Cest vrai que ke directeur aurait pu valider les 8 jours, mais nous ne connaissont pas les critères ni les modalités d’évaluation annoncés au départ.
Cette anim a t’elle donné satisfaction pendant ces 8 jours ?
Si c’était pour un deuil proche, le directeur et l’animatrice aurait pu négocier une absence d’un ou deux jours. Cela m’ai déjà arrivée avec un anim. Mais la encore je manque d’élément . Cependant je sais que pour un deuil un employé à droit à un certain nombre de jours.
Morbac a écrit:
8 jours ça commence à faire quand même, çà permet d’avoir au moins une petite idée? Non?
Sur un séjour de 2 semaines, j’aurai prévu un entretiens de mi-stage et donc en effet au bout de 8 jours il y aurait matière à porter une appréciation, peut-être pas aussi complète qu’en fin de stage, mais il resterait justement du temps à la personne pour évoluer encore.
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Reste que je résonnais de façon générale, et pas sur un cas précis.
Après un ou deux jours, il me semble impossible de porter une appréciation (sauf soucis graves entrainant un non validation du stage).
Après une semaine 5-6 jours et si on a un réel suivi des animateurs, ça devient déjà plus facilement envisageable.
8 jours ça commence à faire quand même, çà permet d’avoir au moins une petite idée? Non?
DIR-PTR a écrit:
Fg 63 partait de l’hypothèse que les jours effectués avaient été satisfaisants. Dans ce cadre là, le directeur aurait dû valider ces jours pour une première partie de stage pratique.Dû, pas pu.
Moi j’ai pas dis “dû” dans ce cas-là.
Ça ne reste qu’une possibilité qui lui est offerte, rien ne l’y oblige dans les textes.
DIR-PTR a écrit:
…Autre solution qui s’offrait au directeur : ne rien valider, et ne rien invalider non plus, bref, ne rien faire et proposer à la personne d’en rester là.
Je vais encore écrire “faux cul” et ça va encore tomber sur le post d’un modérateur. Tant pis, je ne vois vraiment pas comment qualifier autrement ce genre d’attitude.
Je ne vois pas en quoi cette idée que j’ai développée est faux-cul.
Moi en tant que directeur, si je définit des règles de validation du stage et de suivi du stagiaire et que le stagiaire s’en va avant d’avoir pû faire ce que j’attendais de lui ou sans que j’ai pû mettre en œuvre tout le suivi que je prévoyais, j’aurai du mal à valider ou invalider le stage… Et du coup il y a une chance que je ne fasse rien du tout, pas de rapport.
On ne va pas non plus forcément faire un rapport négatif à un stagiaire qui ne se présenterai pas au boulot le premier jour parce-qu’il vient de se casser la jambe, si ?
Moi non, si j’ai pas matière à évaluer correctement une personne, je me retiens de porter une appréciation (et quelques jours de présence ne me donnent pas forcément les éléments suffisants).
Même si les jours éffectués ont été satisfaisant, on ne sait rien de la façon à été annoncé ou fait le départ.
On ne peut rien exiger sans connaître les faits réels.
Ni le directeur, ni la demoiselle.
Ni dans un sens , ni dans l’autre.
Personne n’est omniscient.
Marant moi c’est pas faux cul qui me vient à l’esprit, c’est un peu plus virulent.
Y’en a marre que, sous prétexte que finalement le dirlo n’a pas d’argument pour invalider un stage pratique, (soit parce qu’il n’était pas sur le terrain, ou qu’il était plutôt avec le groupe d’Héloïse (celle qu’a des seins comme des pastèques) ou dans le groupe de Dédé son pote du quartier, ou encore parcqu’il a eu la flemme de définir un réel projet d’accompagnement de son stagiaire, enfin bref) il demande au stagiaire de refaire un stage.
Qu’il (impersonnel ça désigne une fonction pas un individu en particulier) assume sa position et invalide le stage avec rapport à JS et tout le toutim…
Chèvre ou chou il faut choisir…
Fg 63 partait de l’hypothèse que les jours effectués avaient été satisfaisants. Dans ce cadre là, le directeur aurait dû valider ces jours pour une première partie de stage pratique.
Dû, pas pu.
Le directeur aurait pu…
Pas dû.
On ne sait pas comment s’est passé le stage, comment à été annoncé le départ, le motif réel.
fg63 a écrit:
A un détail prêt : le stage peut être validé en 2 fois.
Donc le directeur aurait pû valider le nombre de jours effectués (s’il estimaient ceux-là satisfaisants) et inviter la personne à trouver un second stage pour atteindre les 14 jours minimums…
Oui, a un “détail” près : il aurait DU. Ca fait partie de son rôle de directeur.
…Autre solution qui s’offrait au directeur : ne rien valider, et ne rien invalider non plus, bref, ne rien faire et proposer à la personne d’en rester là.
Je vais encore écrire “faux cul” et ça va encore tomber sur le post d’un modérateur. Tant pis, je ne vois vraiment pas comment qualifier autrement ce genre d’attitude.
Je rejoins l’avis précédent, qui complète à merveille ce que je pense.
Bon courage
geo_anim a écrit:
en tant que directeur de CVL, je comprends que ton stage n’ait pas été validé. Quelle que soit la raison, tu DOIS effectuer un stage d’une durée de 14 jours. Rien ne peut y déroger.
A un détail prêt : le stage peut être validé en 2 fois.
Donc le directeur aurait pû valider le nombre de jours effectués (s’il estimaient ceux-là satisfaisants) et inviter la personne à trouver un second stage pour atteindre les 14 jours minimums.
Autre solution qui s’offrait au directeur : ne rien valider, et ne rien invalider non plus, bref, ne rien faire et proposer à la personne d’en rester là.
Impossible de prendre une position sur ce cas précis, il aurait fallut y être.
Une personne très bien, je pense que je lui aurait validé les jours faits.
Une personne “moyenne”, je pense que j’en serai resté là (pas assez d’éléments pour l’évaluer).
Une personne posant problème, je pense que j’aurai porté une appréciation non satisfaisante, mais bien entendu pas basée uniquement sur son départ.
Bonjour,
en tant que directeur de CVL, je comprends que ton stage n’ait pas été validé. Quelle que soit la raison, tu DOIS effectuer un stage d’une durée de 14 jours. Rien ne peut y déroger.
Ce qui t’arrive est une leçon de vie. Tu as du faire face à une situation qui t’a placé devant un CHOIX A FAIRE.
Ce choix, tu l’as fait, en ton âme et conscience. Etre adulte, c’est être capable d’assumer les conséquence de ses propres choix.
Et je terminerai en disant qu’à l’heure du choix, chacun est libre.
Personnellement, cependant, j’aurais temporiser la situation en mettant les conséquences que cela auraient occasioné pour moi de côté, car en tant que directeur, je n’ai pas à me laisser déborder par les imprévus. J’aurais en conséquence fait preuve d’empathie…
En revanche, j’aurais invalidé ton stage sans toutefois me permettre d’y apposer la moindre appréciation, en dehors d’un conventionnel “démission avant terme”.
Si cela peut t’aider…
Bonne journée,
fg63 a écrit:
Non non, je vais bien… Enfin si on prend en compte mon manque chronique de 5èmes collectifs ces temps-ci. 😉
On peut en organiser un sur le NAWAK virtullement si tu veux
julienrenom a écrit:
je crois que le modérateur a été attaqué par quelque chose. Nous devrions faire une cellule de crise en soutien à FG63 qui craque.
Non non, je vais bien… Enfin si on prend en compte mon manque chronique de 5èmes collectifs ces temps-ci. 😉
je crois que le modérateur a été attaqué par quelque chose. Nous devrions faire une cellule de crise en soutien à FG63 qui craque.
Moi j’aime pas les cornichons au 5ème… Et puis de toute façon y’en a toujours, même si le bocal est vid eou absent. 😉
Moi je préfère la tartiflette au 5ème.
C’est gras et consistant… Et ça aussi j’aime bien quand y’en a autour de la table même en l’absence de patates dans un plat. 😉
Salut à toi, Fg63
Alors… Je me dit qu’en l’absence de règlementation précise et de jurisprudence pour le moment… Ben on fait un peu ce qu’on veut (ou plutôt ce qu’on pense faisable) et on verra bien le jour où les choses seront clarifiées d’une manière ou d’une autre… 😉
Le “on” étant ici utilisé dans son vrai sens de “pronom impersonnel” pas comme un “nous” qui m’inclurai ou inclurai forcément d’autres membres de ce débat. 🙂
Ben non, on fait pas ce qu’on veut, on fait au mieux.
Tant qu’il y aura des cornichons au 5ème, ça sera pas un drame.
Al
Salut à toi, Saltimbanque,
Mais pourtant en justice on peut te reprocher de ne pas avoir respecté une instruction !!!
Oui, le juge peut qualifier la faute de caractérisée, seulement, grace à Pierre Fauchon, ce n’est plus systématique, il faut que la faute soit particulièrement grave.
Et pour le CEE, c’est un CDD mais il n’est pas appliqué comme un CDD au sens juridique.
Sinon pourquoi préciser dans les textes de loi du CEE : “En l’absence d’accord entre parties, le contrat d’engagement éducatif ne peut être rompu à l’initiative de l’organisme avant l’échéance du terme que pour force majeure, faut grave du cocontractant ou impossibilité pour celui-ci de continuer à exercer ses fonctions.” ???
Le texte que tu cites dit que le licenciement (Rupture à l’initiative de l’employeur) n’est possible que “pour force majeure, faute grave du cocontractant ou impossibilité pour celui-ci de continuer à exercer ses fonctions”.
Il me parait clair que pour les ruptures à l’initiative de l’employé soient comme celles des CDD puisque le CEE est un contrat à durée déterminée. Le législateur a peut être pensé que c’est évident.
Le CASF, partie règlementaire a déjà changé 3 fois et ça va continuer.
Alors, les textes du CEE, c’est 2 fois.
Faut être patient.
Tu fait ton boulot correctement et si l’employeur essaye de te niquer, tu fais comme, tu l’nique.
C’est simple, non?
Al
Alors… Je me dit qu’en l’absence de règlementation précise et de jurisprudence pour le moment… Ben on fait un peu ce qu’on veut (ou plutôt ce qu’on pense faisable) et on verra bien le jour où les choses seront clarifiées d’une manière ou d’une autre… 😉
Le “on” étant ici utilisé dans son vrai sens de “pronom impersonnel” pas comme un “nous” qui m’inclurai ou inclurai forcément d’autres membres de ce débat. 🙂