Plus je fais des colos, plus le moment de séparation se passe de mieux en mieux… Bien sur je repars avec des bons et mauvais souvenirs, des enfants qui m’ont marqués, des anecdotes plein la tête, mais avant, le moment de la séparation était plein d’émotions, alors que maintenant ca se passe sans soucis. Les histoires d’adresses échangées, j’évite, je prends plus de recul qu’avant , je passe plus facilement à autre chose… Je sais qu’il y e aura d’autres des enfants, d’autres bons moments…
Le seul “coup de blues”, c’est chez moi, une fois rentrée. Mais en fait, c’est pas tellement un coup de blues, c’est plutot le fait de decompresser d’une période assez intense, d’etre seul chez soi alors qu’on avait une vie en collectivité 24/24… Et le meilleur remède, c’est d’avoir en rentrant un emploi du temps surbooké, ca fait une période de transition active avant un retour au calme…