Alalalala Moilapa, Que tu critiques bien mais que tu lis mal ! 😉 !
Si tu avais pris le temps de lire, d’essayer de comprendre quelqu’un d’autre que toi dans ce qu’il peut avoir de doutes, de recherche du “mieux faire” j’espère que tu ne serais pas aussi violent dans tes propos ; y’a pas intérêt à être dépressif ou peu sûr de soi quand tu intervient sinon c’est la corde et la poutre à coup sur ! 😀
Tellement “contre” tout ce qui est de poser par écrit de la théorie ou du cadre, tes yeux se voilent pour tourner en boucle la même rengaine. Pourtant, tu aurais pu déceler, rien qu’en lisant ce début de P.P que ce n’est pas “des idéaux et dessein humanistes” que j’y expose mais une réflexion sur le jeu, le plaisir, le loisirs de l’enfant et de comment on fait pour le faire au mieux… Mon objectif principal que ça soit pour moi ou les gosses c’est “jouer”. Tout comme toi à priori.
Petit à petit on s’éloigne de mon sujet et si je voulais essayer un peu de recentrer en fonction des différentes interventions, j’y noterais pour l’instant ceci :
– Y inscrire une réflexion plus poussée sur la place des jeux et jouets
– Y ajouter une partie “évaluation”
– Y clarifier la partie “présentation et objectifs généraux du projet” en y ajoutant le diagnostic initial qui amène à proposer ce projet
EN tout cas merci pour tes critiques, même si elles sont un peu vindicatives ( les rendant un peu inaudible), elles sont intéressantes et me poussent à réfléchir encore un peu plus ma place, la place de l’enfant dans mon métier.
En tout cas, elles sont loin du “troll” basique qui consiste à lancer une pique et/ou critique plus ou moins dans le sujet une fois puis ne plus revenir pour en discuter ( hein DIR_PTR ? Hein Makh ?) 🙂
Le seul fait que tu poses la question de
mettre en place ces “logiques” est déjà
un problème !!!
Comment peux-tu ne serait-ce que l’envisager ???
Comment peut-on prétendre comprendre
quelque chose à des enfants de 3 à 10 ans
et envisager de les obliger à partager leur
jouet !!! Quand on sait (devrait savoir) ce
que la possession peut vouloir dire pour
ces personnes, quand on sait ce que peut
être un jouet pour un enfant !!
Sans parler de ce que cela a de totalement
à l’Ouest vis à vis du but recherché !!!
Crois-tu que ce soit en “obligeant” que l’on
donnera à une personne le goût du partage ??????
le “goût de l’Autre” ???
Soit, par la contrainte, la force (puisqu’
adulte je suis plus fort que l’enfant) donner
le goût de l’Autre, du vivre parmi les autres !
Ca en devient délirant : et ce n’est pas propre
à toi : partout dans cette animation sociocul
j’entends pareils délires incensés, impensés,
Absurdité et incohérence : c’est ce à quoi accouchent
tous ces projets écrits, mis en place par et pour
des personnes incapables de lier des idées,
des concepts, et la réalité de la confrontation
aux enfants.
Débarrassez-vous de ces écrits inutiles et
commencez à penser votre rapport à ces
enfants, réellement. Et non “technocratiquement”.
Cessez prétendre à des idéaux et des desseins
“humanistes”, des grandes idées inaccessibles
parce qu’incontrôlables (et qui n’ont pas à l’être)
Repartez de choses saines : aller sur le
centre de loisirs, le claé avec l’idée de mettre
en place une situation et une organisation
qui permettent le jeu. Aller à l’animation avec
l’idée de jouer et de créer du jeu : c’est tout :
il n’y a rien d’autre.
Ce n’est qu’alors que vous pourrez commencer
à apercevoir ce que certaines de vos logiques
ont de totalement à l’Ouest vis à vis d’un
“vivre ensemble”, de l’entre-enfants et
sa fragilité quand des crétins prétendent,
d’une prise en compte
de l’enfant, de l’enfance. De vos formatages,
, des conditionnements qui font ce que vous
êtes et font votre rapport aux autres. Ici
à ces enfants-ennemis. Ces enfants à vaincre.
Commencez à remettre en cause cette
pensée collective de l’enfant, guerrière,
violente, où l’enfant n’est rien.
A remettre en cause votre façon de penser
l’enfance. Cette idée d’éducation là où
elle n’a rien à foutre. Ces logiques de
domination !
Ou alors cessez de prétendre : face à d’autres
idiots, vos belles idées écrites pourront
paraître censées : mais pas ici où vous
avez affaire à des gens qui savent ce qu’est
l’animation sociocul et la façon dont on
y violente jours après jours les enfants.
Là encore tu fais de mes questions des affirmations !
Tu sembles croire que proposer des solutions de résolutions conflits revient à jouer à dieu : Un peu de nuance ! A l’heure actuelle je n’ai rien contraint vis à vis de ça, je suis plus avec eux qu’au dessus d’eux comme tu te plait à le penser; et ce que j’expose ici sont des questionnements, non des convictions.
Néanmoins j’ai une expérience forcément plus grande du conflit qu’eux, en étant avec eux je “suis” aussi de tout mon être et je peux au même titre qu’eux proposer des solutions. Et si les choses vont trop loin alors j’abuse outrageusement de mon terrible pouvoir d’autorité ( oulala le vilain !)
L’organisation que je mets en place n’est pas celle qui me fait le moins chier, au contraire, elle est exigeante.
Agir en médiateur avec eux, ce n’est pas régler le problème, c’est y réfléchir ensemble ; proposer une vision qui m’est propre de solidarité, de partage, de parole, de pardon, de réflexion, pour vivre les conflits n’est pas rendre l’enfant docile. Il garde toute latitude pour ne pas y croire et faire l’inverse 2 minutes après.
Doit-on contraindre la personne qui a amené à partager ?
Toujours ces mêmes réflexes : l’adulte qui
supprime les “problèmes”, tout puissant,
qui tranche, qui permet à l’enfant à ne pas avoir à penser,
à faire l’expérience, à vivre les autres…
Que tu “contrains au partage” ou que tu
interdises les jouets : c’est la même chose :
l’enfant n’est rien, il n’est que celui qui subit,
et non celui qui “vit avec”, cherche par la
parole, le “vivre avec” des solutions…
Il n’y a ici aucun apprentissage (du vivre
avec les Autres, de l’Autre) : d’une certaine
façon c’est ce qu’est cette “éducation” :
quelque chose d’où l’apprentissage à disparu !
L’expérience (le vécu) sont remplacée par un “balisage
universel” : tu fais comme tous les autres
directeurs à qui des enfants sont livrés :
tu joues à dieu… Et tu mets en place une
organisation qui te fera le moins chier…
C’est l’antithèse de cette idée d’éducation,
de disparition de l’éducateur : l’éduquant
ici est partout, est tout, il est la parole
sacret qui répond à tout : c’est ce que sont
des projets écrits : des livres sacrets…
Recentre toi sur les enfants si vraiment
il ne s’agit pas là juste d’un snobisme :
quand tu règles
les problèmes, que tu balises jusqu’aux
rapports entre les êtres à leur place… qu’est
ce que tu cherches à obtenir ? Des êtres
dociles, obéissants au doigt et à l’œil à des
“forces supérieures” ?
Une organisation la plus facile à gérer,
où chaque chose est à sa place, définie ?
Où est la cohérence avec ce que tu semblais
projeter vis à vis de ce projet ? De la prise
en compte réelle de ces enfants ?
C’est de conflits que tu devrais nourrir ton
action, de ce “laisser vivre” des enfants,
à leur côté, et non “au dessus”… les laisser
faire l’expérience, chercher par eux-mêmes,
et non en faire des zombies qui attendent
la pensée prémâchée, divine…
Comme tu sembles loin de tes ambitions…
DIR-PTR a écrit :
Directeur d’un petit centre, tu ne mets pas en place d’animations ? Tu dois t’ennuyer.
Oh non ! T’inquiète pas pour moi, je développe le site web de l’asso, organise et anime les T.A.P, suis en animation sur les petites, grandes vacances, et tous les soirs au périsco. Alors, si le mercredi après midi je ne fais pas d’animation, c’est pas plus mal, ça me laisse un peu de temps pour d’autres choses qui me plaisent aussi 🙂
clownmechant a écrit :
… je sais ce que je ferais si j’étais à leur place. Mais je n’y suis pas et mon rôle, certes encore un peu flou pour moi, consiste à leur donner les billes nécessaires…
Directeur d’un petit centre, tu ne mets pas en place d’animations ? Tu dois t’ennuyer.
Je suis d’accord avec toi sur cette définition du conflit ! Je ne supprime d’ailleurs pas ce qui fait conflit. J’y réfléchis ! Je souhaite continuer à autoriser les jouets de la maison ; reste à définir notre positionnement face aux conflits qui en naissent ; Doit-on contraindre la personne qui a amené à partager ? Doit-on plutôt convaincre celle privé de ces jouets que d’autres choses peuvent être plus sympa, qu’on achète pas des amis avec des jouets ? Doit-on laisser faire et éviter seulement le meurtre ? 😉
Rien n’est vraiment budgétiser, petit centre, petit budget, néanmoins, si quelque chose vaut le coup on y mettra les ronds nécessaires !
Ce serait en effet super de mettre en place des ateliers de constructions de jeux et jouets. De mon coté j’ai pas mal d’idée ( mini golf avec des billes, maquette d’avion fonctionnelle, création de vêtements pour poupée et barbie avec défilé de mode filmé en stop motion, … ! ), je sais ce que je ferais si j’étais à leur place. Mais je n’y suis pas et mon rôle, certes encore un peu flou pour moi, consiste à leur donner les billes nécessaires pour ne pas re-re-faire un papa noël avec de la pâte à sel, des perles et une barbe en crépon … Pour tout te dire : pas gagné ! Rassures-toi, je sais qu’un P.P ne fourni pas l’étincelle. Mais c’est un support dont on peut faire quelque chose de bien je pense ; loin d’un florilège d’intentions sans lendemain …
Et donc, pour éviter les “conflits”, on
supprime ce qui fait les conflits ?
Belle philosophie…
On est là dans le total opposé à ce que pourrait
être l’éducation, la pédagogie, le sens
que l’on pourrait donner à ses actions
si l’on prétendait à ces bien grands mots…
Ici, le conflit, c’est la vie : l’apprentissage
de l’Autre, du partage, du vivre ensemble, etc…
toutes idées que l’on va retrouver sur
les merdes nommées “projet moncul”
mais pas dans la réalité de ces vivres ensemble…
Sinon : t’as un budget ? Plutôt que d’acheter
du papier crépon et autres conneries, n’est
ce pas l’occasion de faire quelque chose qui
a du sens ? De voir avec les enfants quels
jouets pourraient trouver leur place ici ?
Et de mettre en place des ateliers de construction
de jouets, manière de donner encore un peu
de sens à ce que l’on fait, plutôt que d’enchaîner
les ateliers pâtes à sel et autres merdes
sans intérêt ?
@ Moilapa :
En effet, la question du jouets n’est pas abordée et devrait l’être. En fait, les enfants amènent déjà des jouets de chez eux, surtout les filles ; des monster high. Je n’ai ni autorisé, ni interdit ; j’y réfléchis et n’est pas encore tranché la question :
D’un coté, il est arrivé quelques frictions vis à vis de ça, surtout, certaines filles n’ont pas le droit d’amener les leurs ( ordre de maman) et participer avec les autres est donc conditionné par la bonne volonté de celle qui a amené un sac de poupée … provoquant injustice, conflits, etc. ça c’est pour le coté “pas cool”.
De l’autre, c’est – enfin ! – l’occasion de pouvoir se servir des jouets qu’on a chez soi avec les autres ; le pied/le rêve !
Pour l’intérêt d’écrire un projet, déjà, c’est une obligation réglementaire donc bon … pas trop le choix. Ensuite, personnellement, j’aime bien avoir une réflexion posée et écrite, accepté de tous, pour évoluer dedans et pouvoir s’y référer par moment.
Donc selon toi, l’intention d’investir les animateurs dans une vision de l’enfance est utopique face à la réalité de l’animation sociocul ? 🙂
@Makh
Je suis toujours tout ouïe quant à ce que tu entends par “enfermer les animateurs” … 🙂
Bon, je ne perdrais pas mon temps sur
l’intérêt d’écrire un projet, quel qu’il soit.
Ou du comment passer de l’intention
d’investir des animateurs dans une vision
de l’enfance à la réalité de l’animation
sociocul…
Par contre, puisque tu as la possibilité d’action,
je rajouterais juste à ta réflexion l’absence
de la question des jouets : comment peut-on
penser un temps de loisirs de l’enfant sans
parler de jouets ?
Sur l’un des lieux où j’ai bossé (claé glissant
centre de loisirs le mercredi après-midi) les
enfants pouvaient amener leurs jouets :
l’après-midi, ils se retrouvaient donc dans
la cour à jouer ici au poney club, ailleurs
à la guerre, etc…
un GO c’est un Gentil Organisateur 🙂 l’animateur du club med (bip bip, ouaiiiis)
@makh
Premièrement, je ne sais pas ce que c’est un “GO”…
Par contre ;
Ce que tu dis m’intéresse beaucoup ! Que veux-tu dire par là ? As-tu quelques suggestions à me faire ? (<<– ma question que je considère la plus importante pour comprendre et avancer)
Pourquoi penses-tu que je les enferme ? Est-ce dans une lecture globale ou des points particuliers ?
Pour te dire, le discours que je tiens avec elles en règle général c'est :
Regardez au fond de vous même et trouvez ce sur quoi vous allez prendre votre pied. Et prenez votre pied avec les gamins !
Et ce que je voudrais leur dire hélas trop souvent :
"Sortez vous les doigts du cul bordel et soyez force de propositions au lieu de passer les temps libres sur un banc à cracher votre venin sur tel et tel connard !"
C'est peut être pour ça aussi que j'ai choisis de les prendre à contre pied par un projet pédagogique qui mette l'animateur en situation "d'inconfort" ; peut être avec l'idée sous-jacente de vouloir qu'elles cherchent le meilleur d'elle même. ça ne veut pas dire "être parfait". ça veut dire "chercher à donner le meilleur de soi".
En tout cas, si toi tu y vois ça, alors peut être elles le ressentent, sans me l'exprimer. c'est pourquoi ça m'intéresserai que tu développe un peu ce que tu veux dire… 🙂
J’ai lu ton projet, autant j’apprécie la place que tu souhaites laisser aux enfants autant je suis dubitatif sur celles que tu donnes aux animateurs. Ce qui ressort d’une première lecture c’est que les adultes ont une position de GO du club med, souriants, bienveillants, débordants d’idées, exemplaires, bref j’y vois plus une caricature d’animateur qu’autre chose.
Si tu veux libérer les enfants, commence déjà par libérer les adultes. M2c.
@tirlibili :
Pour le constat, en effet, il est marqué en début de rubrique “journée type” mais très peu lisible. Je pense que suivant tes remarques, pour plus de clarté, je vais l’intégrer en début de document dans la rubrique “description du projet et objectifs principaux”.
Pour les objectifs éducatifs/péda, ils y sont !!! Mais c’est vrai qu’ils ne sont pas écrit de manière très conventionnelle et que le gras/tiret n’amène pas beaucoup de clarté. Je vais retravailler ça ( surtout la partie clarté, la partie convention, je m’en tape 😀 – enfin, je ferais peut être une page “bis” à destination J&S et élus )
Il faudrait réfléchir à comment on le remet en question, comment on évalue et c’est vrai que pour l’instant il n’y a aucun critère de noté, aucune méthode ; Je m’y colle …
@matim
J’ai déjà commencé avec elles !!! c’est vrai que j’avais oublié de le dire. Mais en effet, une première réunion a permis de définir en commun quelques objectifs et la manière de les traduire concrètement.
Déjà merci pour ces retours
clownmechant a écrit :
j’essaie de bien faire les choses en rédigeant un projet pédagogique qui serve réellement aux deux animatrices que j’ai avec moi pour l’animation des mercredis.
Cet objectif et à saluer. Les animatrices sont les destinataires privilégiées de ce PP et ça c’est plutôt un bon point .
Alors justement ! si c’est ton but, pourquoi ne pas élaborer ce document AVEC ces 2 animatrices pour que ce projet soit réellement celui de l’équipe et pas simplement celui du directeur ??
Dans le but de partager un document qui va vous servir sur le terrain, je ne pense pas -contrairement à tirlibibi- qu’il faille passer par des déclinaisons d’objectifs. Ceci risquera de le rendre plus indigeste et le lien projet/terrain sera plus difficile à décrypter.
Tel qu’il est, ce document me parle. Il ne rentre certes pas dans les “standards” des projets pédagogique habituels attendus par les élus, mais encore une fois si ton but est un partage de fonctionnement et une réflexion sur la place de l’enfant alors c’est plutôt un bon document pour entamer une discussion avec ces animatrices.
A partir de cette discussion tu pourras l’affiner et ce sera encore plus facile pour ton équipe de l’intégrer pleinement.
En tout cas merci de l’avoir partagé.
**
Une journée type est un exemple, rien ne l’en empêche de modifier certain point (par journée type j’entends des choses difficilement modifiable comme les heures d’accueil, repas, gouter)
bien sur qu’ils sont bidon ces objectifs, c’est pourquoi je les ai mis. les objectifs dépendent de son projet, ses envies, les enfants…
(et moi aussi j’ai pu ouvrir le doc dès le début)
et s’il a pas envie de journées type…
et s’il a pas envie de coller des objectifs bidons par tes exemples, là, le sont vraiment bidons, du type bla-bla habituel
(j’ai pu l’ouvrir dès le début, le doc perso)
bonjour,
Je viens de survoler ton PP, voici mes quelques remarques :
Il manque le constat (le pourquoi tu proposes le “a la carte”)
tu peux décrire un peu les locaux et alentour avant les objectifs
j’ai du mal à distingué tes objectifs. Car il y a des phrases en gras, des points, des tirets…
Pour faire simple fait :
voici les objectifs du Projet Éducatif (exemple bidon, favoriser le développement de l’enfant), de ces objectifs je veux …. (exemple bidon : Développer la motricité corporel)
ensuite tu peux développer comment tu compte y arriver (exemple bidon, mettre en place des atelier gymnastique…).
(N’hésite pas à marquer objectif éducatif :
puis objectif pédagogique 🙂
Voir mettre des critère d’évaluation
N’hésite pas à faire un plan (avec sommaire). Par exemple
1) description (locaux, environnement…)
2) objectifs (éducatif et péda
3) moyens et critère (tableau de souhait…)
4) journée type/fonctionnement
5) role de l’animateur
6) role du directeur
…
Voila mon petit avis rapide
Etrange, je l’ai testé sur d’autres ordinateurs sans être connecté à mon compte et ça marchait …
enfin, je les copié/collé dans un “google doc” la mise en page est très moyenne mais l’essentiel est là
https://docs.google.com/document/d/1hdUwpDi-WPjt2ZKh_DZeJBF8HdGMNC2Z5d11WaxNkqg/pub
Bonjour,
Ton lien pour lire ton p.p ne marche pas. Donc je ne peux pas échanger avec toi…