[Matim]

bonjour evadhib

evadhib a écrit :
donc effectivement il ne faut jamais donner de médicament type doliprane, aspegic,etc…

Ca sort d’où ?
Peux-tu donner la référence du texte législatif sur lequel tu t’appuies stp ?

“Il ne faut jamais…” ou bien “il est conseillé de ne pas…” ? c’est pas pareil.

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[Import]

alors voila ce sujet m’interesse beaucoup, je suis assistante sanitaire ainsi qu’en formation de formateur aux premiers secours,

donc effectivement il ne faut jamais donner de médicament type doliprane, aspegic,etc…
et surtout jamais utiliser le fameux “Rouge” tout simplement la plaie étant rouge, comment peux on voir l’evolution d’une plaie, en mettant un desinfectant rouge.

Pour ce qui es d’appeller le SAMU 15 fois malheureusement oui c’est obliger après on peux prevenir avant la collo un médecin qui es au alentours.

Même un simple mal de ventre qui parait benin, il faut prevenir, j’ai eu le cas d’une petite qui avais très mal au vente on a penser inpadicite rien, donc les medecins on commencé a croire qu’elle faisais de la comédie j’ai insisté comme une folle, elle était constipé et allais faire une oclusion instinale donc c’est super important d’écouter l’enfant même si d’apparence il a rien.

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merci pour votre article, ça me renseigne, il faut toujours se fier à des professionnels et ne se contente pas que des médicaments même si cela va couter cher.
partie publicitaire du message otée, merci de ta compréhension

[Utilisateur anonyme 37304]

“Mais dites moi, c’est si douloureux que ça de se dire qu’on n’est pas médecin et qu’il faut faire appel à un professionnel?”

Rien de douloureux là-dedans, et c’est bien naturel de ne pas se prétendre médecin ou pharmacien.

Mais est-il vraiment indispensable de passer par le médecin pour un mal de ventre bénin le premier soir, d’amener le gamin chez le pharmacien à chaque plaie au genou ou d’appeler 15 fois le SAMU pour chaque jeune qui a mal à la gorge un dimanche soir ?

La question n’est pas de tout faire n’importe comment, heureusement.
Elle serait plutôt de savoir faire preuve de bon sens et de ne pas engorger inutilement les médecins et/ou services d’urgences pour le moindre petit soucis relevant de la bobologie.

L’autre question abordée ici est l’existence ou non d’une interdiction générale et/ou spécifique aux ACM.
Là-dessus, j’affirme qu’il n’existe pas de règlementation particulière pour les ACM (il existe par contre des recommandations variées) et que nous n’avons donc ni plus ni moins de droits ou devoirs que le quidam de base qui soigne ses enfants (je parle sur un plan règlementaire, il va de soit que nous devons redoubler de prudence puisque nous ne connaissons pas aussi bien les enfants que leurs parents).

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Je ne referai pas le débat mais la vente libre ne donne pas l’autorisation d’utilisation automatique et totale (ex les bombes lacrymo sont en vente libre, leur port et à fortiori leur usage est plus que réglementé)

IL existe une différence entre l’automédication, le soin familial et la prescription, la nuance est énorme.
Concernant l’antispeique il est normalement prescrit par un pharamacien, professionnel de santé et habilité à le choisir, de plus en plus de structure choisissent d’ailleurs de ne nettoyer les plaies qu’à l’eau et au savon (cas de l’éducation nationale par exemple)…
Pour le secouriste il n’y a pas de procédure biafine pour les brulures, de même il n’y a aucune administration de médicament, le seul qu’il soit habilité à utiliser est l’oxygène…

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Mais dites moi, c’est si douloureux que ça de se dire qu’on n’est pas médecin et qu’il faut faire appel à un professionnel?

[Utilisateur anonyme 37304]

Article L4161-1 du code de la santé publique :

Exerce illégalement la médecine :

1° Toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d’un médecin, à l’établissement d’un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu’ils soient, ou pratique l’un des actes professionnels prévus dans une nomenclature fixée par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis de l’Académie nationale de médecine, sans être titulaire d’un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l’article L. 4131-1 et exigé pour l’exercice de la profession de médecin, ou sans être bénéficiaire des dispositions spéciales mentionnées aux articles L. 4111-2 à L. 4111-4, L. 4111-6, L. 4111-7, L. 4112-6, L. 4131-2 à L. 4131-5 ;

2° Toute personne qui se livre aux activités définies au 1° ci-dessus sans satisfaire à la condition posée au 2° de l’article L. 4111-1 compte tenu, le cas échéant, des exceptions apportées à celle-ci par le présent livre et notamment par les articles L. 4111-6, L. 4111-7 et L. 4131-4-1 ;

3° Toute personne qui, munie d’un titre régulier, sort des attributions que la loi lui confère, notamment en prêtant son concours aux personnes mentionnées aux 1° et 2°, à l’effet de les soustraire aux prescriptions du présent titre ;

4° Toute personne titulaire d’un diplôme, certificat ou tout autre titre de médecin qui exerce la médecine sans être inscrite à un tableau de l’ordre des médecins institué conformément au chapitre II du titre Ier du présent livre ou pendant la durée de la peine d’interdiction temporaire prévue à l’article L. 4124-6 à l’exception des personnes mentionnées aux articles L. 4112-6 et L. 4112-7 ;

5° Tout médecin mentionné à l’article L. 4112-7 qui exécute des actes professionnels sans remplir les conditions ou satisfaire aux obligations prévues audit article.

Les dispositions du présent article ne s’appliquent pas aux étudiants en médecine ni aux sages-femmes, ni aux infirmiers ou gardes-malades qui agissent comme aides d’un médecin ou que celui-ci place auprès de ses malades, ni aux personnes qui accomplissent, dans les conditions prévues par décret en Conseil d’Etat pris après avis de l’Académie nationale de médecine, les actes professionnels dont la liste est établie par ce même décret.

Un assistant sanitaire qui donne du paracétamol contre de la fièvre ne pose pas un diagnostique et ne soigne pas une maladie.
Il agit contre un symptôme, tout simplement.

La nuance est grande et ne dispense bien entendu pas de faire preuve de prudence.

Si on interprète différemment ce texte, alors il faut considérer que toute personne achetant un médicament en vente libre et l’utilisant pour soigner un symptôme se retrouve coupable d’exercice illégal de la profession de médecine. Cela inclurait la maman qui donne un sirop contre la toux à son enfant, l’AS qui utilise un antiseptique sur une écorchure et le secouriste qui applique de la Biafine sur un coup de soleil…

Que dire aussi alors de l’État qui permettrait la vente libre de médicaments sans que personne ne puisse les utiliser sans un avis médical ?

Et que penser des recommandations, majoritaires, des DD représentant J&S qui invite à posséder et utiliser des médicaments ?

[Import]

Avant tout : je lance un appel à tout ceux qui prétendent qu’il est interdit de donner à un enfant un médicament qui est librement vendu en pharmacie sans ordonnance. Si vous avez un texte, montrez-le nous !
Pour ma part, j’ai cherché, cherché et re-cherché… Et je n’ai pas trouvé un tel texte.

Je t’ai déjà donné le texte, il s’agit de l’exercice illégal de la médecine, tu n’es pas d’accord avec mon interprétation du texte ce n’est pas la même chose que ne pas avoir eu de référence…
Pas envie de me reprendre la tête à chercher mais l’administration d’un médicament est lié à une prescription médicale, et la prescription est liée au métier de la santé…
J’ai déjà largement argumenté là dessus je te renvoie donc à mes précédents écrits.

Mais la, petite parenthése, un gamin qui a 39 ° il est 3heures du matin, vous faites quoi ? Plutot que filer de leau sucrée ben ouais, des fois il faut agir avec son bon sens et arreter d etre “c****”

Moi j’appelle le 15 et je demande un avis médical, c’est pas trop c… comme démarche?

[Langelous]

Bonjour a tous

Pas mieux que les commentaires ci-dessus … sauf peut être un lien qui fixera (définitivement, ou pas) les pensées des uns et des autres sur le rôle de l’Assistant Sanitaire.

Sans faire de pub, ce site regroupe un certains nombre d’informations qui sont de nature à “dédramatiser” le rôle d’AS sur un SV…

Petit rappel aussi : on ne reprochera jamais à un AS d’avoir donné un dolyprane (en respectant les doses évidemment, mais pour ça on a une notice d’information vendue avec le médoc) alors que l’inverse oui !

Bonne lecture

http://www.secourisme-pratique.com/pages/dossiers/as.htm

[XXYYZZ]

Ah la la, elles en font couler de l’encre ces listes de médicaments interdits ou pas !

Depuis plusieurs années je cherche et le proverbe:” qui cherche trouve” ne se vérifie pas.
Plusieurs DD quelque choses, donnent des listes INDICATIVES, donc pas obligatoires.
Même chose pour les PMI, certaines communes, les drass etc
Ces fameuses listes sont tres souvent différentes de l’une à l’autre.
Ensuite comme le dit lolotte, il y a le bon sens: vérifier les allergies, attention aux doses en fonction de l’âge et du poids des jeunes, vérifier les dates, entreposer correctement les médicaments, les circonstances etc.
Si on lit le textesur les fonctions de l’AS, la bobologie n’y figure même pas.

Ensuite il est clair que dans 90 % des cas l’assistant sanitaire “soigne” plus les mals êtres moraux que physiques. Il est donc important qu’il soit un peu psychologue pour savoir rassuré les enfants. Malheureusement cela n’est pas abordé dans les formations PSC1.

[lolotte77]

Pareil que toi FG

Jamais vu, depuis que je suis dans l animation, c est a dire presque 17 ans AUCUN TEXTE nous interdisant de donner un doliprane aux gamins a partir du moment que c est en VENTE LIBRE.

Aprés il est évident que je filerais pas un cacheton de doli 1000 a un gamin de 6 ans et de 27 kilos allergique au paracétamol.

Mais la, petite parenthése, un gamin qui a 39 ° il est 3heures du matin, vous faites quoi ? Plutot que filer de leau sucrée ben ouais, des fois il faut agir avec son bon sens et arreter d etre “c****”

[Utilisateur anonyme 37304]

Avant tout : je lance un appel à tout ceux qui prétendent qu’il est interdit de donner à un enfant un médicament qui est librement vendu en pharmacie sans ordonnance. Si vous avez un texte, montrez-le nous !
Pour ma part, j’ai cherché, cherché et re-cherché… Et je n’ai pas trouvé un tel texte. 😉

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la 1ère chose c’est que les produits autorisés varient en fonction du lieu ou se situe le centre, donc la première chose a faire pour un AS est de s’informer auprès de le DDJS… via leur site internet ou en les appelant.

En France, les fonctionnaires ne peuvent pas “faire la loi”.
Il est donc impossible qu’une DDCS, DDCSPP ou même une DRJSCS puisse interdire ou autoriser l’usage de médicaments alors que sa voisine ferait différemment.
Ces services déconcentrés de l’État ne peuvent que recommander ou conseiller.

Il existe effectivement quelques département qui “interdisent” l’usage de médicaments… Ces interdictions ne reposent pas sur un texte de loi et sont un abus de langage pour désigner des recommandations.
D’ailleurs, dans ces départements, J&S recommande en réalité l’usage de médicaments sur les mêmes documents que ceux qui disent les interdire (par exemple, il est dit qu’il faut utiliser des antiseptiques).
Je base ce paragraphe sur une enquête que j’ai menée auprès de toute les directions départementales afin de faire la synthèse des recommandations liées au suivi sanitaire en ACM. 😉

l’arnica est un médicament… en revanche, l’arnicaN est considéré comme de l’homéopathie… donc autorisé !

Rien ne précise que l’homéopathie serait plus “autorisée” que les autres médicaments, dans le cadre des ACM.
Concernant l’arnican, il s’agit d’une marque de produits dont le principe actif est l’arnica. Cette marque est exploitée par les laboratoires Cooper.
Pour être complet, le laboratoire Cooper indique dans la notice de l’Arnican que sa classe pharmacothérapeutique est “médicament à base de plante”, pas “spécialité homéopathique”. 😉

il faut alors qu’il vous faxe cet accord pour que vous ayez une preuve ecrite !

Il “faut” ? En vertu de quoi ? Où est l’obligation règlementaire ?
Si cela peut en effet être une pratique intelligente, elle n’a rien d’obligatoire.

toute forme d’alcool est interdite (alcool à 90°, alcool modifié…) et je ne comprends pas, pourquoi veux tu mettre de l’alcool sur une contusion ? ça me laisse perplexe qu’ils t’aient conseillé ça à l’hosto …

Là aussi, alcool interdit par qui ?
Faire un “pansement à l’alcool” est une pratique bien connue pour faire dégoufler une piqûre d’insecte ou une ecchymose, pas sur une plaie, bien entendu (brûlure des chaires en plus de la douleur).

On trouve, par exemple, sur le site de l’IFCM (institut mains) le descriptif suivant :
Pansement « alcoolisé » : c’est un pansement qui ne se met pas sur une cicatrice. Il est indiqué pour son effet anti-inflammatoire loco-régional après une contusion. Il est réalisé en imbibant des compresses d’alcool 70° coupé par du sérum physiologique. Ce pansement ne doit pas être maintenu trop longtemps en place pour éviter les lésions cutanées et il ne faut pas oublier que l’alcool est un produit inflammable…

[lolotte77]

caramiel a écrit :
pour l’arnica j’ai demandé au médécin de ma colo il m’a dit que les composants sont tres tres rarement allergène et que je pouvais l’utiliser.

salut

oui tu peux utiliser l arnica sauf chez les épileptiques …..comme bien d autres choses qui leur sont déconseillées ( qui sont “banales” chez les autres et qui déclenchent les crises chez les épileptiques)

d ou limportance de bien se renseigner !

[Lau]

Salut Marie 13 :coucou:

Marie13 a écrit :
et Caramiel, toute forme d’alcool est interdite (alcool à 90°, alcool modifié…) et je ne comprends pas, pourquoi veux tu mettre de l’alcool sur une contusion ? ça me laisse perplexe qu’ils t’aient conseillé ça à l’hosto …

:non: Non, l’alcool modifié à 70° est couramment utilisé pour soigner les hématomes. C’est approximativement la même chose que du synthol.

Quant à savoir si on peut l’utiliser en ACM, je ne sais pas. Quoi qu’il en soit, c’est un traitement externe donc il n’y a pas grand risque.

[crevette76]

Salut,
vos derniers messages sur ce fil sont hors sujet et seraient mieux dans celui-ci qui parle des choses autorisées ou pas dans sa pharma d’ACM…
D’ailleurs je m’en vais de ce pas les y déplacer si je retrouve comment qu’on fait… 🙂

EDIT : voilà qui est fait.

[Marie13]

Voici quelques éléments de réponse :

la 1ère chose c’est que les produits autorisés varient en fonction du lieu ou se situe le centre, donc la première chose a faire pour un AS est de s’informer auprès de le DDJS… via leur site internet ou en les appelant.

Ensuite, chose commune a toute la france : TOUS les médicaments avec ou sans ordonnance sont interdits (sauf prescription médicale biensur…) cependant (parce que ça aurait été trop simple…)

– le paracétamol (Doliprane) est un des rares médicaments toléré à peu près partout. Renseignez vous avant de partir si c’est bien le cas là ou vous allez… (je crois me souvenir que seul 3 départements le déconseillent, mais il s’agit là d’un lointain souvenir, donc a vérifier…)

– l’arnica est un médicament… en revanche, l’arnicaN est considéré comme de l’homéopathie… donc autorisé ! (et tout aussi efficace a mon sens…) il existe également des tas d’autres crèmes à base d’arnica non considérées comme des médicaments…

enfin, tout le reste est interdit… y compris la biafine d’ailleurs qui EST un medicament .

Maintenant une solution en général assez simple pour ne pas avoir a passer sa vie chez le médecin ou a l’hosto : demander un avis telephonique / fax vous appelez le médecin de la colo, lui expliquez ce qui se passe (coup de soleil, diarrhée…) et lui vous dira si il faut que vous lui ameniez l’enfant ou si vous pouvez lui donner un medicament sans ordonnance. attention, il faut alors qu’il vous faxe cet accord pour que vous ayez une preuve ecrite ! (dans les petits villages en général les médecins connaissent bien ce genre de cas et s’il vous a déja vu 1-2 fois il acceptera volontiers sachant que ça lui fait gagner un temps fou, sinon il est obliger de vous recevoir…) un “biafine pour georges X jusqu’à disparition des brulures+ signature tampon” suffit …

et Caramiel, toute forme d’alcool est interdite (alcool à 90°, alcool modifié…) et je ne comprends pas, pourquoi veux tu mettre de l’alcool sur une contusion ? ça me laisse perplexe qu’ils t’aient conseillé ça à l’hosto …

[caramiel]

pour l’arnica j’ai demandé au médécin de ma colo il m’a dit que les composants sont tres tres rarement allergène et que je pouvais l’utiliser.

Pour le doliprane dans mon manuel d’AS de l’organisme cetait autorisé mais avant de le donner je demander un avis du directeur (tout en ayant vérifier la fiche sanitaire)

Pour le reste je demandais au médecin il répondait à tout mes questions cetait bien pratique.

Je suis pas du genre à utiliser des placebos du type “tiens un médicament ça va aller mieux (alors que cest de l’eau et du sucre)” c’est faire un diagnostique hors je ne suis pas médecin…

En revanche j’ai une question:

Peut-on utiliser de l’alcool modifié pour les contusions? (compresse + alcool modifié à 70 + bandage) à l’hopital un médecin m’a dit que ca marchait bien mais j’lui ai pas demandé si je pouvais l’utiliser pour d’autres cas que l’enfant que je lui ais amené.

ex type: un gamin avait mal au doigt il avait pris un ballon, donc froid et pansement strip (jsais plus le nom jle retiens pas lool), on va aux urgences il pouvait plus le bouger et la à l’accueil on me dit vous pouvez repasser demain on a trop de monde. alors jdemande si ca peut attendre et le médecin me dit oui.. Est ce que j’aurai pu mettre ca pour faire dégonfler son doigt?

[Cyril-Fiesta]

Ce poste peut être contraignant par moment dans certains cas (surtout quand on est en plus animateur, bon après ca dépend de l’organisation), mais si l’on me le re-proposait, j’accepterais avec plaisir

Par contre, j’ai 50 réponses différentes pour la question que je me pose : Qu’a t’on réellement le droit de donner/utiliser ?
D’un pharmacien à l’autre, d’une DDJS à l’autre, d’un forum à l’autre, ca change (voila quelques exemples) :

* On peut donner toute médicaments sans ordonnance, adapté à l’age et au poids de l’enfant (donc doliprane, lisopaine, etc.)
* On ne peut donner que de l’homéopathie et du doliprane
* On ne peut donner que du doliprane
* On ne peut rien donner sans avis médical, même pas doliprane

+ Ceux qui sortent que les cremes comme arnica ne sont plus autorisé (bien sur… et ta soeur, elle est autorisé? :p), etc.
A quand quelque chose de clair xD
Perso, si je le refais, je donne ce que le directeur m’autorise à donner, après tout, c’est lui qui prend la responsabilité :p (Enfin en m’assurant quand même que ce soit dans l’intêret de l’enfant, genre “donne lui un advil, on aura la paix, et ca m’évite d’allez au medecin, il tiendra bien 3 jours”, c’est NON :p)

[Semastien]

Commentaire très juste : on a pas dans cette discution insisté sur le rôle préventif de l’AS, peut-être aussi que c’est parce que ça déborde un peu le sujet initial 😉

Mais en effet comme cela était proposé dans les premiers commentaires, un article à ce sujet serait le bienvenu.

[margauxo]

je suis en dernière d’infirmière , et j’ai déjà etait AS à plusieurs reprises, j’ai donc déjà pas mal refléchi a la question du doliprane, et autre

Pour reprendre l’exemple du doliprane, je pense que comme le disait quelqu’un, l’important avant d’administrer quoi que ce soit, c’est toujours de chercher le pourquoi des choses, et dagir en fonction… Ca s’appel l’anamnèse, c’est indispensable a toute prise en charge par n’importe qui que se soit.
De plus il est clair que mis à part un médecin, personne ne peut “prescrire” un médicament. Meme une infirmière qui a fait plus de 3ans d’etude dans le domaine ne peut administrer du doliprane meme en miliei hospitalié.
Et oui, un simple doliprane, si pris à trop grande fréquence par exemple peut avoir de lourde conséquences sur la foie de la personne par exemple, on ne peut pas en donner plus que un toutes les 4 à 6h ……et connaissez vous l’antidote?(ce n’est bien sure qu’un simple exemple)

Je pense donc que dans le cadre d’un centre de vacances, le mieux c’est comme cela a ete dit, d’avoir quelques médicaments en reserve, et de passer un rapide coup de fil au Samu pour avoir confirmation qu’on peut bien donner le medoc, c’est rapide ca coute rien, mais sure et aussi rassurant pour le gamin qui se rend compte qu’on s’interesse à son cas..

Mais avant de parler traitement, je crois que notre grand role en centre de vacances reste la prévention, c’est à dire l’education à la santé : hydratation, creme solaire, lunettes de soleil au ski., repas equilibré,information sur la sexualité chez les ados …,
De plus je pense que nous recourons bien souvent très vite au médicaments, médecins…, mais qu’il existe une multitude d’actions que nous pouvons mettre en place avant: repos, petite sieste, eau sucrée, miel pour mal de gorge, pruneaux si constipation, comme on le ferait à la maison finalement, on peut tout a fait le dire au gamin ca pose pas de probleme,
car bien souvent le tout est que la demande de l’enfant soit entendue , prise en compte pour que la plainte diminue …..

[Import]

Oupps je croyais que c’était toi qui avait cité le RN PSE2, au temps pour moi…

Je reprends la fourchette et le couteau que j’avais préparés, ça pourra toujours resservir…

[Auteur]

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