Excuse-moi, mais toujours du mal avec le clavier.L’âge sans doute et le DADA*.
Tu sais certainement que depuis 2007, la DDJS ne délivre plus d’autorisation pour ouvrir un ACVM.elle envoie seulement un accusé de réception prouvant que la déclaration de séjour est bien arrivée à leurs services. Le controle se fait maintenant à postériori.
Aux organisateurs de se débrouiller.
allez salut
DADA ; déficience d’attention due à l’âge.
L’Etat ne veut pas s’engager à pondre un décret qui pourrait engager sa responsabilité.*
Pas de loi, pas d’emmerde.
C’est cool,Al Batros
* L’état a compris que l’apport d’autonomie, c’est dangerous. Y’a que les enfoirés de l’Educ Pop qui ‘ont pas encore compris. Est ce de la vacuité?
.
Avé AL-batros
Il ne s’agit même plus de décret :l’état se désengage. Ce sont les paroles d’un inspecteur de la DRJS lorsqu’elle a inspecté un stage FG directeur.
Salut à toi, XXYYZZ,
Comme beaucoup d’autres,je pense qu’il n’y a aucune règlementation sur ce point.J’ai même lu dans le n° spécial directeur de la JPA que l’autonomie des jeunes de se décrête pas. (Ou quelques choses comme ça)
L’Etat ne veut pas s’engager à pondre un décret qui pourrait engager sa responsabilité.*
Pas de loi, pas d’emmerde. 😀
C’est cool, guys. :content:
Par contre, pour les campings en autonomie, étént donné que l’arêté de mai 1981 est caduque, je pense qu’il faut faire figurer le dit camping dans le projet pédagogique.
Il me peaît logique de faire la même chose pour les promenades en autonomie.
J’ai ptatiqué souvent le camping et les sorties en autonomie, avec des jeunes.
J’ai évidemment pris les précautions citées par les intervenants, qui sont de bons sens et je n’ai jamais eu de problèmes. Je touche du bois.
Il faut convenir par écrit en effet. En cas de blème, tu pourras dire: y’avait des risques, vous étiez au courant, vous z’avez voulu, on vous adressera un chèque pour participation aux frais d’obsèques, sincères condoléances.**
Et basta. Two fingers in the nose. :content:
Tu touches du bois, bien. Tant que ce n’est pas celui des cercueils, ça ira. :content:
Al Batros
* L’état a compris que l’apport d’autonomie, c’est dangerous. Y’a que les enfoirés de l’Educ Pop qui ‘ont pas encore compris. Est ce de la vacuité?
** Les marchands de tabac ne seront plus seuls à faire leur coup de salopard.
Salut à toi, Chocoss,
Le bon sens n’est pas universel
Bien sûr.
Tu prends tes risques et s’il faut payer, tu payes.
Pô de souci, on trouvera quelqu’un pour te remplacer. :content:
Tu peux être irréprochable, mais irremplaçable, ça … :non:
The shows must go on. 😀
Al Batros
J’ai évidemment pris les précautions citées par les intervenants, qui sont de bons sens et je n’ai jamais eu de problèmes. Je touche du bois.
Le bon sens n’est pas universel
Comme beaucoup d’autres,je pense qu’il n’y a aucune règlementation sur ce point.J’ai même lu dans le n° spécial directeur de la JPA que l’autonomie des jeunes de se décrête pas. (Ou quelques choses comme ça)
Par contre, pour les campings en autonomie, étént donné que l’arêté de mai 1981 est caduque, je pense qu’il faut faire figurer le dit camping dans le projet pédagogique.
Il me peaît logique de faire la même chose pour les promenades en autonomie.
J’ai ptatiqué souvent le camping et les sorties en autonomie, avec des jeunes.
J’ai évidemment pris les précautions citées par les intervenants, qui sont de bons sens et je n’ai jamais eu de problèmes. Je touche du bois.
Allez salut et A+
Salut à toi, Chocoss,
Il me semble qu’il n’y a aucune règlementation la dessus, sauf celle du projet de fonctionnement interne au centre où le dirlo dit “oui ou non” et “le parce que du pourquoi” puis y a la règlementation lié à la protection des mineurs, mais qui ne dit pas clairement le “oui ou non” du quartier libre. Mais plutôt les responsabilités de l’équipe d’encadrement
C’est ça, aucune règlemention J&S ou autre.
C’est une question de fonctionnement interne, cad de conventions entre les familles et le zorganisateur.
Cet enfoiré se fixe comme mission d’organiser les loisirs des minôts d’une population. Alors, il dit, ça sera comme ça, les vieux des minôts acceptent ou non.
Si le zorganisateur garantit aux vieux une sécurité max par une surveillance max, y’a intérêt à ce qu’on ne laisse aucun quartier libre qui pourrait permettre à Johnny , la terreur des bacs à sable, 7 ans, d’aller terroriser les poules du père Mathieu avec ses pétards à mèches que Raoul a laissé acheter sans rien dire lors des courses.
Al Batros
Salut à toi, JackieChan76,
Cet été j’ai fait une colo et nous sommes allés avec un petit groupe de 8-13 ans en centre ville de saint-nazaire (près de Nantes) pour des achats de souvenirs etc…
C’est là que quelques filles, des grandes de 12-13 ans nous ont demandé si elles pouvaient avoir un quartier libre, nous avons alors hésité car nous ne conaissions pas la reglementation la dessus. Je pense qu’elles étaient capable de se debrouiller toutes seules mais étant donné que l’on ne savait pas nous avons refusé… mieux vaut etre prudent.
Nous avons ensuite demandé au directeur le soir meme en réunion et il nous a dit qu’il fallait avoir un age bien précis et qu’il fallait qu’ils soient en groupe et qu’ils aient un téléphone, nous avons bien fait de refuser car toutes ces conditions n’étaient pas réunies. Je ne me rappelle plus de l’age précis, j’ai cherché dans la réglementation et sur le net mais je ne trouve pas d’ou la raison de ce post ici
Tu as pensé juste, elles auraient pu se débrouiller tout seules, c’est clair.
Cependant, il y a d’autres risques qui en cas de survenance coûtent cher.
Si tu cherches dans la règlemention J&S ou plus largement dans Le Règlement (Arrêtés, décréts, lois), tu ne trouveras rien. On est dans le domaine contractuel, cad les conventions prises avec les familles.
Il faut voir dans le PE au niveau de l’autonomie accordée aux minôts et acceptées par les parents.
La Cour d’appel de Pau (12 mars 1997) a jugé un organisateur non responsable d’une agression sexuelle d’une ado par un camarade car les ados disposaient d’une certaine liberté et pouvaient jouer de la surveillance de l’équipe.
Le TGI de Paris (30 juin 1994) a jugé civilement responsable une asso d’un viol, meurtre et calcination du cadavre d’une jeune ado par un tiers non identifié. Les gosses avaient une autonomie large.
On peut laisser les gosses se débrouiller tout seuls.
Il est judicieux de savoir qui va payer s’il y a de la casse.
Ca aide à prendre la décision.
Sur le plan pénal, si faute il y a, elle sera caractérisée puisque Le Règlement ne prévoit rien.
Tu as pris la bonne décision.
Laisser des petites gosses de 12-13 ans seules, en ces temps qui courent, ce n’est pas tranquille.
Humm… Ok, c’était juste pour savoir si l’anim devait rester a un lieu précis en cas de probleme.
Quel problèmes?
Qu’est ce qu’il devrait faire après?
Ramasser le cadavre, réconforter la gosse après son viol, téléphoner aux parents pour leur annoncer que leur pitchounette a été violée ou tuée.
Il faut savoir ce qu’on fait, quelles conséquences peuvent avoir nos décisions …
nous avons alors hésité car nous ne conaissions pas la reglementation la dessus.
Il me semble qu’il n’y a aucune règlementation la dessus, sauf celle du projet de fonctionnement interne au centre où le dirlo dit “oui ou non” et “le parce que du pourquoi” puis y a la règlementation lié à la protection des mineurs, mais qui ne dit pas clairement le “oui ou non” du quartier libre. Mais plutôt les responsabilités de l’équipe d’encadrement
Shuss
Ton directeur a donné son avis mais pas un texte de loi.
Le téléphone n’est pas obligatoire, mais en effet s’il y en a c’est mieux. En revanche s’il n’y a pas de téléphone en effet il est judicieux que les animateurs soient sur un lieu précis connu de tous.
Moi des enfants de 12-13 ans selon les enfants (si ce ne sont pas de ” sacrés phénomènes”)et selon les lieux ( en centre ville réservé aux piétons), j’accepte le quartier libre.
Peux tu répondre à ces questions?
Est ce que c’est souhaité par les enfants, les parents, l’organisateur, le directeur, les zanims?
Qu’est ce que cela va apporter aux enfants, aux anims, au directeur?
Quels sont les risques encourus?
Qui va payer s’il y a de la casse?
Qui prendra la décision?
Cet été j’ai fait une colo et nous sommes allés avec un petit groupe de 8-13 ans en centre ville de saint-nazaire (près de Nantes) pour des achats de souvenirs etc…
C’est là que quelques filles, des grandes de 12-13 ans nous ont demandé si elles pouvaient avoir un quartier libre, nous avons alors hésité car nous ne conaissions pas la reglementation la dessus. Je pense qu’elles étaient capable de se debrouiller toutes seules mais étant donné que l’on ne savait pas nous avons refusé… mieux vaut etre prudent.
Nous avons ensuite demandé au directeur le soir meme en réunion et il nous a dit qu’il fallait avoir un age bien précis et qu’il fallait qu’ils soient en groupe et qu’ils aient un téléphone, nous avons bien fait de refuser car toutes ces conditions n’étaient pas réunies. Je ne me rappelle plus de l’age précis, j’ai cherché dans la réglementation et sur le net mais je ne trouve pas d’ou la raison de ce post ici
Manger des cornichons, tirer un coup, boire de l’alcool, fumer des joints …, tout ce qu’il aime.
Al Batros
Humm… Ok, c’était juste pour savoir si l’anim devait rester a un lieu précis en cas de probleme.
Salut à toi, JackieChan76,
Voila je me posais la question, à partir quel age peut on donner quartier libre aux enfants et dans quelles conditions ?
Peux tu répondre à ces questions?
Est ce que c’est souhaité par les enfants, les parents, l’organisateur, le directeur, les zanims?
Qu’est ce que cela va apporter aux enfants, aux anims, au directeur?
Quels sont les risques encourus?
Qui va payer s’il y a de la casse?
Qui prendra la décision?
Que peut faire l’animateur pendant que les enfants sont partis ?
Manger des cornichons, tirer un coup, boire de l’alcool, fumer des joints …, tout ce qu’il aime.
Al Batros
Cete été j’ai eu une colo 14-17 ans, on faisait une colo en craotie, intinerante. On les a laché dans des quartiers libres dans des villes. Le centre des grandes villes en croaties, il y a souvent une vieille ville generalement pietonne. Au depart on les a laissé pour une apres midi en quartier libre, et a la fin on les laissé dans la matinée, un point de rendez vous en milieu d’aprem, et on les retrouvais en fin d’apres midi. Pour cela on leur laissait un budget nourriture, une certaine somme par personne. Ils devaient ramener la monnaie, et les tickets de caisse. Les ados devaient aussi rester par groupes d’au moins 3, avec au moins un des jeunes du groupes ayant un portable avec notre numéro, et nous le leur.
Les temps libre ce sont bien passé, il n’y a pas eu de soucis; bien sur quelques ados ont pas tres bien mangé par manque d’organisation et de bon sens.
En tout cas les temps libre depend de l’ambiance du groupe, de la confiance que tu peux avoir en eux, et cela s’apprend au fils du sejour.
Y a des organisateurs qui sont contre le quartier libre, car ils ont engagés un certain discourt vis à vis des parents.
j’ai déjà laché sans problème des gamins de 8 ans, toujours par groupes évidemment, sans surveillance directe pour un rallye patate.
Faudrait que tu expliques un peu dans quelle cadre. 8 ans c’est peut-être un peu jeune
Je ne pense pas qu’il y ait un âge défini pour ce genre de choses. Cela dépend à mon avis du climat de confiance qui règne entre l’anim et les gosses, de l’esprit responsable des gamins, de l’environnement plus ou moins sûr (un parc d’attraction n’est pas un village perdu en montagne, etc) et surement de beaucoup d’autres facteurs. Pour exemple, j’ai déjà laché sans problème des gamins de 8 ans, toujours par groupes évidemment, sans surveillance directe pour un rallye patate.
La meilleure chose à faire pour l’anim pour les publics jeunes est de définir un périmètre limite avec les gamins et de faire le tour des limites avec eux, pour que tout le monde soit au clair sur les zones limites. Il doit aussi filer un numéro de téléphone à tous, ne pas être seul et rester au même endroit repere pour que les éventuels perdus puissent y revenir. Ca fera surement bondir mon cher ami vassrohm, mais je me place généralement devant un mac do. N’y voyez aucune idéologie, mais c’est un endroit que les gamins sauront systématiquement repérer ou se faire indiquer par des locaux s’ils sont perdus. Dans ce cas, cette efficacité prime sur tout le reste.
Bonjour a tous,
Voila je me posais la question, à partir quel age peut on donner quartier libre aux enfants et dans quelles conditions ?
Que peut faire l’animateur pendant que les enfants sont partis ?
Merci