Anfodico
Al, prônes-tu un principe de précaution extrême et absolu ?
Faut-il garder les étiquettes de chaque paquet de choco ?
Et un échantillon de chaque paquet aussi ?Faut-il aussi garder à chaque repas un échantillon de l’eau servie à table, parce-que même si la mairie se charge de contrôler son réseau, ou Cristaline se charge de contrôler ses bouteilles, on n’est jamais à l’abri ?
Mes questions sont sérieuses : que défends-tu exactement ? Jusqu’où penses-tu qu’il est raisonnable et/ou nécessaire d’assurer une traçabilité ?
Pour moi, reste en suspens une question. Veux t’on soigner l’enfant plus vite en sachant plus vite ce qui l’a rendu malade ou veux t’on se débarrasser au plus vite de ses responsabilités?
Pour moi, c’est le 1, mais, je sens que je suis marginal.
Je prône donc de faire ce que l’on peut faire raisonnablement pour les enfants. Garder des échantillons, ça permet de gérer une tiac mieux, alors, on garde ce qu’on peut garder.
Al
Voici un élément supplémentaire : lien (cf. p. 4) qui répond aussi à la question : ” dans quel cas je prélève un échantillon pour un plat témoin ? “
Makh a écrit :
Je ne vois pas l’intérêt de citer des consignes DDCS sans proposer le texte de base, surtout si c’est pour dire des bêtises et réécrire la loi.
On s’en fout que tu y vois un intérêt ou pas, montre nous là où on raconte des conneries, toi qui sait ! Personnellement, je rapporte les éléments que nos services d’inspections ont comme information. C’est le plus factuel possible.
Makh a écrit :
Bref la directive européenne n’a rien à voir (enfin très peu et pas dans ce cas présent) avec les ACM, ce qui nous concerne directement c’est l’arrêté de 97 (légèrement modifié récemment) : “il faut garder les plats 5 jours en quantité suffisante” en substance.
La question posée parle de traçabilité. J’ai apporté une réponse à la question en terme de traçabilité.
Pour info, Makh, l’arrêté du 8 octobre 2013 qui abroge l’arrêté du 29 septembre 1997 se base lui-même sur d’autres textes dont des directives européennes avec l’apparition du Paquet Hygiène.
Dire que les ACM ne sont pas concernés, ça c’est une grosse connerie !
Je finirais par dire que le plats témoins ne sont pas nécessaires pour les pré-emballés, régimes avec modifications mineures et produits préparés à la vue du consommateur…
Par exemple : ici cf question 16)
ou encore cette note de service ici
Vous avez voulu des textes, en voilà … mais sans doute que ce ne sont que des conneries et Makh nous présentera ses textes à lui … un jour peut etre …
Al, prônes-tu un principe de précaution extrême et absolu ?
Faut-il garder les étiquettes de chaque paquet de choco ?
Et un échantillon de chaque paquet aussi ?
Faut-il aussi garder à chaque repas un échantillon de l’eau servie à table, parce-que même si la mairie se charge de contrôler son réseau, ou Cristaline se charge de contrôler ses bouteilles, on n’est jamais à l’abri ?
Mes questions sont sérieuses : que défends-tu exactement ? Jusqu’où penses-tu qu’il est raisonnable et/ou nécessaire d’assurer une traçabilité ?
Deuxième question : dans tes propres encadrements (si tu encadres des séjours ou accueils), que fais-tu, toi ?
en substance c’est cool, mais les liens ??? ça devient vraiment pénible, Makh…
Langelous a écrit :
Tu vas vite te calmer mon gars, car pour le coup c’est bien toi qui raconte des conneries, en prime tu lis mal !
Je suis plutôt calme à vrai dire.
Langelous a écrit :
Pour info, je ne me trompe pas de texte puisque c’est de là qu’est défini la notion de traçabilité.
Le message que j’ai mis est une des consignes transmises par une DDCS.
Maintenant, tu interprètes comme tu veux et tu fais ce que tu veux … libre à toi.
Je ne vois pas l’intérêt de citer des consignes DDCS sans proposer le texte de base, surtout si c’est pour dire des bêtises et réécrire la loi.
Bref la directive européenne n’a rien à voir (enfin très peu et pas dans ce cas présent) avec les ACM, ce qui nous concerne directement c’est l’arrêté de 97 (légèrement modifié récemment) : “il faut garder les plats 5 jours en quantité suffisante” en substance.
Al,
Tu es donc hors sujet …
Langelous
Honnêtement, j’aimerai bien connaître le nombre par an de cas d’enfants malades dus au goûter !
Moi, ce nombre là, je m’en bas les c… .
Le nombre que je voudrais connaître est celui des tiacs que les OVs passe sous silence pour échapper à la justice. Et particulièrement celui de l’autre.
Al
Al-Batros a écrit :
Toutefois, reste en suspens une question. Veux t’on soigner l’enfant plus vite en sachant plus vite ce qui l’a rendu malade ou veux t’on se débarrasser au plus vite de ses responsabilités?
Pour moi, c’est le 1, mais, je sens que je suis marginal.Al
Honnêtement, j’aimerai bien connaître le nombre par an de cas d’enfants malades dus au goûter !
Langelous
La traçabilité est définie comme « la capacité à retracer, à travers toutes les étapes de la production, de la transformation et de la distribution, le cheminement d’une denrée alimentaire… ou d’une substance destinée à être incorporée ou susceptible d’être incorporée dans une denrée alimentaire » (art. 3 du règlement [CE] 178/2002). Il s’agit donc d’une obligation réglementaire, dont l’objectif est de pouvoir remonter précisément le parcours suivi par l’aliment de sa production jusqu’à l’assiette en cas de problème.
Merci pour cette définition, même si on devrait écrire: “de sa production jusqu’à la mise à dispo de l’enfant de l’aliment”
Ni le fabricant, ni l’O n’est pas responsable des pbs dyspepsiques de l’enfant.
Toutefois, reste en suspens une question. Veux t’on soigner l’enfant plus vite en sachant plus vite ce qui l’a rendu malade ou veux t’on se débarrasser au plus vite de ses responsabilités?
Pour moi, c’est le 1, mais, je sens que je suis marginal.
Al
Makh a écrit :
Lagelous tu te trompes de texte de référence (et par conséquent tu dis des bêtises).
Tu vas vite te calmer mon gars, car pour le coup c’est bien toi qui raconte des conneries, en prime tu lis mal !
Pour info, je ne me trompe pas de texte puisque c’est de là qu’est défini la notion de traçabilité.
Le message que j’ai mis est une des consignes transmises par une DDCS.
Maintenant, tu interprètes comme tu veux et tu fais ce que tu veux … libre à toi.
Makh
Ce sont les plats qu’il faut garder, alors si tu veux le faire avec les goûters, tu gardes un échantillon, pas une étiquette.
Une étiquette peut permettre de remonter à un échantillon.
Al
Makh a écrit :
Lagelous tu te trompes de texte de référence (et par conséquent tu dis des bêtises).
Makh…
et si pour une fois, au lieu de simplement dénigrer les gens de manière gratuite, tu agissais de manière un poil plus “pédagogue”, ne serait-ce qu’en donnant le bon texte, en citant ou sourçant tes propos…?
Ce serait vraiment appréciable et éviterait de te faire passer pour un gros relou.
Cdlt
Lagelous tu te trompes de texte de référence (et par conséquent tu dis des bêtises).
Al-Batros a écrit :
Céclèr, mais, c’est comme le bon sens, c’est pas toujours écrit*.
Hé, les guys, vous comprenez pas que des thraces écrites sur ces étiquettes peuvent aider à soigner les tiacs éventuelles.
Ce sont les plats qu’il faut garder, alors si tu veux le faire avec les goûters, tu gardes un échantillon, pas une étiquette.
Sinon je te pose la même question que Anfodico, tu gardes tout ? J’en doute.
Bonsoir
La traçabilité est définie comme « la capacité à retracer, à travers toutes les étapes de la production, de la transformation et de la distribution, le cheminement d’une denrée alimentaire… ou d’une substance destinée à être incorporée ou susceptible d’être incorporée dans une denrée alimentaire » (art. 3 du règlement [CE] 178/2002). Il s’agit donc d’une obligation réglementaire, dont l’objectif est de pouvoir remonter précisément le parcours suivi par l’aliment de sa production jusqu’à l’assiette en cas de problème.
Au delà de ça on comprend bien que si le cuisto réalise un gâteau pour le goûter il devra conserver un plat témoin de celui-ci. S’il s’agit du paquet de pépitos achetés au supermarché du coin seul suffit
les preuves d’achat comprenant le nom et l’adresse des fournisseurs (bons de livraison, étiquetages des denrées), la date de transaction/livraison ; et si possible le numéro de lot.
Cordialement
Al, prônes-tu un principe de précaution extrême et absolu ?
Faut-il garder les étiquettes de chaque paquet de choco ?
Et un échantillon de chaque paquet aussi ?
Faut-il aussi garder à chaque repas un échantillon de l’eau servie à table, parce-que même si la mairie se charge de contrôler son réseau, ou Cristaline se charge de contrôler ses bouteilles, on n’est jamais à l’abri ?
Mes questions sont sérieuses : que défends-tu exactement ? Jusqu’où penses-tu qu’il est raisonnable et/ou nécessaire d’assurer une traçabilité ?
Deuxième question : dans tes propres encadrements (si tu encadres des séjours ou accueils), que fais-tu, toi ?
Makh
Il n’est écrit nulle part qu’il faut conserver les étiquettes.
Céclèr, mais, c’est comme le bon sens, c’est pas toujours écrit*.
Hé, les guys, vous comprenez pas que des thraces écrites sur ces étiquettes peuvent aider à soigner les tiacs éventuelles.
Vous serez pas plus con que …, quand même!
Al
* Et puis, y’a la faute caractérisée, un RP sans l’écrit habituel, voir doc de Lapin.
Il n’est écrit nulle part qu’il faut conserver les étiquettes.
Makh
Non, tu n’es pas obligé de conserver les cartons des goûters.
Là, tu fais un carton, tu peux aller goûter.
Les cartons ne serviront à rien sauf à des activités manuelles.
Ce qui peut servir, c’est les étiquettes ou un échantillon du goûter. En k de pb, on pourra connaître le détail du pb*, mieux soigner les victimes de la tiac et trouver le responsable.
Al
* L’échantillon conservé risque d’être contaminé par le même germe car il aura été préparé en même tps, dans la même marmite, …
p27kw a écrit :
Bonjour à tous,Je recherche depuis plusieurs jours cette réponse, mais doit-on conserver les cartons des goûters qu’on achète aux enfants ?
Merci d’avance,
Non, tu n’es pas obligé de conserver les cartons des goûters.