Bonjour, 🙂
Je vous donne quelques nouvelles des suites de mon BPJEPS Animation Sociale : ça y est, je l’ai obtenu au rattrapage.
Je devais représenter l’UC3 pour laquelle j’avais été recalée (snif : j’avais validé les 3 autres UC sur les 4….)
Je suivais mon stage en milieu hospitalier (unité d’addictologie), ma tutrice était cadre de santé, elle ne connaissait rien à l’animation sociale….Elle m’a accompagnée tout le long du stage, mais n’a pas pu m’aider concernant le cadre de ma méthodologie de projet.
ça m’a manqué dans la rédaction de mon dossier, je n’avais aucun exemple concret (l’accès aux dossiers de projet sur internet sont payants, et nos formateurs ne voulaient pas nous en communiquer des années précédentes avant la certification).
Par contre pour le repéchage, j’ai pu m’inspirer du cadre d’autres dossiers BPJEPS, et ça m’a bien aidée, j’ai pu placer dans ce cadre mes ingrédients à moi et voilà.
Mais bon.
Sans ce cadre, je ne pouvais pas grand chose, c’était la jungle, pour moi.
Je trouve dommage de ne pas avoir eu accès aux dossiers des BPJEPS AS des années précédentes AVANT la première certification…: Les personnes comme moi qui n’ont pas de tuteur animateur y trouvent une aide précieuse.
Pas pour “copier”, juste pour avoir un exemple de ce qu’on attend de nous, pour pouvoir se faire une idée de “cadre” d’écriture…
“Education active”, d’accord. Mais pas à n’importe quel prix, lorsqu’un jury attend quelque chose de précis. !
Sinon ce n’est plus de l’éducation active, c’est de la torture de neurones et de coeurs.:) (Toujours pour les gens qui n’ont pas de tuteur animateur -Je l’écris avec le sourire, maintenant que c’est passé, mais je ne riais pas il y a quelques mois ! – :p )
Enfin bref.
Je suis enfin soulagée.
Et contente : Les responsables de santé étudient la possibilité de me faire engager en tant qu’animatrice sociale au sein de leur service.
“Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort” : Mais qu’est ce que j’ai souffert tout au long de cette année de formation ! Surtout en centre de formation. En structure de stage, je me sentais à ma place, après que je me la sois faite et que l’équipe ait reconnu l’utilité de ma profession en soin sein.
Tout est bien qui finit (ou commence) bien, en définitive. 😉