Bonjour à tous!!
Après une expérience d’une dizaine d’années dans l’animation en tout genre de l’alsh au villages vacances en passant par toute sorte de directions, je me suis un peu essoufflée et j’ai décidé de reprendre mes études. Je viens donc de valider une Licence coordination de projets. Cette reprise universitaire m’a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives professionnelles au niveau des relations internationales et notamment la coopération décentralisée.
Pour que nous puissions tous parler de la même chose, je vais tenter de donner une courte définition de ce que c’est.
La coopération décentralisée c’est la possibilité, pour une collectivité locale, de lier des partenariats avec des collectivités étrangères et de pouvoir y financer des projets dès lors qu’il y a signature d’une convention et respect des engagements internationaux de la France.
Les collectivités françaises coopèrent aujourd’hui dans 115 pays. Ce phénomène touche toutes les régions, la grande majorité des départements, des intercommunalités et des communes, grandes et moyennes. On compte à ce jour près de 6000 liens entre collectivités françaises et collectivités étrangères. Les champs s’élargissent et se diversifient. Aux côtés de l’aide humanitaire, de l’aide « projets », l’aide « programme », de nouvelles formes d’action internationale apparaissent, confortées par l’existence de nombreux réseaux de pouvoirs locaux, géographiques ou thématiques. Les collectivités européennes peuvent maintenant s’unir et leurs réseaux passent des conventions avec les Nations Unies ou la Banque Mondiale.
Elles peuvent créer des fonds d’intervention pour lutter contre la fracture numérique ou contre le Sida.
La loi Thiollière de 2007, qui conforte et élargit la loi de 1992, fait de l’action internationale une compétence à part entière des collectivités territoriales et permet une grande liberté d’initiative, y compris dans les cas d’urgence.
Toutefois, je me heurte à un paradoxe très français. Lorsque je regarde les offres d’emploi, mon parcours professionnel me permet de postuler dans ce domaine d’activités. Toutefois, si je suis parfaitement honnête…mon niveau de langues (à bac+3) est correct mais pas formidable.
Dans ma conception du travail, je me dis que cela ne sert à rien d’être malhonnête en disant que je maitrise l’anglais si je ne suis pas capable das les faits, de bien communiquer avec les interlocuteurs pour développer des partenariats.
J’avais déjà un peu contourné le problème car en Licence, je voulais faire un stage à l’étranger. Mon niveau d’anglais ne me satisfaisant pas, j’avais choisi de partir au Québec.
Toutefois, j’ai envie de prendre le taureau par les cornes. J’aime ce champ professionnel et je veux me perfectionner rapidement an anglais. Il n’y a pas de mystères: j’ai besoin d’une immersion de quelques mois en pays anglophone.
Je fais donc appel à vos connaissances et vos compétences pour savoir comment vous avez fait pour apprendre l’anglais de manière efficace et sans trop vous ruiner.
Pour des raisons personnelles (et qui seraient très longues à développer sur ce forum) je ne souhaite pas être fille au pair et j’ai essayé de regarder auprès d’un organisme de séjours linguistiques qui proposait 6 semaines de cours intensif + logement chez l’habitant à 2066 euros (ce qui explose mon budget actuel).
Dans les contraintes, j’ai aussi plus de 30 ans ce qui me ferme la porte au Service Volontaire Européen 😉
Si quelqu’un a réussi à me lire jusque là, a des idées et souhaite m’aider dans ma réflexion un peu limitée actuellement, je lui en serai infiniment reconnaissante 🙂
Au plaisir de vous lire prochainement 😉
, le il y a 13 années et 8 mois.
