Oui… J’ai choisi les photos avec deux idées : une réalisation où le matériau n’est pratiquement pas transformé (le chien) et une en essayant de s’écarter le plus possible de la forme originale (l’éléphant).
Bizarrement, pour un aspect final intéressant, il est est plus difficile de trouver des objets en gardant la forme de base du maïs soufflé que de le triturer pour arriver à des formes “pas possibles”.
J’ai mis ces exemples aussi pour donner envie… je me dis que d’ici quelques mois on verra apparaître plein d’idées avec ce produit.
Il colle bien avec l’animation type CLSH ou Claé, avec des projets types “environnements”, des temps calmes, des temps d’accueil, temps improvisés ou “libres”.
Ou même récup : c’est exactement la même chose que les grains dont on se sert pour protéger des objets. La couleur en moins.
Même si, comme le dise les “aboyeurs” que j’ai vus vendre le produit sur des foires, “on peut le manger”, vaut mieux ne pas le dire aux enfants : un parce qu’ils vont pas arrêter (déjà que ça sent le¨pop-corn, vaut mieux éviter un atelier à midi moins dix) mais je ne fais pas confiance à ces colorants, fussent-ils naturels comme écrit sur la boîte.
Il a aussi un avantage : les mater’ !
L’approche est immédiate et sans connaissance : un bout que l’on pose sur l’éponge humide, un autre bout et hop !
Sur un festival samedi, je savais que j’allais avoir des gosses de 14h30 à 20 h non-stop. Avec 10 à 15 gamins par groupe toute les demi-heure, avec parfois dix demandes de jouets différents à fabriquer en même temps (peluche, tracto-pelle, catamaran, vaisseau spatial, furbee…), une organisation béton, du matos à profusion : mousse, plastazote, mousse…
J’ai mis au sol la boîte de playmaîs et cela à réguler le flux : plutôt que de s’énerver à attendre, les enfants fabriquaient seuls. Créativité totale, même si j’avais disposé une vingtaine de modèles (vite transformés en montre : tête de chat sur corps de crocodile…)