Salut à tous
Ilest clair que votre situation a été tres difficile, mais comme le dit Solléa, je pense qu’il y a eu un manque de préparation. L’association dont je fais partie a déjà organisé de nombreux camps vélos ou des randonnées pédestres, avec des jeunes venus, en totalité, des foyers ou places par la PJJ. Des éducateurs nous ont dit que plusieurs organismes ne voulaient pas de leurs mineurs, ce qui ,à mon sens, est grave.
Certes il y a eu des moments difficiles, ( un jeune a été renvoyé, un autre s’est battu avec le dirlo), mais cela est resté des faits isolés, et chaque fois l’équipe dans son entier a été solidaire, ainsi que l’organisateur.
Je n’ai pas l’intebtion de vous conseiller de faire ou ne pas faire votre rapport. Simplement, au moins, une chose :
J’ai observé une différence d’appréciation relativement large entre le message d’Ariane et celui d’air-one; Faites en sorte que cela n’apparaissent pas dans votre rapport.
Comme les autres n’attendez pas trop de la DDJS. Enfin cela dépend des directions départementales.
Allez bon courage.
Je répond point par point :
– L’activité ski a été dirigée par notre directeur adjoint. Les jeunes ont skiés et dévalés les pistes de vertes à noires sans casques de protection. Sans gants, lunettes et crèmes solaires pour tout le monde. Pour moi c’est comme transporter des jeunes en voiture sans ceinture.
Rien d’illégal dans ce que tu décris.
Le BAFA suffit pour encadrer le ski sur les pistes, même noires, et les équipements que tu cites ne sont pas obligatoires.
Cependant il me semble évident que les négliger est pour le moins stupide et dangereux, que ce soit en famille ou dans un ACM… A quand une règlementation plus stricte de J&S ?
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– D’ailleur le convoyage a eu lieu en autocar sans ceinture de sécurité. Le repas le premier jour a été pri a 15h30. Et les jeunes n’ont pas pris de douches en arrivant le soir car trop tard (repas à 22h00). Pour cause d’une mauvaise organisation.
Si l’autocar n’avait pas de ceintures, rien d’illégal, ni de choquant vu le parc français.
S’il était équipé et qu’on ne les a pas fait mettre aux enfants, c’est une faute grave.
Pas de douche le premier jour ça n’a rien de dramatique. C’est bien dommage, mais il vaut mieux dormir que se laver à une telle heure !
Pourquoi des problèmes de repas décalés ? Est-ce du au transport, ou alors à une mauvaise organisation que tu pourrais décrire ?
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– Pour continuer, le public en lui même était certes sensible mais je pense tout de même que quand vous avez des réels personnes avec des REELS HANDICAP il ne faut pas des EDUC ! (Car l’éduc n’est pas un animateur ! Et le premier qui me dit le contraire je le poursuit en justice). Mais excusez-moi un jeune qui se fait caca et pipi dessus toutes les deux heures y compris sur les pistes. C’est problématique. A moins de le laisser dans sa merde…
Ce que tu décris ici est une situation délicate, qui devient difficile si on la gère mal.
Mais rien qui me semble extraordinaire (avec l’expérience, on finit par s’habituer à ce genre d’enfant, ce n’est pas si rare et il y a plus dur à gérer) ou hors de portée d’animateurs BAFA bien recrutés et encadrés.
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– Le cas d’un autre TP, une envie de fuir en plein brouillard, en hors piste avec 6 mètres de neige sous les pieds. Dois-je vous rappeler que nous devons d’abord assurer notre sécurité avant celle des enfants. Car si on est en danger alors les jeunes le seront. Que l’AFPS le rappelle si bien, mieux vaut un mort que deux. Alors excusez moi, ces jeunes ont réellement besoin d’un suivi quotidien personnalisé (même en vacances !!!).
C’est quoi un TP ?
La situation que tu décris avec cette fuite dans la neige est à l’évidence dangereuse. Mais comment en êtes-vous arrivés là ?
D’où venaient ces jeunes, quels moyens pour les encadrer (quels profils dans les recrutements d’animateurs) ?
TOUS les jeunes ont besoin d’un suivi quotidien et personnalisé, un animateur BAFA doit savoir faire ça. Un directeur doit mettre en œuvre un projet facilitant la tâche de son équipe, mais une négligence de la direction ne doit pas couper totalement les ailes aux anims.
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Une agression tourne au coup de couteau et menace, lors d’une réunion entre anim. Personne dans le couloir bien avant même que tout le monde dort. “Ne vous inquietez pas, ils vont s’endormir !”. Alors que 6 heures avant un autre jeune se barre en courant pieds nus dans la neige……… ALORS OUI C’EST l’ENFER. Je me suis mis en danger, j’ai mis des jeunes en danger.
Mais a cela pas de sanction ni pour le jeune, ni pour l’animateur. Que faire… subir les ordres quoique inexistants. Ou laisser le bateau en galère juqu’à ce que le pire arrête enfin le carnage ! (car c’est visiblement récurant chez eux !)…
Tu décris un mode d’organisation pour le moins inadapté, et même négligent quand on a eu à faire à des problèmes avérés.
Tu parles beaucoup de sanctions, mais qu’aurais-tu voulu ?
Des renvois ? Ce n’est pas l’idéal je pense, surtout si le foyer n’est effectivement pas joignable. Mais bien entendu un renvoi est parfois la meilleure solution, tous les jeunes ne peuvent pas faire tous les séjours.
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Sans parler de l’équilibre alimentaire, du respect de la personne et surtout des salariés que nous sommes…
On arrive là sur des notions plus suggestives, surtout peu argumentées.
Pour les repas, on peut comprendre un équilibre particulier sur un séjour sportif (la montagne, le ski, ça creuse !). Mais bon, équilibre n’est pas non plus synonyme de qualité… Ce n’est pas simple à juger cela.
—
La lettre est en rédaction. Je risque rien… J’ai juste une conscience !
(…)
L’affaire est en main de DDJS qui va faire une enquête !
Attention à ne pas trop attendre de J&S.
Ils ne délivrent plus d’autorisations pour les séjours, et il est quasiment impossible d’interdire à un organisateur d’exercer son activité.
Au maximum ils peuvent interdire d’exercer une personne (le directeur par exemple) mais en se basant sur des faits très graves, solides, étayés et prouvés… Ce qui implique à priori de les constater directement sur le séjour.
M’enfin, une attention particulière de leur part peut être espérée… si ils en ont les moyens humains.
avez-vous fait part de vos difficultés et de vos désaccords à l’équipe de direction pendant le séjour ?
nous avons a plusieurs reprises essaier de voir avec la direction qui nous a répondu que plus elle intervenait plus nou perdirions notre crédibilité ,ce qui n’est pas faux mais il aurait du réagir plus tot selon notre avis et nous soutenir davantage.
Air-one a écrit:
On a nos gants…. ROUND 1 …est-ce bien là le but ?
cette phrase etait bien sur ironique.
nous savons juste que entammer une procédure n’est pas anodin et que, si nous voulons vraiment que les choses changent il va falloir ce battre car, aparament après contact avec la ddjs pour commencer nos démarches ce n’est pas le premier signalements de l’association.
nous avons souhaiter partager cette experience sur le forums pour avoirs des conseils et transmettre afin d’eviter que cela ce reproduise.
comme vous l’avez souligné nous aurions du appeler plus tot mais nous avions besoin de temps et de conseils.
nous ne sommes évidemment pas dans une démarches de vengance , nous souhaitons juste que la réglementation et les missions des animateurs soient réspectées.
(édité pour remettre les balises de citation dans l’ordre)
Salut La Foule,
Ludou a écrit:
Donc pour résumer, le réflexe c’est :situation dangereuse = appel immédiat à la DDJS (si c’est vraiment justifié, hein!).
Là, je crois que Ludou a encore raison.
Situation très difficile ==> Appel à l’organisateur pour qu’il apporte les moyens nécessaires.
Situation dangereuse ==> Comme Ludou a dit. Le 17, signalement au préfet, rapatriement des minôts. Après, le proc intervient et judiciarisation, il y a.
Y’en a qui perdront des plumes.
Par contre, si on fait pas, ça, ça pourra être considéré comme une faute par omission.
Quand on peut pas gérer, il pas continuer.
Al the Jurist
j’y vois tout comme vous (Soso et Crecre) une sorte de “combat” contre la direction de ce séjour. Les motifs, je ne les connais pas et je n’en ai cure… mais! je pense que ce n’est pas une attitude idéale pour résoudre les problèmes (passés, donc c’est trop tard) et à venir, du moins, pas les plus efficaces et les plus écolos. C’est pour ça que je t’invitais à prendre du recul, car sur le coup, je peux comprendre qu’on en veuille particulièrement à certaines personnes (tout le monde a une conscience, ou presque…).
Air-one a écrit:
Le mieux serait une remise en question de la direction, que je crains très violente envers son équipe d’animation dénonciatrice.
avez-vous fait part de vos difficultés et de vos désaccords à l’équipe de direction pendant le séjour ?
Air-one a écrit:
On a nos gants…. ROUND 1 …
est-ce bien là le but ?
Pas la peine d’utiliser un ton grandiloquent et solennel et de nous sermonner à demi-mots sur l’existence possible de notre conscience.
Ce que tu racontes est assez courant en foyer de l’enfance et les vies n’y sont pas en jeu chaque jour, soyons un peu raisonnable justement!
Le problème tient beaucoup à mon avis à un défaut dans la préparation, dans le recrutement (des animateurs pas prêts à vivre cela) et dans des pratiques effectivement dangereuses.
Le mieux serait une remise en question de la direction, que je crains très violente envers son équipe d’animation dénonciatrice.
On voit bien quelle est la logique…
Merci pour ta réponse qui se passe de jugements ! Notre objectif est clairement de ne pas revivre un tel séjour et surtout que personne d’autres vivent des situations identiques…
Donc nous comptons sur le professionnalisme de la DDJS pour faire la part des choses. Nous avons fait ce qui nous semble le mieux et surtout CE QUI EST ET ETAIT A NOTRE PORTEE.
Le mieux serait une remise en question de la direction, que je crains très violente envers son équipe d’animation dénonciatrice.
On a nos gants…. ROUND 1 …
Bonsoir Air-one, Ariane & Co.,
sale séjour apparemment… un de mes 1ers séjours avait quelques points communs avec le votre. Dans ce cas-là, il est clair qu’il ne faut pas attendre la fin du séjour pour appeler la DDJS du lieu du séjour !!! (encore faut-il le savoir, c’est vrai…).
Ce que tu dis sur la sécurité est aussi très vrai, ceux qui bossent dans le secourisme le savent bien…
Comme cela a déjà été demandé, votre but est-il de faire condamner certaines personnes ou l’organisme ou bien de faire en sorte que cela n’arrive plus (fermer le centre?)?
Vous devez encore être sous le “choc” du séjour, donc prenez bien le temps de prendre du recul, d’expliciter le plus clairement possible et objectivement ce qu’il s’est réellement passé (votre ressenti est important, mais ce n’est pas là-dessus que la DDJS se basera le plus…).
Donc pour résumer, le réflexe c’est :
situation dangereuse = appel immédiat à la DDJS (si c’est vraiment justifié, hein!).
Tenez-nous au courant de la suite!
Bonjour à tous,
Vraiment désolé d’arriver en cours de discussion mais j’ai été le collègue d’ariane pendant ce séjour passé à VF. Je tiens à donner mes propres visions des faits, qui je pensent méritent d’être éclaircis :
– L’activité ski a été dirigée par notre directeur adjoint. Les jeunes ont skiés et dévalés les pistes de vertes à noires sans casques de protection. Sans gants, lunettes et crèmes solaires pour tout le monde. Pour moi c’est comme transporter des jeunes en voiture sans ceinture.
– D’ailleur le convoyage a eu lieu en autocar sans ceinture de sécurité. Le repas le premier jour a été pri a 15h30. Et les jeunes n’ont pas pris de douches en arrivant le soir car trop tard (repas à 22h00). Pour cause d’une mauvaise organisation.
– Pour continuer, le public en lui même était certes sensible mais je pense tout de même que quand vous avez des réels personnes avec des REELS HANDICAP il ne faut pas des EDUC ! (Car l’éduc n’est pas un animateur ! Et le premier qui me dit le contraire je le poursuit en justice). Mais excusez-moi un jeune qui se fait caca et pipi dessus toutes les deux heures y compris sur les pistes. C’est problématique. A moins de le laisser dans sa merde…
– Le cas d’un autre TP, une envie de fuir en plein brouillard, en hors piste avec 6 mètres de neige sous les pieds. Dois-je vous rappeler que nous devons d’abord assurer notre sécurité avant celle des enfants. Car si on est en danger alors les jeunes le seront. Que l’AFPS le rappelle si bien, mieux vaut un mort que deux. Alors excusez moi, ces jeunes ont réellement besoin d’un suivi quotidien personnalisé (même en vacances !!!).
On continue ….
Une agression tourne au coup de couteau et menace, lors d’une réunion entre anim. Personne dans le couloir bien avant même que tout le monde dort. “Ne vous inquietez pas, ils vont s’endormir !”. Alors que 6 heures avant un autre jeune se barre en courant pieds nus dans la neige……… ALORS OUI C’EST l’ENFER. Je me suis mis en danger, j’ai mis des jeunes en danger.
Mais a cela pas de sanction ni pour le jeune, ni pour l’animateur. Que faire… subir les ordres quoique inexistants. Ou laisser le bateau en galère juqu’à ce que le pire arrête enfin le carnage ! (car c’est visiblement récurant chez eux !)…
Sans parler de l’équilibre alimentaire, du respect de la personne et surtout des salariés que nous sommes…
Si vous voulez subir, subissez… Mais dans certains cas il ne faut pas dédramatiser. Ce ne sont pas NOS ENFANTS, mais bien des vies qui sont en jeu.
Imaginez un cocktail :
JEUNES EN DIFFICULTES + SKI + FATIGUE + SANCTIONS INEXISTANTES = DANGER
La lettre est en rédaction. Je risque rien… J’ai juste une conscience !
Bonne soirée.
L’affaire est en main de DDJS qui va faire une enquête !
Pour avoir vécu 2 colos particulièrement difficiles où il y avait matière à faire un rapport, je comprend le désarroi d’animateurs mis en difficulté.
Dans les équipes où j’étais nous avons hésité et finalement pas fait de rapport par peur d’éventuelles retours contre nous (oui, c’était stupide, mais bon, on était très jeunes).
Aujourd’hui je regrette que nous n’ayons pas franchi le pas, mais je sais que ces 2 colos ont été fermées par J&S au final (y’a même eu un responsable d’une des assos poursuivi pour soupçons de pédophilie).
Mais là je fais référence à des faits vraiment grave, de l’ordre de la maltraitance physique et psychologique, avec mise en danger de la santé des enfants, pas de simples dysfonctionnements stressants pour les adultes et pouvant éventuellement amené à des conséquences plus ou moins graves (ce qui n’est déjà pas rien !).
lolotte77 a écrit:
Si vous écrivez à la DDJS, pensez à le faire à celle du département où a eu lieu le séjour… Pas à celle où se trouve le siège de l’organisateur.Il faut qu’elle fasse un courrier aux 2 JS : un à la JS de l’organisateur …… et 1 à la JS d’accueil ……. :dodo:
Celle où se trouve le siège de l’organisme n’a aucune compétence pour effectuer une inspection du séjour…
J’imagine que la DDJS reçoit ce genre de rapports à la pelle avec diverses variantes:
– une fois on râle contre le directeur qui n’a pas validé le BAFA
– une autre fois, on râle parce qu’il y a des enfants issus de l’ASE
-une autre parce que les autres anims étaient vraiment trop méhants
-une autre encore parce qu’il a plu tout le séjour et qu’on a pas pu se faire dorer la pilule comme c’était écrit sur le catalogue
– une autre parce qu’on ne savait pas que les poneys sentaient mauvais
… bref, je ne suis pas sur que cela règle le problème…
Lors de ton entretien avais tu demandé quel public était accueilli?
As tu élaboré le projet péda avec le directeur?
En avez vous parlé en réunion quotidienne?
Avez vous sollicité ces mêmes réunions s’il n’y en avait pas?
Bref, comme FG, les cas que tu cites ne me semblent pas “extraordinaires”, qu’ils soient difficile à gérer pour une équipe non préparée, je veux bien l’entendre mais cela ne relève pas forcément d’un traitement particulier sinon quand est ce que ces gosses sont enfin un peu lâchés par les éducs, les psy, les psychopédagogues, les …
Si vous écrivez à la DDJS, pensez à le faire à celle du département où a eu lieu le séjour… Pas à celle où se trouve le siège de l’organisateur.
Il faut qu’elle fasse un courrier aux 2 JS : un à la JS de l’organisateur …… et 1 à la JS d’accueil ……. :dodo:
Je me rallies aux précédents avis : si rapport il y a, il devra être circonstancié (les faits, leur date et le contexte le plus précis et objectif possible).
Mais je me permet de répondre à quelques points de ton message :
nous avons encadrer des enfants a caractère sociaux cette semaine avec des animateurs non formés a ce public dont deux stagiaire bafa.
Rien qui me choque ici.
Le BAFA suffit légalement pour encadrer tous les publics, et il est largement compétent si l’organisation et la direction sont efficaces.
Dans le cas contraire, les difficultés sont évidemment prévisibles !
Nous avions des enfants qui necessitait des tierces personnes au vue de leur problematique mais seulement 2 étaient déclarés alors que au moins 4 en necessitaient.
Quels genres de problématiques ? Et quels genres de tierces personnes ?
On ne vas quand même pas mettre des éduc dans les colos ?
Quelques exemples: un enfant menace un autres avec un couteau suite a une grave bagare et l’enfant n’est pas renvoyé car soit disant son foyer ne répond pas.
C’est très classique le foyer qui ne répond pas, et hélas si fréquent !
Dans ce cas il est en effet difficile de renvoyer un enfant… A moins d’en passer par la police, mais là ça devient très ennuyeux je pense.
un enfant pique une crise sur les piste de ski, dechausse et part en courant vers le hors piste nous avons été le chercher avec de la neige jusqu’au ventre.
Situation délicate à gérer, il faut bien le reconnaître, mais pas du tout hors des compétences normales d’animateurs BAFA (et d’adultes un tant soit peu responsables en général).
J’ai connu aussi dangereux et délicat avec des enfants qui ne présentaient pas à priori la moindre difficulté particulière au sens où on l’entend généralement.
un enfant a fait une grave crise de nerfs et s’est retrouvé en hyperventilation, il a falu insiter pendant 20 minutes pour qu’on previenne les secours , finalement le directeur a decidé de le conduire lui meme au urgence et de pas appeler les secours.
Là aussi une situation, hélas, très banale.
C’est vraiment dommage qu’un directeur hésite à faire appelle aux secours, mais je peux aussi comprendre qu’un cas d’hyperventilation ne soit pas ce qui inquiète le plus, surtout pour un directeur qui serait expérimenté (est-ce le cas ?) et qui en aurai déjà vu souvent.
Ce n’est pas à priori un très grand danger vital, et bien souvent il suffit de calmer l’enfant pour que cela passe.
Mais bien entendu, quand ça dure trop un avis pris auprès du SAMU (le 15) est toujours utile. Quand à se rendre soi-même aux urgences, pourquoi pas si elles sont proches… D’ailleurs, un médecin de ville me semble compétent et largement suffisant pour traiter un tel cas.
l y en a encore d’autres exemples, nous sommes en train de les retrouver et de les enumerer.
nous voudrions ecrire a la ddjs afin d’eviter a d’autres animateurs et enfants de se retrouver dans ces situations qui sont pour nous inaceptables.
j’ai pas mal d’experience en cvl et c’est la première fois que je vois cela,les animateurs ont été poussé a bout et rien n’a été fait.
Si vous écrivez à la DDJS, pensez à le faire à celle du département où a eu lieu le séjour… Pas à celle où se trouve le siège de l’organisateur. 😉
Salut
Fais un rapport détaillé et circonstancié ( n oublies pas d y joindre le numéro de déclaration du séjour)
Tu aurais du meme le faire PENDANT le séjour
Ecris a la DDJS du lieu de déclaration , c est à dire la DDJS de la ville dont dépend l organisateur.
Il y a surement enquete selon la gravité des évenements ………..
merci de ta réponse rapide,
nous avons encadrer des enfants a caractère sociaux cette semaine avec des animateurs non formés a ce public dont deux stagiaire bafa.
Nous avions des enfants qui necessitait des tierces personnes au vue de leur problematique mais seulement 2 étaient déclarés alors que au moins 4 en necessitaient.
Quelques exemples: un enfant menace un autres avec un couteau suite a une grave bagare et l’enfant n’est pas renvoyé car soit disant son foyer ne répond pas.
un enfant pique une crise sur les piste de ski, dechausse et part en courant vers le hors piste nous avons été le chercher avec de la neige jusqu’au ventre.
un enfant a fait une grave crise de nerfs et s’est retrouvé en hyperventilation, il a falu insiter pendant 20 minutes pour qu’on previenne les secours , finalement le directeur a decidé de le conduire lui meme au urgence et de pas appeler les secours.
Il y en a encore d’autres exemples, nous sommes en train de les retrouver et de les enumerer.
nous voudrions ecrire a la ddjs afin d’eviter a d’autres animateurs et enfants de se retrouver dans ces situations qui sont pour nous inaceptables.
j’ai pas mal d’experience en cvl et c’est la première fois que je vois cela,les animateurs ont été poussé a bout et rien n’a été fait.
Avé Ariane
Vaste question
Dans quelles circonstance estimez-vous avoir mis en danger les enfants? Donne quelques exemples.
Citez aussi des faits précis qui font que cette semaine a été catastrophique.
Contre qui ce rapport est -il dirigé ? le directeur ? L’oeuvre ? Contre vous ? Autres ?
Surtout, quel est votre objectif en faisant ce rapport ?
Bien sur qu’une équipe a le droit de faire un rapport à la DDJS, qui est l’administration de tutelle.
Maintenant , ce rapport doit être circonstancié, citer des faits, des cas, des organisations précises et nettes.
Les conséquences ? Tout dépend de ta DDJS et surtout de ce qu’il s’est vraiment passé. A ce stade je ne peux pas te répondre plus précisement
Allez bon courage.
bonjour a tous,
Après une semaine catastrophique en cvl, l’equipe d’animation dont je faisais partie souhaite faire un rapport a la ddjs. Nous estimons avoir mis en danger les enfant et nous meme et souhaitons mettre au courant la DDJS.
Je vous contacte pour avoir des informations sur la procédure, nous avons penser écrire en sitant tout les points qui nous ont paru anormaux.
avez-vous deja contacter la DDJS a la fin d’un séjour, comment avez-vous procedez et surtout que c’est-il passer ensuite? il y a t’il eu une enquete ?
merci pour vos réponses
ariane