orayse a écrit:
Le dialogue est bien difficile en général, surtout entre personnes ne se connaissant pas.
Les forums amplifient ses difficultés de communication à cause de l’obligation de faire (au moins un peu) synthétique et la quasi-impossibilité de faire passer des intonation ou des phrases à double-sens… C’est comme cela, il faut faire avec.
Essayons (toi, moi, les autres, tous !) juste de ne pas nous braquer sur des mots sans en chercher avant le sens réel souhaité par leur auteur. 🙂
Ca c’est certain ! On dit toujours que nos idées sont plus structurées à l’écrit mais effectivement sur les Forums et sur des support types messagerie instantanée, la spontaneité, la nécessité de synthèse mènent trop souvent aux malentendus !
De plus, nous avons et portons tous une syntaxe, nos mots, nos références théoriques (fruit de nos formations, expériences pro, humaines et de nos origines) ainsi que nos spécicificités sociales et locales !
orayse a écrit:
fg6327 a écrit:
@ orayse :
J’apprécie (sic) le ton que tu prends… Jamais méprisant ou trop docte. 😉ouais bah je crains qu’il y ait ici de la réciprocité ! C’est d’ailleurs pour cette raison que je l’ai accentué !! Se prétendre “emmerdeur” est un luxe que je ne m’autoriserai pas !
Pour ma part j’estime que ce n’est pas notre vocation.
Nous sommes pourtant des maillons de la chaîne envers lesquel l’enfant peut attendre un peu de ça !
Je pense que nous aurions notre place dans cet “idéal” de réseau !Par contre, désolé, mais l’exemple des enfants mal nourris je ne vois pas en quoi cela va poser un problème : on va bien les nourrir dans nos ACM.
Un enfant/ados en état de malnutrition qui physiquement est maigre ou obèse est un signe/un “symptôme” aisément détectable d’un problème plus global (maltraitance, surendettement, pathologie type anorexie…)
La question n’est pas de juste de le rempailler en le gavant !
Et il n’ai pas besoin d’avoir une vie faite de
manques de moyens ou de précarité sociale pour avoir des difficultés. il n’est pas question de hiérarchiser les difficultés des enfants…Mais je n’ai pas eu de discours en ce sens ! D’une part, je dis que la liste est longue et d’autre part quand je parle d’alcoolisme, de manque d’affection ou de maltraitance, je n’ai jamais écris que celà ne se passait que sur fond de misère sociale !!! Ce sont peut être tes préjugés qui remontent, je sais pas mais je n’ai pas écrit ça !!!
Et puis ca y est ! Il ne faut plus donner d’exemples sous peine d’exprimer un classement ! En quoi je hierarchise ?
Il est question de faire avec, dans nos structures, et avec nos objectifs qui, s’ils sont ambitieux (je l’espère), doivent aussi savoir rester humbles.
Nous sommes d’accord !! Humbles et ouverts !!
🙂
Ne me prête pas des propos que je n’ai pas voulu avoir… Mais en me relisant il est vrai que certaines phrases peuvent être ambigües.
Donc je précise : quand je dis “on va bien les faire manger”, ce n’est pas dans le sens “on va les faire manger bien”, mais d’en celui “on va bien le faire”.
Je ne prétend gaver aucun enfant.
Mais je ne suis pas d’accord sur un point avec toi : si des signes physiques peuvent en effet être le résultat de diverses carences (pour faire court), nous ne sommes pas formés à identifier avec certitude ces signes, et surtout pas à les traiter.
Un ACM, c’est un lieu de loisirs, pas un lieu de réponse à des problèmes extérieurs… Ce qui ne veut pas dire qu’on doit les occulter ou les nier bien entendu. Mais restons à notre place, n’essayons pas de régler seuls ces problèmes et ne prétendons pas en avoir les capacités (ce n’est d’ailleurs pas ce que tu as dit).
Quand je parlai de hiérarchiser les difficultés, je ne voulais pas dire que c’était là ton propos… J’espérais au contraire élargir un peu le débat en appuyant sur un défaut que l’on constate hélas souvent (sans pour autant prétendre que c’est ton propos).
Concernant l’alcoolisme ou la maltraitance dans une famille par exemple, cela représente une difficulté sociale à mon sens.
La difficulté (ou misère) n’a rien à voir avec un type de population ou de profil socio-professionnel.
C’est un fait. Il ne dépend pas de nous. Nous ne sommes pas qualifiés pour le résoudre (mais nous devons le prendre en compte, ce n’est pas pareil).
—–
Le dialogue est bien difficile en général, surtout entre personnes ne se connaissant pas.
Les forums amplifient ses difficultés de communication à cause de l’obligation de faire (au moins un peu) synthétique et la quasi-impossibilité de faire passer des intonation ou des phrases à double-sens… C’est comme cela, il faut faire avec.
Essayons (toi, moi, les autres, tous !) juste de ne pas nous braquer sur des mots sans en chercher avant le sens réel souhaité par leur auteur. 🙂
fg6327 a écrit:
@ orayse :
J’apprécie (sic) le ton que tu prends… Jamais méprisant ou trop docte. 😉
ouais bah je crains qu’il y ait ici de la réciprocité ! C’est d’ailleurs pour cette raison que je l’ai accentué !! Se prétendre “emmerdeur” est un luxe que je ne m’autoriserai pas !
Pour ma part j’estime que ce n’est pas notre vocation.
Nous sommes pourtant des maillons de la chaîne envers lesquel l’enfant peut attendre un peu de ça !
Je pense que nous aurions notre place dans cet “idéal” de réseau !
Par contre, désolé, mais l’exemple des enfants mal nourris je ne vois pas en quoi cela va poser un problème : on va bien les nourrir dans nos ACM.
Un enfant/ados en état de malnutrition qui physiquement est maigre ou obèse est un signe/un “symptôme” aisément détectable d’un problème plus global (maltraitance, surendettement, pathologie type anorexie…)
La question n’est pas de juste de le rempailler en le gavant !
Et il n’ai pas besoin d’avoir une vie faite de
manques de moyens ou de précarité sociale pour avoir des difficultés. il n’est pas question de hiérarchiser les difficultés des enfants…
Mais je n’ai pas eu de discours en ce sens ! D’une part, je dis que la liste est longue et d’autre part quand je parle d’alcoolisme, de manque d’affection ou de maltraitance, je n’ai jamais écris que celà ne se passait que sur fond de misère sociale !!! Ce sont peut être tes préjugés qui remontent, je sais pas mais je n’ai pas écrit ça !!!
Et puis ca y est ! Il ne faut plus donner d’exemples sous peine d’exprimer un classement ! En quoi je hierarchise ?
Il est question de faire avec, dans nos structures, et avec nos objectifs qui, s’ils sont ambitieux (je l’espère), doivent aussi savoir rester humbles.
Nous sommes d’accord !! Humbles et ouverts !!
solleana a écrit:
Prends des gosses de l’ASE sur un séjour
Je n’ai attendu personne pour faire des séjours avec des enfants issus de foyers, de familles d’accueils, de structures carcérales ou vivant de grandes difficultés sociales…
Je l’ai vécu dans des séjours mal ficelés, et ils ont vécu de mauvaises vacances, sans doute en souffrant plus que d’autres à cause de leur vie.
Je l’ai vécu dans des séjours bien ficelés, et ils ont passé de bonnes vacances, sans “régime spécial”, et en ne posant pas forcément plus de difficultés que d’autres enfants soit-disant “pas en difficulté”.
@ orayse :
J’apprécie (sic) le ton que tu prends… Jamais méprisant ou trop docte. 😉
Comme tu le dis toi-même, ce n’est pas nous qui allons changer la vie des enfants dont nous nous occupons, même si nous pouvons parfois avoir une importance particulière dans leur vie.
L’idéal serait en effet d’avoir une relation avec les autres acteurs… si on veut s’inscrire dans les démarches d’aide sociale qui les entourent.
Pour ma part j’estime que ce n’est pas notre vocation.
Bien entendu je ne prétend pas qu’il faut nier les difficultés des enfants.
Un enfant battu, craintif et asocial va nous poser des difficultés et nous devrons bien réussir à lui faire vivre pleinement son séjour, comme pour tous les autres, avec leurs vies et leurs difficultés.
Par contre, désolé, mais l’exemple des enfants mal nourris je ne vois pas en quoi cela va poser un problème : on va bien les nourrir dans nos ACM.
Et il n’ai pas besoin d’avoir une vie faite de manques de moyens ou de précarité sociale pour avoir des difficultés.
Un enfant qui vit mal la pression de l’école par exemple pourra être tout autant en souffrance qu’un autre. il n’est pas question de hiérarchiser les difficultés des enfants… Il est question de faire avec, dans nos structures, et avec nos objectifs qui, s’ils sont ambitieux (je l’espère), doivent aussi savoir rester humbles.
Il n’y a pas “les enfants en difficulté”, il y a “ceux qui nous mettent en difficulté”
Et puis il y a aussi ceux qui nous mettent en échec… Prends des gosses de l’ASE sur un séjour et tu verras combien ils sont effectivement en difficulté. Comme l’a très bien dit Orayse, difficulté sociale, physique, psychologique, et effectivement cela peut nous mettre en difficulté mais les difficultés ce sont d’abord eux qui les vivent avec tout ce que cela génère de souffrances, de pathologies, de mal être…
fg6327 a écrit:
Il serait intéresséant de savoir que la DSASS ne s’occuppe en aucun cas de placer le moindre enfant (et ce depuis des décennies) !
C’est tout à fait vrai ! Mais faut peut être pas exagéré ! Celà fait une petite quinzaine d’années !
la DDASS, c’est la direction départementale des affaires sanitaires et sociales.
On va bientôt pouvoir dire c’était ! Elles disparaissent en 2009 dans 8 régions et partout ailleurs en 2010 au profit des Agences régionales de Santé !
Il n’y a pas “les enfants en difficulté”, il y a “ceux qui nous mettent en difficulté”.
Dans ce cas, à nous de nous adapter pour surmonter ces difficultés (surmonter une difficulté, c’est faire avec elle. C’est mieux que résoudre un problème où on cherche à le contourner ou l’effacer).
Plus je me vieillis et plus je prends en grippe ce genre de phrase !!! J’étais fan quand j’avais 15 ans !
Non mon pauvre, y a des gamins qui dans ce pays ont pas de quoi bouffer, y a des gamins qui subissent des maltraitances, y a des gamins qui ont des parents alcoolo dépendant, sans ressources, y a des gamins qui ne recoivent pas l’affection dont il ont besoin……… et la liste est longue !!!!
Ces gamins là sont en difficultés, ont des comportements, des exigences, des désirs, poussés à l’extrême ou au contraire complétement inexistants !!!
Alors oui, ils peuvent nous mettre en difficulté et nous chambouler dans certains cas mais franchement….
La question n’est certainement pas de contourner ou d’effacer la difficulté ! Elle est avant tout de la repérer, d’en connaître la source, de faire avec effectivement et surtout de favoriser sa limitation voire son élimination !
Mais ça n’est pas le petit pion que nous représentons dans la vie de ces gamins qui peuvent agir seuls en ce sens !
Tout ça ne peut se faire que dans une démarche globale (avec les différentes corporations qui ont en charge des bribes de vie de ces gamins) !
Sais tu que la personne alcoolique n’a pas des problèmes parce ce qu’elle est alcoolique mais qu’elle est devenue alcoolique à cause de ses problèmes (qui s’accentuent bien evidemment)… parce que l’alcool bah ça anesthésie socialement et physiquement !!!! Et pour soigner cette pathologie, bah il faut déjà éliminer les problèmes initiaux et ce un par un !!!
C’est pareil pour ces gamins du moins je le pense !!! Peut être que si nous avions des espaces d’échanges avec les différents acteurs qui peuvent agir sur ces problèmes, alors on pourrait faire quelque chose de cohérent !
Je sais, je ne répond à rien en disant cela, et je brouille sans doute le débat… Mais que voulez-vous, je suis un
emmerdeurenquiquineur de première !
Plutôt qu’emmerdeur ou enquiquineur, j’aurais davantage utilisé “rigolo” !!! :content:
sim30460 a écrit:
– vie en foyer (DDAS, famille d’accueil…)
Il serait intéresséant de savoir que la DSASS ne s’occuppe en aucun cas de placer le moindre enfant (et ce depuis des décennies) !
Cela relève de l’ASE (aide social à l’enfance, qui est gérée par le conseil général) ou de la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse) dans le cadre des enfants placés sous main de justice (c’est-à-dire placés dans une MECS (foyer), un CER (centre éducatif renforcé), un CEF (centre éducatif fermé) ou une prison (je passe les différentes options).
la DDASS, c’est la direction départementale des affaires sanitaires et sociales.
Dans le cadre qui nous intéressent ils vont plutôt s’occuper de l’hygiène de la cuisine ou de l’eau de la piscine… Pas du suivi social des enfants.
—–
Histoire de brouiller un peu ce débat qui de toute façon est complexe et ne peux pas faire conscensus :
Il n’y a pas “les enfants en difficulté”, il y a “ceux qui nous mettent en difficulté”.
Dans ce cas, à nous de nous adapter pour surmonter ces difficultés (surmonter une difficulté, c’est faire avec elle. C’est mieux que résoudre un problème où on cherche à le contourner ou l’effacer).
—–
Je sais, je ne répond à rien en disant cela, et je brouille sans doute le débat… Mais que voulez-vous, je suis un emmerdeur enquiquineur de première !
c, est clair, la norme de quoi ???
” et qui ne supporte pas cette anormalité “……
Tu crois qu’un mome dont les parents sont en prison a le choix ? 😮
Bonjour,
” Merci pour ces réponses ! Cela apporte un peu d’eau à mon moulin.
En fait, on pourrait presque dire que le public en difficulté est “celui qui n’entre pas dans la norme et qui ne supporte pas cet anormalité”.”
Et là si je suis un formateur un peu sadique, je te demande c’est quoi la norme????
Merci pour ces réponses ! Cela apporte un peu d’eau à mon moulin.
En fait, on pourrait presque dire que le public en difficulté est “celui qui n’entre pas dans la norme et qui ne supporte pas cet anormalité”.
Je veux bien me prêter au jeu….
Donc à mon avis le contexte de la demande, c’est public en difficulté dans le cadre de l’animation en ACM, sinon Korrigan n’aurait pas poster son sujet ici (inexistence de sujets sur l’animation sociale pour adultes sur Planet’anim).
Un public en difficulté c’est un public en déficit de quelque chose. Un déficit qui entraîne une difficulté par rapport au groupe et qui met donc le public en question en situation d’échec.
Plusieurs déficits :
-d’ordre notionnel : définition embrouillée des notions, incompréhension des mots…
-d’ordre social , familial : financier, violence familiale, divorce, milieu de vie….
-d’ordre médical : handicap, maladie …
-d’ordre comportemental : introverti, violent, impulsif ….
-d’ordre méthodologique : problème de logique, de projection, comment s’y prendre….
Tous ces déficits ont pour conséquence de placer en situation d’échec le public concerné face au groupe “normal” et d’être en risque de position d’exclusion de ce groupe. Le rôle de l’animateur est d’accompagner ces publics pour amoindrir les conséquences de ces déficits : réintégration, accompagnement individuel, rôle affectif, etc…
Par son action, l’animateur socialise le public en difficulté en lui trouvant une nouvelle place dans un groupe plus grand…
Les déficits décrits, c’est une liste personnelle, elle n’a rien d’exhaustive. Créée à partir de recherches sur ce qui pose difficulté à une personne….
c’est vrai que le schmibilibilick est assez déstabilisant…. m’enfin tes pistes me semblent pas mal Orayse!
Je me pose la question du mot “public”, car c’est quand même la moitié du terme!! C’est le public que tu accueilles en ACM? Dans ce cas-là ça signifie des enfants (ou peut-être des ados) en difficulté -> et là on peut retrouver les critères d’Orayse.
Si c’est les adultes, c’est carrément compliqué lô, car même un riche gars avec un boulot assuré, une situation confortable, une santé de fer (p’tain il a du bol jusque là!!), bah il a peut-être des relations familiales pourries qui le minent et le rendent psychologiquement instable… il est en difficulté!
Donc c’est vrai que sans cadre… c’est l’anarchie, oui, je sais, on l’a dit 😆
aides-nous!! on va pas dormir sinon :dodo:
Dans quel cadre te demande t’on celà !
Il est clair que face à ce qui nous semble évident, il n’est pas simple de trouver une définition.
Effectivement, je crois que nous sommes tous confrontés à des difficultés dans notre vie, deviens t-on alors un public en difficulté !
On pourrait peut être se permettre de dire qu’un public en difficulté peut l’être par différentes voies comme tu l’écris et comme d’autres l’ont exprimé : sociale, économique, addictive, mentale, physique….
Le point commun a toute ces critères pourraient peut être être les repères spatio-temporel : une personne en difficulté, quelque soit sa difficulté est une personne incapable de se projeter dans le futur, incapable de savoir de quoi demain sera fait, qui subit la vie au jour le jour…
Pour exemple, que tu sois toxico, que tu sois avec des revenus financiers instables, que tu sois schyzophrène ou sans domicile fixe, il y a ce point commun !
Néanmoins, ce dernier n’est ps valable dans le cadre du handicap (on peut être en fauteil roulant et avoir pleins de projets !)…
Effectivement c’est pas simple et celà m’interroge beaucoup quand à la réponse attendue de ceux qui t’ont posé cette question !
Après, je me demande aussi si on est en difficulté quand on se s’est pauvre ou si l’on est en difficulté quand on est précaire !
Le pauvre sait qu’il l’est, rêve de gagner au loto et s’est adapté… néanmoins face à la “norme”, il est en difficulté et ne répond pas à tous les critères !
Le précaire peut bien gagner sa vie, mais il est conscient que tous peut s’arrêter du jour au lendemain et de fait developpe un stress quand à la perte de son statut social !
De ces 2 là, qui est le plus en difficulté ?
Après, on peut peut être se dire que le public en difficulté(qui est peut être différent et à distinguer de la personne en difficulté !) est un public qui a besoin d’un ou de plusieurs tiers pour ne pas sombrer ! Le public en difficulté serait alors un public dépendant de l’autre, de l’institution mais ne le sommes nous pas tous ?
Je vais m’arreter là, j’ai pas le sentiment de faire avancer le scmililibiliblick !!!
Merci, c’est cool de lancer un sujet pareil, vais plus dormir de ma nuit maintenant :content: :dodo:
B’en en fait on m’a demandé la définition de public en difficulté. Pour moi il s’agit de n’importe qui à un moment de sa vie. Mais on m’a demandé des critères.
Il y a les difficultés sociales, économiques, psychologique, le handicap… On m’a alors demandé d’être plus explicite. Et là, je cale.
…tous ce qui va pas bien quoi… on pourrait en rajouter des milliers!
Pourquoi cette question au fait Korrigan???
Pour moi un public en difficulté c’est des enfants ou des jeunes qui sont en difficulté social dans la vie de tous les jours :
-extrême pauvreté
-parent(s) en prison (eux-même y étant séjourné c’est possible)
-vie en foyer (DDAS, famille d’accueil…)
-petite delinquance
-maladies de l’ado (depression, anorexie, ect…)
-Mal être dans la vie de tous les jours (tentative de sucide)
-arrêt de la scolarité (renvoi des établissements scolaires)
-ayant vécu un trouble durant leur enfance (parent(s) alcoolique(s) et/ou depressif(s), insceste, pédophilie, viol, maltraitance…)
tout à fait d’accord avec moilapa et je rajouterai les organisateurs du moins certains
public en difficulté : les animateurs
c est quoi qui te pose probléme ? 😕