose. C’est sûr que ca pose un problème. Tout comme le fait que l’Afps ne prévoit pas dans son contenu de formation de parler de la médicamentation, des allergies, des déficits psychologiques, du traitement des “coups de soleil” etc etc… Et d’ailleurs heureusement que l’AS finalement a un champ d’action assez réduit. Dans ton cas, pour la tique, elle aurait dû certainement te renvoyer vers un médecin ou hopital car l’AS n’a pas pour vocation de soigner !
L’afps c’est quoi c’est informer(et pas former…)les personnes sur la protection et l’alerte dans des situations d’urgence. Les gestes de secours dispensés sont certes montrés et peuvent être bien sûr employés mais alors vraiment vraiment en dernier recours.
Tout ca pour dire quoi? Qu’aujourd’hui le diplôme de l’Afps bien qu’il soit obligatoire n’est sans doute pas en adéquation avec la mission que suppose l’assistance sanitaire.
D’ailleurs en me renseignant sur la mission première de l’assistance sanitaire voici ce que l’on trouve …:

Le suivi [sanitaire] consiste notamment à :

* s’assurer de la remise, pour chaque mineur, des renseignements médicaux ainsi que, le cas échéant, des certificats médicaux (…)
* informer les personnes qui concourent à l’accueil de l’existence éventuelle d’allergies(…)
* identifier les mineurs qui doivent suivre un traitement médical (…) et s’assurer de la prise des médicaments
* s’assurer que les médicaments sont conservés dans un contenant fermé à clef sauf lorsque la nature du traitement impose que le médicament soit en permanence à la disposition de l’enfant
* tenir le registre dans lequel sont précisés les soins donnés aux mineurs, et notamment les traitements médicamenteux
* tenir à jour les trousses de premiers soins

Extrait de l’article 2 de l’arrêté du 20 février 2003

voilà ce qu’on lit en transversale des lignes, assurer, informer et identifier. Si l’on est strict avec cet article, on ne désinfecte même plus. En revanche si l’on est souple, on peut se permettre des initiatives mais alors à ses risques et périls. Bref cette question est extrêmement subtile !

[Lucie]

Allez je vous raconte ma petite anecdote: 2eme colo, à 18 ans, le premier jour du centre, en allant en fin de journée à la piscine, en maillot de bain, je vois une petite bete accrochée à ma peau, bien gavée de sang… Après avoir vu avec les autres anims, je m’absente direction l’infirmerie… Où on me la retire tant bien que mal (y avait rien pour et l’AS ne voulait pas m’emmener chez le pharmacien ou le médecin). Sauf que la tête est restée, et que j’ai du retourner trois fois dans l’année chez le médecin pour un traitement antibiotique car ca s’infectait…

Alors on peut voir les choses du bon côté et on se dit qu’heureusement c’était une anim et pas un gamin…
Mais ca pose également la question de la formation des AS: est-ce que l’AFPS suffit à savoir quels sont les risques d’un tique, et comment traiter celà?
Bien connaître les mécanismes en jeu (d’accroche du tique, pourquoi il s’accroche à tel endroit, …) permet non seulement de pouvoir mieux réagir ensuite, mais aussi et surtout de faire une meilleure prévention (meilleure sensibilisation des jeunes et donc une attention accrue de leur part, protection des zones corporelles “à risque”,…).

Donc c’est pas le tout de dire aux jeunes d’aller voir les AS s’ils remarquent un tique, encore faut il que les AS sachent comment réagir!

[Al-Batros]

Bonjour, Mathusalem,

Le texte présenté n’est ni extrait de La vie du rail, ni de Modes & Travaux, ni de …

Ils provient de la DDJS de l’Isère, Instructions Départementales 2005, j’ai fait le ménage dans mon DD et j’ai trouvé ça.

Heureusement, depuis la Loi Fauchon, les instructions ne font plus partie du Réglement. Merci, Pierre Fauchon, ta loi est super!

Chocoss a raison, il vaut mieux être sage. Si je demandais aux anims des trucs comme ça, ils pourraient m’en vouloir.

Al Batros

[Chocoss]

Bonsoir à tous,

Salut Al batros, prends le temps de réfléchir à tout ça. Y a pleins de propositions pour t’aider à analyser la chose.

Pour ma part, j’ai vécu un cas de tiques.

Il y a 2 ans durant un séjour que j’ai dirigé, deux enfants (1 de 8 ans et l’autre 11 ans) ont chopés un tique. Biensur comme en début de séjour on leur en a parlé (les enfants quand vous irez jouer dans la pinède, il peut y avoir des bêtes qui se collent à vous … etc. Ne les retirez pas tout seul, allez voir plutot un anime ou l’AS), ils sont allés voir AS d’eux même. Et on a réglé l’affaire.

On n’a pas eu à avoir recourt à cette méthode (scanner les gamins à poil), et de toute façon non merci.

Salut

[Import]

cedd42 a écrit:
Bonsoir,

cet été, nous avons fait un camp en exterieur, le directeur nous à demander de vérifier que les jeunes ados (entre 11 et 14 ans) se lave correctement (nous étions en exterieur, et présences de bestiole). Nous avions installer une partie douche.

Nous étions à lexterieur de l’installation mais devions vérifier par le dessus de la bache, que les jeunes se lavait bien… et surtout entre les jambes (a cause des tics.). En avons nous le droit ? Si nous avons un doute sur un jeune qui ne se laveré pas, avons nous le droit de vérifier qu’il se lave ? même d’un un lieu “en dure” ?

Quel en sont les réglementations ?

Merci !

Pour répondre donc à la question posée:

Pas de règlementation là dessus mais l’avis semble unanime pour dire que c’est certainement une des pires solutions et que la pluppart des anims ne souhaitent pas s’inscrire dans un fonctionnement comme celui là.

Plusieurs autres fonctionnements responsabilisant le jeune ont été évoqués et semblent répondre à la nécessité de sécurité-santé des enfants.

[Import]

Euh, Al-Batros, t’as pas un peu fumé la moquette là?

Parceque ça c’est plus un documentaire sur la vie des bêtes ou plutôt un reportage santé magazine qu’un texte réglementaire…

[Al-Batros]

Bonjour, Chocoss

Sans avoir vu le texte au niveau legislation s’il existe biensur, je pense qu’il serait de toute façon un peu ambigu et impossible à appliquer.

Il existe:

“LES TIQUES
Elles mesurent quelques millimètres de long, s’attachent à la peau de l’homme ou de l’animal pour se nourrir de sang.
Une tique peut être contractée en marchant dans les herbes hautes, les broussailles, les bois et les grottes.
Elles peuvent également être rapportées dans les habitations par un chien.
Une tique attachée peut ne pas être remarquée. D’autres induisent une irritation locale, une douleur ou une bosse.
Lorsqu’on la retire, il faut veiller à ce que la tête ne reste pas dans la peau.
Certaines tiques peuvent transmettre des maladies graves dont la maladie de Lyme (problèmes articulaire, neurologique et cardiaque).
Il convient donc de s’assurer que les enfants n’ont pas contracté une tique lors d’une sortie dans la nature.
Le cas échéant, les parents doivent être prévenus afin d’en informer le médecin encas de problèmes de santé ultérieur. La maladie ne se déclare pas immédiatement et signaler cette morsure au médecin peut l’aider dans son diagnostic.

Il est bien écrit:
“Il convient donc de s’assurer que les enfants n’ont pas contracté une tique lors d’une
sortie dans la nature.”

Al Batros

[Lau]

saltimbanque a écrit:

Pour ce qui est du papier autorisant l’hospitalisation, je rêve…

Lau a écrit:
Dans les centres bien organisés il y a aussi un document qui autorise le directeur à emmener les jeunes chez le médecin et qui autorise les interventions chirurgicales.

Ce ne sont jespère pas que les centres bien organisés !!? Je vous rappelle que ce papier dont vous parlez est “LA FICHE SANITAIRE DE LIAISON” qui est OBLIGATOIRE.

Evidemment, quand je disais “les centres bien organisés” je faisais de l’ironie. 😀

Evidemment cette fiche est essentielle et obligatoire. 😳

Malheureusement, il est fréquent qu’il y ait des fiches manquantes ou mal remplies. Dans ces cas là, le problème se pose si on doit emmener un enfant chez le médecin. (J’ai vu un médecin qui a refusé de faire un point de souture à cause d’une fiche non signée.) 😎

[Al-Batros]

Salut la Foule,

A Nicocart,

Nous avons une obligation de moyens dans l’exécution de notre contrat de travail, c’est pas trouble.

Pour l’organisateur qui a un contrat avec les familles, c’est un peu différent. S’il décide que les anims doivent, ils doivent ou ils se cassent ailleurs.

Avec un AS et une cellule d’écoute en liaison satellitaire avec les services vétérinaires concernés.
Comme disait Amonbofils, quand on a les moyens … .

Et puis, on peut se dire, Moilepuissant, on viendra bien me mettre le tique à l’oreille en cas de prob …

Tu sais Nicocart, j’aurais pas aimé être ce directeur qui n’a pas traité ce problème de tique avec tac.

A Saltimbanque

Il s’agit des autorisations d’hospitalisations, c’est obligatoire, ah ça c’est sûr.
Je n’ai pas toujours eu des organisateurs réglots.

A Chocoss,

J’ai dit que dans ces cas, je vais dans l’infanterie et que je me tire ailleurs.
Mais, les gentils organisateurs nous disent pas tout, ils adorent les coquecigrues.
Dans un séjour de vacances, on veut partir, la gare SNCF est à 25 km à pied, le train mensuel est parti la veille et la seule chambre de l’unique hotel est prise par un couple de Wallis et Futuna. C’est là qu’on réalise qu’on aurait dû rester couché.
Ah, les cadres bucoliques, où tout porte l’empreinte du passé, là où les signes du monde moderne semble hésiter à prendre leur place comme tout respectueux des signes tellement présent de l’ancienne époque, c’est bien, seulement quand il n’y a pas de problème.

J’ai dit que je serais parti, mais je crois que je me serais fait eu et j’aurais fait comme ce pauvre directeur, j’aurais demandé la même chose aux anims.

Al Batros

[Nicolas]

Bonjour à tous,
Je prends un peu le débat en cours, mais si je peu émettre un avis par rapport à la question initiale : Nous n’avons pas d’ obligations de résultat mais de moyen, non ?
Premièrement : Partons du principe que ce sont des ados et qu’ils ont la possibilité de communiquer.
En 2eme point. Regarder par dessus la bâche dans un camp ados , ça fait un peu voyeur et il est vrai que l’on peu toucher à l’intégrité des plus pudiques.
Rien de nous empêche de mettre les ados au courant des “dangers” de la nature. D’expliquer certaines choses : “Ici y a des tiques !”,
– Un tique c’est quoi ?
Une bestiole qui attend votre passage pour vous sauter dessus, ça vit dans les hautes herbes, ça se place en haut ou au milieu de cuisse. Mais ça s’enlève très bien avec une certaine technique.
Avec cette explication du problème (ils ont le droit de comprendre) tu places une cellule d’écoute avec ton assistante sanitaire.
D’un autre côté, ils communiquent entre eux et aussi avec vous et je pense que si un ado ne se lave pas, l’info viendra vite vos oreilles.

Cordialement 😉

[RANCHON]

Al-Batros a écrit:

Il faut arrêter de s’éloigner de la question initiale:
Avons nous le droit de vérifier si les minôts se lavent bien?
Pour l’instant, dans le flot de messages, la réponse est noyée.

Al Batros

Mais dans un cas comme celui ci il faut arrêter de parler de loi comme tu le fais si bien. Je sais qu’elle te tiens à coeur cette loi.
Mais pour moi le respect et le bon sens est au dessus de celle-ci, chacun sa vision des choses.

Pour ce qui est du papier autorisant l’hospitalisation, je rêve…

Lau a écrit:
Dans les centres bien organisés il y a aussi un document qui autorise le directeur à emmener les jeunes chez le médecin et qui autorise les interventions chirurgicales.

Ce ne sont jespère pas que les centres bien organisés !!? Je vous rappelle que ce papier dont vous parlez est “LA FICHE SANITAIRE DE LIAISON” qui est OBLIGATOIRE.

[Chocoss]

Al-Batros a écrit:

Il faut arrêter de s’éloigner de la question initiale:
Avons nous le droit de vérifier si les minôts se lavent bien?
Pour l’instant, dans le flot de messages, la réponse est noyée.

Effectivement, certain apparement le font pour “se soulager” la conscience. Sans avoir vu le texte au niveau legislation s’il existe biensur, je pense qu’il serait de toute façon un peu ambigu et impossible à appliquer.

De toute manière le mot d’ordre “BON SENS”… Non ça fait deux mots là.

Tu le ferais toi si la loi te l’autorisait ?! Difficile à croire.

A bientôt

[Al-Batros]

Bonjour, Lau,

Lau a écrit:
Dans les centres bien organisés il y a aussi un document qui autorise le directeur à emmener les jeunes chez le médecin et qui autorise les interventions chirurgicales.

J’ai fait plus de 20 séjours de vacances. J’en ai eu aucun de bien organisé. Les organisateurs barges, ça créent des séjours galère dans lesquels on rame. Je n’en ai cependant pas connu de Titanic.

Evidemment, en cas d’urgence le médecin ou le chirurgien peut se passer de ce papier. Les parents ne pourront pas le poursuivre pour cela.

En tant que directeur, je n’ai jamais eu ces papelards.
Je ne me suis jamais tant posé de questions. Et puis, si les parents me poursuivent, j’irais en Suisse comme notre regretté citoyen …

Si le médecin n’est pas réglot il y a aussi le conseil de l’ordre qui peut intervenir.

Ah, oui pour constater l’agression ou pratiquer l’autopsie, le cas échéant.
Je préfère qu’ils restent dans leurs bureaux, ces gars là.

Comme je te l’ai déjà dit, il ne faut pas voir des pédophiles partout. Un médecin qui ausculte un jeune n’y a rien d’anormal à ça.

On a affaire à des ados, on pourrait parler d’éphébophilie?
A ce niveau là, je craindrais plus les médecins que les animateurs qui sont obligés de vérifier que les minôts se lavent bien.
Il ne s’agit pas d’auscultation, mais de chasse au tiques qu’on enlève avec un “démonte pneu”, pas très maniable dans certaines circonstances.

Il faut arrêter de s’éloigner de la question initiale:
Avons nous le droit de vérifier si les minôts se lavent bien?
Pour l’instant, dans le flot de messages, la réponse est noyée.

Al Batros

[Chocoss]

Al-Batros a écrit:

Je ne sais que ce qu’a dit l’auteur du premier message.

okay désole, je retourne donc la question à Cedd. Je crois bien que c’est lui l’intéressé. Alors ???

[Lau]

Dans les centres bien organisés il y a aussi un document qui autorise le directeur à emmener les jeunes chez le médecin et qui autorise les interventions chirurgicales.

Evidemment, en cas d’urgence le médecin ou le chirurgien peut se passer de ce papier. Les parents ne pourront pas le poursuivre pour cela.

Si le médecin n’est pas réglot il y a aussi le conseil de l’ordre qui peut intervenir.

Comme je te l’ai déjà dit, il ne faut pas voir des pédophiles partout. Un médecin qui ausculte un jeune n’y a rien d’anormal à ça.

[Al-Batros]

Bonjour, Lau,

Le médecin a aussi et surtout une certaine légitimité et ne risque pas d’attirer la méfiance des parents ou des ados comme les animateurs.

Et bien voilà, on y arrive.

C’est pour cela que j’avais écrit:

“Il faudrait pour éviter tout problème que les parents soient au courant et consentants, ainsi que les minôts.”

“Il faut que les parents soient au courant, que les ados acceptent et que les animateurs soient réglots.”

“Mais j’admets que des employeurs demandent cela à la convenance des parents.”

Etc.

Dans l’animation, tout est contrat, convention, acceptation etc.

Al Batros

PS: Des médecins pas réglots, il y en a plus que tu crois.

[Lau]

Ne faisons pas de mélange
Chez le médecin, il y a consentement de se montrer dans le cadre d’une consultation “La Médecine”

Avec un anim, il y a la proximité d’âge, c’est un grand frère.
Je ne suis pas sûr que l’ado pourra toujours utiliser seul le “démonte pneu”, alors qui va l’aider, un coullègue?

Le médecin a aussi et surtout une certaine légitimité et ne risque pas d’attirer la méfiance des parents ou des ados comme les animateurs.

Le médecin ne regarde pas les gens à poil s’il n’a pas besoin de le faire.

[Al-Batros]

Bonjour, Chocoss,

Pour ma part, le directeur n’est pas celui qui a la science infuse. Et encore moins celui qui a le derniers mot quand il s’agit de ce genre de décision vis à vis des jeunes.

Pas la science infuse, mais l’autorité qui est ici fragilisée, c’est pour cela que je préfère passer la main.

Ne faisons pas de mélange
Chez le médecin, il y a consentement de se montrer dans le cadre d’une consultation “La Médecine”

Avec un anim, il y a la proximité d’âge, c’est un grand frère.
Je ne suis pas sûr que l’ado pourra toujours utiliser seul le “démonte pneu”, alors qui va l’aider, un coullègue?

Avant cette décision, avez vous (les animes) proposés d’autres solutions ?

Le directeur vous a t-il consulté ?

Je ne sais que ce qu’a dit l’auteur du premier message.

on dirait que c’était la solution facile est la plus risquée.

J’espère aussi qu’ils ont une assurance AGF.

Al Batros

[Chocoss]

Le directeur prend une décision légale, les animateurs doivent accepter l’ordre ou partir.
Ce que l’animateurs auront à faire doit être connu avant de s’engager. S’ils s’engagent, ils doivent accepter après.
Le directeur a décidé, les anims devaient obéir, c’est tout.

Pour ma part, le directeur n’est pas celui qui a la science infuse. Et encore moins celui qui a le derniers mot quand il s’agit de ce genre de décision vis à vis des jeunes.

Pour moi, c’est comme avec le médecin, c’est lui qui décide.

Ne faisons pas de mélange
Chez le médecin, il y a consentement de se montrer dans le cadre d’une consultation “La Médecine”

Face à des problème comme cela, je ne me prend pas pour Dieu.
Les explications, le dialogue, les bonnes paroles ne sont pas une panacée.
J’imagine que le directeur a essayé avant de faire cela, je ne me crois pas supérieur à lui.

Avant cette décision, avez vous (les animes) proposés d’autres solutions ?
Le directeur vous a t-il consulté ?
on dirait que c’était la solution facile est la plus risquée.

[Auteur]

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