ResponsabilitĂ© d’un organisateur en ACM

10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
  • Auteur
    Messages
  • #185812
    Chocoss
      @chocoss

      Okay ! Si si je m’en souviens maintenant

      #185813
      Al-Batros
        @al-batros

        Salut Ă  toi, Chocoss

        Lescheraines
        J’connais pas ce mot

        Le centre Ă©questre:

        Incendie de Lescheraines : la douleur des parents Ă©clate

        Sept enfants et une monitrice avaient pĂ©ri dans le brasier. L’unique rescapĂ©e a Ă©voquĂ© son sentiment de culpabilitĂ©.

        Les parents avaient confiance. Ils savaient que leurs enfants allaient rĂ©aliser un rĂȘve, vivre pleinement leur «passion». Le dimanche prĂ©cĂ©dent, sous le soleil, ils les avaient laissĂ©s pour un stage d’Ă©quitation au coeur du massif des Bauges. «Pour eux, c’Ă©tait le bonheur», rappelle une maman. Alors bien sĂ»r, depuis presque deux ans, «les gendarmes et les pompiers veulent nous rassurer, et nous disent gentiment que nos gamins n’ont rien senti», admet Denis Laroppe, le pĂšre d’Anne- Sophie, 13 ans. «Mais nous savons tous qu’ils ont souffert le martyre, poursuit-il. Au moins trente secondes, avec le feu qui les brĂ»le.»

        Haletant, le micro devant la bouche, les yeux clos, ce grand homme Ă  la moustache grisonnante Ă©grĂšne alors Ă  voix haute le temps qui passe. «Une… deux… trois… quatre…» Silence total dans la salle. «Cinq… six… sept… huit» Sur le banc des parties civiles, les proches de MickaĂ«l, Marie-Julie, Camille, Vincent, et les autres s’effondrent. «Neuf… dix… onze… douze.» A trente, le funeste chronomĂštre cesse enfin. Le dĂ©compte a paru interminable. «Ont-ils seulement eu le temps de rĂ©aliser qu’ils n’en rĂ©chapperaient pas ?», s’interroge aujourd’hui encore la mĂšre de Perrine, persuadĂ©e que sa fille a «crié» et peut-ĂȘtre mĂȘme «appelĂ© (son) nom». Comme d’autres, François Tournassus veut comprendre. «Comment ce qui n’aurait dĂ» ĂȘtre qu’un simple accident s’est transformĂ© en un drame d’une telle ampleur ?», insiste le pĂšre de Camille, avant que ne dĂ©filent sur Ă©cran gĂ©ant le visage des huit jeunes victimes. AppelĂ©e Ă  la barre, Catherine Pace revient alors sur cette nuit tragique. ExtirpĂ©e de son sommeil par les cris des enfants qui dormaient avec elle au deuxiĂšme Ă©tage du gĂźte, sur des matelas posĂ©s Ă  mĂȘme le sol, l’unique rescapĂ©e se souvient avoir dĂ©valĂ© les escaliers en bois avec son duvet sur le dos. «A l’intĂ©rieur, ils ne m’ont pas suivi, dĂ©plore-t-elle.

        Une fois dehors, je leur criais de sauter. J’ai fait le tour de la bĂątisse et ne les ai plus entendus.»

        Onze anomalies

        BrĂ»lĂ©e aux bras, aux jambes et au visage, Catherine Pace a mis trois mois avant de pouvoir remarcher. Elle a renoncĂ© aux tee-shirts Ă  manches courtes et ne s’endort que «lorsque tout le monde est rĂ©veillé». La culpabilitĂ© la ronge. «Je me dis sans arrĂȘt : «Et si j’en avais pris un par la main ?». Poursuivi pour «violation manifestement dĂ©libĂ©rĂ©e» des codes de l’urbanisme et de la construction, Michel Hinniger ne s’est pas Ă©tendu, hier, sur la nature des grands travaux entrepris sur sa propriĂ©tĂ©. La prĂ©sidente du tribunal s’est chargĂ©e d’en faire l’inventaire. PrĂ©textant avoir «suivi les conseils du ven deur» en ne choisissant pas de panneaux de particules rĂ©sistant au feu, l’agriculteur a avouĂ© ne pas ĂȘtre «un expert en matĂ©riaux». Pas plus qu’il n’aurait Ă©tĂ© au fait de «la lĂ©gislation sur les permis de construire», lui qui s’Ă©tait satisfait d’un simple accord

        verbal du maire de Lescheraines pour concré tiser son projet.

        Convaincu d’avoir «toujours fait les choses dans les rĂšgles», Michel Hinniger prĂ©fĂ©rait jouer de son carnet d’adresses. TantĂŽt pour un interrupteur, tantĂŽt pour un crĂ©pi. Son ami Michel, Ă©lectricien reconverti en Ă©ducateur spĂ©cialisĂ© puis en jardinier, l’y a bien aidĂ©. En 1985, lors de la crĂ©ation du gĂźte, celui-ci a fait «ce qu’on (lui) demandait de faire». Tout simplement. Soit une «installation Ă©lectrique classique, dans les normes de l’Ă©poque».

        En 2001, un contrĂŽle effectuĂ© par le bureau Veritas dĂ©bouchait sur un rapport faisant Ă©tat de onze anomalies. Et plutĂŽt que d’opter pour une contre-visite des travaux de mise en conformitĂ©, le couple avait choisi de rĂ©silier son contrat avec la sociĂ©tĂ©. Plus que la folie des grandeurs, Michel Hinniger avait des oursins dans les poches. «A 5 000 francs le contrĂŽle annuel pour une installation neuve, s’est justifiĂ© le propriĂ©taire du club hippique, je trouvais ça abusif.»

        Al Batros

        #185828
        Chocoss
          @chocoss

          Al-Batros a Ă©crit:

          …Lescheraines ou …

          J’connais pas ce mot

          Il faudra que les contrĂŽleurs se mettent Ă  contrĂŽler correctement.
          Avec la loi Fauchon, ils peuvent ĂȘtre atteints

          EspĂšrons le

          Shuss

          #185840
          Al-Batros
            @al-batros

            Salut Ă  toi, Chocoss

            Biensur ! Mais oĂč va l’argent ? Par expĂ©rience j’ai vu des sĂ©jours qui coutaient chĂšrs pour RIEN.

            Par exemple, le nutella pour “le coup du nutella”.
            Il y a plus pire.

            AprÚ je me demande si la nouvelle rÚglementation par rapport aux séjours courts, ne serait elle pas une bonne chose. Justement par rapport à ces organismes qui se délogeaient de leur obligation en tant organisateur.

            Eh oui, le syndrĂŽme de Michel Hinigger, pas de dĂ©claration ==> pas de contrĂŽle ==> On peut faire se qu’on veut et gagner un max de thunes sur le dos des minĂŽts.

            Surtout ceux qui prennent loseille et hĂ©bergent les groupes d’enfants dans des conditions lamentable. L’alimentation, n’en parlons pas…

            Les cafards, les araignĂ©es …
            Et de la bouffe qui ferait vomir un rat.

            Ou qui organisent des sĂ©jours des structure mĂȘme pas dans les normes pour accueillir des mino.

            Il a fallu attendre Lescheraines ou … , pour qu’on voit

            Maintenant qu’il y a une obligation de “dĂ©claration” et “d’encadrement”, je crois que ca va faire un changement (j’espĂšre)
            Les différents textes restent encore impratiqués (non ça ce dit pas !).

            Il faudra que les contrĂŽleurs se mettent Ă  contrĂŽler correctement.
            Avec la loi Fauchon, ils peuvent ĂȘtre atteints.

            Al Batros

            #185853
            Chocoss
              @chocoss

              Bonjour les jeunes,

              jongloman a Ă©crit:

              Mais en contrepartie, personne ne veut comprendre qu’un sĂ©jour coĂ»te cher !!!

              Biensur ! Mais oĂč va l’argent ? Par expĂ©rience j’ai vu des sĂ©jours qui coutaient chĂšrs pour RIEN.

              AprÚ je me demande si la nouvelle rÚglementation par rapport aux séjours courts, ne serait elle pas une bonne chose. Justement par rapport à ces organismes qui se délogeaient de leur obligation en tant organisateur.

              Surtout ceux qui prennent loseille et hĂ©bergent les groupes d’enfants dans des conditions lamentable. L’alimentation, n’en parlons pas…

              Ou qui organisent des sĂ©jours des structure mĂȘme pas dans les normes pour accueillir des mino.

              Maintenant qu’il y a une obligation de “dĂ©claration” et “d’encadrement”, je crois que ca va faire un changement (j’espĂšre)

              Les différents textes restent encore impratiqués (non ça ce dit pas !).

              Shuss

              #185854
              Chocoss
                @chocoss

                dsl ptit erreur

                #185886
                Al-Batros
                  @al-batros

                  Salut Ă  toi, Jongloman,

                  Je te remercie de ta réponse.
                  Je crois que ce texte mĂ©rite un dĂ©corticatage, il est de 2007. Je gage que d’autre DDJS s’y mettent.

                  Comme dans toute action, l’organisateur d’un centre de vacances ou de loisirs est tenu de veiller au bon fonctionnement du centre. La dĂ©signation et l’engagement d’un directeur ne supprime pas la responsabilitĂ© de l’organisateur quant aux conditions d’accueil des mineurs, et des conditions de travail des employĂ©s. L’organisateur du centre doit donc mettre en place des moyens lui permettant d’ĂȘtre informĂ© des conditions de dĂ©roulement du centre. Ces moyens doivent ĂȘtre dĂ©crits dans le projet Ă©ducatif.

                  Les organisateurs se gardent de dire cela et plein de directeur sont tétanisés de peur pour rien.
                  Ces organisateurs s’acquittent ils de leurs obligations? (Exemple, l’obligation de transparence dans la gestion, c’est prĂ©vu dans l’art 8 de la loi 2001-624)
                  Par négligence ou ignorance?
                  Les DDJS n’ont elles pas une obligation d’information? (Il est Ă  noter que depuis la loi Fauchon, ses responsables peuvent ĂȘtre atteints par une responsabilitĂ© pĂ©nale.

                  L’organisateur et le directeur proposent une dĂ©marche d’évaluation, qui consiste Ă  mesurer et Ă  analyser les effets des actions menĂ©es dans le centre. L’évaluation doit donc s’entourer de garanties, c’est un outil d’aide Ă  la dĂ©cision, et elle permet de mieux comprendre les raisons des difficultĂ©s rencontrĂ©es ou les facteurs de rĂ©ussite et de capitaliser les acquis de l’expĂ©rience.

                  Une évaluation vise à apprécier :
                  La pertinence de l’action : les objectifs sont-ils adaptĂ©s aux problĂšmes posĂ©s, au public, au contexte ?
                  L’efficacitĂ© de l’action : les objectifs sont-ils atteints ? Dans quelle proportion ? Quelles ont Ă©tĂ© les difficultĂ©s rencontrĂ©es ? Les solutions choisies Ă©taient-elles adĂ©quates ? Si l’action n’a pas eu l’effet escomptĂ©, Ă  quoi est-ce dĂ» ? À des facteurs internes ou externes ?
                  L’efficience : les effets obtenus sont-ils Ă  la hauteur des moyens engagĂ©s (humains, matĂ©riels, temporels) ?
                  L’utilitĂ© : l’action a-t-elle un impact au regard des besoins de la sociĂ©tĂ©, un impact sur les publics, sur leur comportement individuel et social, sur leurs pratiques ?
                  La cohĂ©rence : les diffĂ©rentes composantes des projets (dĂ©marches et actions) vont-elles dans le mĂȘme sens ou sont-elles dispersĂ©es ? Les objectifs et les actions mises en Ɠuvre dans le projet pĂ©dagogique traduisent-ils les intentions Ă©ducatives de l’organisateur ?

                  L’organisateur est celui qui se fixe comme mission d’organiser les loisirs des enfants d’une population qu’il doit connaĂźtre. (ou devrait)
                  Il peut choisir d’accueiller des jeunes boulimiques et se fixer comme objectif d’Ă©quilibrer leur alimentation ou des enfants ayant une vie dĂ©sĂ©quilibrĂ©e avec comme objectif de l’Ă©quilibrer. (Par exemple)
                  Il faudrait se mettre à choisir des objectifs pertinents, adaptés aux problÚmes posés, au public au contexte.
                  L’efficacitĂ©, l’efficience et l’utilitĂ© des actions n’en sera que meilleure.
                  La cohérence sera plus facile si les buts à atteindre sont cohérents.
                  On peut favoriser l’autonomie. Maintenant, on peut prĂ©voir des sĂ©jours en autonomie pour des 11 ans. (Avant c’Ă©tait 14 ans) Est ce que c’est cohĂ©rent avec la sĂ©curitĂ© des minĂŽts.
                  J’aimerais qu’on me prouve que des minĂŽts de 11 ans peuvent ĂȘtre seuls et en mĂȘme temps en sĂ©curitĂ©.
                  Quand les intentions Ă©ducatives de l’organisateurs sont opaques, comment est il possible qu’elles soient en accord avec celle de la mise en oeuvre du PE.

                  Les temps de l’évaluation
                  Avant, pendant et aprĂšs la rĂ©alisation du projet, le directeur et l’équipe pĂ©dagogique prennent du temps pour l’évaluation. Les modalitĂ©s de celle-ci (mĂ©thodes, indicateurs, outils) diffĂšrent selon les objectifs fixĂ©s et le moment de l’action.
                  Les questionnaires de satisfaction aux enfants et aux parents sont des outils intĂ©ressants, mais qui ne permettent pas d’évaluer la totalitĂ© du fonctionnement du centre. Il est important que l’organisateur et le directeur mĂ©nagent des temps de rencontre entre eux, avec l’équipe d’animation, ou avec les familles. Ces temps de rencontre se situent avant, pendant et aprĂšs le fonctionnement du centre.
                  L’organisateur peut aussi dĂ©signer une personne rĂ©fĂ©rente (ayant dĂ©lĂ©gation de responsabilitĂ©), comme interlocuteur privilĂ©giĂ© du directeur. Celui-ci peut avoir besoin de contacter un responsable rapidement en cas de difficultĂ© grave. Des problĂšmes peuvent ĂȘtre traitĂ©s avant qu’ils ne prennent trop d’ampleur : dĂ©passement de budget, conflit entre le directeur et l’équipe d’animation, par exemple.

                  Prendre la température ne fait pas baisser la fiÚvre.
                  L’Ă©valuation prend du temps, et beaucoup si les objectifs sont grotesques.

                  Il vaut mieux ĂȘtre humble et se fixer des objectifs raisonnables, l’Ă©valuations n’en sera que facilitĂ©e et le rĂ©sultat meilleur.
                  Il est Ă  noter qu’on parle de conflit entre le directeur et l’Ă©quipe d’animateur. Que fera un directeur si les anims unaniment disent: “Puisque c’est comme ça on se tirent ailleurs.”?
                  Les minĂŽts de 8 ans roupillent paisiblement sous tentes dans la Creuse Ă  800 kms de leur home.

                  Al Batros

                  #185907
                  Marc-Antoine SCHNEE
                    @marc-antoine-schnee

                    Oui,

                    Le soucis Ă©tant que depuis des annĂ©es et des annĂ©es, personne ne dis rien aux organismes qui sont Ă  100000 mille lieux d’effleurer ce qui est dĂ©cris ci-dessus !!!

                    Un autre problĂšme Ă©tant que tout cela coĂ»te cher en temps et en personnel => en argent. Mais en contrepartie, personne ne veut comprendre qu’un sĂ©jour coĂ»te cher !!!

                    #7919
                    Al-Batros
                      @al-batros
                      #185927
                      Al-Batros
                        @al-batros

                        Salut la Foule,

                        Ne soyez pas mort de trouille en ACM.

                        Si c’est l’organisateur qui dĂ©conne, il a intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre chez AGF.

                        Ca vient de la prĂ©fecture de la Sarthe, lĂ  oĂč je vais avoir le bonheur d’ĂȘtre cet Ă©tĂ©.

                        Je vous laisse savourer.

                        “Comme dans toute action, l’organisateur d’un centre de vacances ou de loisirs est tenu de veiller au bon fonctionnement du centre. La dĂ©signation et l’engagement d’un directeur ne supprime pas la responsabilitĂ© de l’organisateur quant aux conditions d’accueil des mineurs, et des conditions de travail des employĂ©s. L’organisateur du centre doit donc mettre en place des moyens lui permettant d’ĂȘtre informĂ© des conditions de dĂ©roulement du centre. Ces moyens doivent ĂȘtre dĂ©crits dans le projet Ă©ducatif.

                        L’organisateur et le directeur proposent une dĂ©marche d’évaluation, qui consiste Ă  mesurer et Ă  analyser les effets des actions menĂ©es dans le centre. L’évaluation doit donc s’entourer de garanties, c’est un outil d’aide Ă  la dĂ©cision, et elle permet de mieux comprendre les raisons des difficultĂ©s rencontrĂ©es ou les facteurs de rĂ©ussite et de capitaliser les acquis de l’expĂ©rience.

                        Une évaluation vise à apprécier :
                        La pertinence de l’action : les objectifs sont-ils adaptĂ©s aux problĂšmes posĂ©s, au public, au contexte ?
                        L’efficacitĂ© de l’action : les objectifs sont-ils atteints ? Dans quelle proportion ? Quelles ont Ă©tĂ© les difficultĂ©s rencontrĂ©es ? Les solutions choisies Ă©taient-elles adĂ©quates ? Si l’action n’a pas eu l’effet escomptĂ©, Ă  quoi est-ce dĂ» ? À des facteurs internes ou externes ?
                        L’efficience : les effets obtenus sont-ils Ă  la hauteur des moyens engagĂ©s (humains, matĂ©riels, temporels) ?
                        L’utilitĂ© : l’action a-t-elle un impact au regard des besoins de la sociĂ©tĂ©, un impact sur les publics, sur leur comportement individuel et social, sur leurs pratiques ?
                        La cohĂ©rence : les diffĂ©rentes composantes des projets (dĂ©marches et actions) vont-elles dans le mĂȘme sens ou sont-elles dispersĂ©es ? Les objectifs et les actions mises en Ɠuvre dans le projet pĂ©dagogique traduisent-ils les intentions Ă©ducatives de l’organisateur ?

                        Les temps de l’évaluation

                        Avant, pendant et aprĂšs la rĂ©alisation du projet, le directeur et l’équipe pĂ©dagogique prennent du temps pour l’évaluation. Les modalitĂ©s de celle-ci (mĂ©thodes, indicateurs, outils) diffĂšrent selon les objectifs fixĂ©s et le moment de l’action.

                        Les questionnaires de satisfaction aux enfants et aux parents sont des outils intĂ©ressants, mais qui ne permettent pas d’évaluer la totalitĂ© du fonctionnement du centre. Il est important que l’organisateur et le directeur mĂ©nagent des temps de rencontre entre eux, avec l’équipe d’animation, ou avec les familles. Ces temps de rencontre se situent avant, pendant et aprĂšs le fonctionnement du centre.

                        L’organisateur peut aussi dĂ©signer une personne rĂ©fĂ©rente (ayant dĂ©lĂ©gation de responsabilitĂ©), comme interlocuteur privilĂ©giĂ© du directeur. Celui-ci peut avoir besoin de contacter un responsable rapidement en cas de difficultĂ© grave. Des problĂšmes peuvent ĂȘtre traitĂ©s avant qu’ils ne prennent trop d’ampleur : dĂ©passement de budget, conflit entre le directeur et l’équipe d’animation, par exemple.

                        Al Batros

                      10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
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