Moi aussi j’ai connu cette technique lors de l’appro BAFA: on avait trois formateurs, et chacun lors d’un même créneau encadrait un thème, une actiité… On choisissait, avec certaines contraintes cependant (tels thèmes étaient obligatoires, tels autres optionnels). Ca permettait d’être avec les formateurs qu’on préférait, avec qui le courant passait mieux, mais aussi de zapper certains thèmes qui ne nous intéressaient pas (à condition qu’ils ne soient pas obligatoires). En revanche, certaines parties étaient en grand groupe, donc on n’avait pas le choix.
Il y avait aussi un ou deux créneaux horaires où on a pu en début de séjour proposer ce qu’on voulait voir, et les formateurs les ont mis en place.
J’ai beaucoup aimé avoir le choix des modules, le choix des formateurs aussi…
jongloman a écrit:
Je n’ai pas d’avis à donner sur la méthode, seulement ce témoignage, car je n’ai jamais été formateur BAFD. …
Je crois au contraire que tu as un avis à donner car c’est toi, entre autres, qui a vécu cette formation. Qu’en as-tu retiré ? Etait-ce ce que tu étais venu chercher ?
Encore une fois, non les organismes ne se valent pas. Si l’équipe qui met en place la formation à une (grande) importance, l’ossature de celle-ci est bien constituée par le projet de l’organisme et donc les méthodes qu’il privilégie.
On ne trouvera pas la même formation aux Francas et à l’UFCV. Et c’est heureux ! A chacun de choisir en connaissance de cause.
Lorsque j’ai passé mon perf BAFD s’était pareil. On construisait la grille de stage au jour le jour.
La journée était découpée en créneaux horaires fixe. Ex de 9h30 à 10h30, de 10h30 à 12h30. Et on avait la liste des impondérables à placer durant la semaine fixés pas J&S.
Et donc chaque matin on construisait la journée en fonction de ce que nous avions envie de voir et d’aborder.
C’était à nous de choisir sur quel créneaux horaire fixer tel chose en sachant que certains créneaux étaient plus longs que d’autres.
La majorité du temps il y avait plusieurs “modules” en même temps et on pouvait donc choisir celui auquel on voulait participer : ex : écriture du bilan, exercice de gestion directe.
Je n’ai pas d’avis à donner sur la méthode, seulement ce témoignage, car je n’ai jamais été formateur BAFD.
Je sais que certains stagiaires ont été complétement perdus. Moi je m’y suis bien retrouvé et ait bien aprécié cette formation qui a d’ailleurs était très enrichissante.
En règle générale ce que je n’aime pas dans les fonctionnements traditionnels de formation c’est l’aspect “infantilisant”. Cette méthode a au moins l’intérêt de sensibiliser, responsabiliser, impliquer, rendre autonome, …
En parlant de planning…
J’ai entendu parler, en discutant avec des collègues formateurs d’une démaarche de stage bien particulière… et en ce qui concerne notre équipe, malheureusement tombée dans l’oubli. Cette ancienne démarche est malgré tout novatrice, car elle permet à chaque stagiaire de construire son stage, en faisant des choix individuels de temps de travail et en les proposant aux formateurs, lesquels s’engageant à les mettre en place. Tout cela en respectant les exigeances de ddjs et de l’équipe de formateurs. D’où probablement une grande partie de temps de travail imposés, mais dont l’organisation dans le planning n’est pas fixée.
hélas les paroles s’envolent, il n’y a plus d’écrits, et le directeur porteur de cette démarche à disparu depuis des années… Peut être avez vous entendu parler de ce sage nommé Bernard Ibanez ?
Tout cela me parait fort intéressant, et fort compliqué, d’où ma question : avez vous ouî de tels projets ? comment s’organise le travail de l’équipe de formateurs ? quels sont les risques de cette démarche, qui parait tellement séduisante ? qu’en pensez vous ?
Oye Frytjip ton message est bien sur intéressant. Je suis d’accord avec certains points, plus nuancés sur d’autres en désacord sur d’autres encore.
Je vais essayer de te répondre.
Sur la pyramide de Maslow: J’ai fait comme Monsieur Jourdain, j’ai utilisé la pyramide sans le savoir. M’étant rendu compte que les besoins par groupe d’âge faisaient poly emplois, j’ai préféré classifier par “catégories” : besoins physiques, découvertes, relationnel, affectifs, vitaux etc. un inspecteur de la JS à qui j’expliquait celà m’ répondu: ” Vous utilisez la pyramide de Maslow ? Je lui ait répondu ” c’est quoi ça!
Ceci dit, ces besoins associés aux compétences à acquérir par les enfants qui grandissent aident les anims à voir l’intérêt de telle ou telle activité ou organisation.
Par contre d’accord avec toi sur l’aspect relation et interdépendance des individus telle que le décris. C’est un point important à développer en stage. Mais justement cela peut se faire à l’occasion de projet d’activité où les stagiaires doivent travailler ensemble. Ceci est un point où nous insistons dans la préparation, la réalisation et l’évaluation des PA.
Enfin il ya bien lontemps que je n’ai plus de planning zn début de stage, (à part quelques exeptions, par exemple si j’ ai un intervenant, ou l’évaluation de mi stage).Cela a été dur à faire admettre à la JS mais j’y suis arrivé.
Quant à la validation “à tour de bras” que tu évoques, et bien l’expérience m’a appris à me méfier de la théorie. J’ai vu des attitudes et des comportements différents entre la formation générale et la pratique. Cela dans les 2 sens.
J’ai été assez long,salut et A+
C’est bien dans ce contexte que l’animateur doit travailler. Il doit se baser sur des problématiques réelles, vérifiées et non supposées ou fictives. Le principe de réalité me semble de la plus haute importance. Ainsi, oui on doit perpétuellement se remettre en question et non pas rester sur des méthodes de travail parce qu’elles ont fait soi disant leurs preuves alors qu’elles sont bien souvent obsolètes et terriblement à côté de la plaque.
J’avoue que j’aime bien tout le questionnement que tu développe frytjip, tu as raison il faut se remettre en question ! innover ! ne jamais proposer deux fois le même stage, se donner des challenges.
se poser des questions. même si tes réponses me semblent bien amères.
A nous directeurs, formateurs, de changer la donne, de sortir des sentiers battus et inciter les jeunes animateurs à le faire.
Le message que je passe souvent quand on parle d’autorité, de vie quot, de projets d’animation, c’est qu’il n’y a pas UNE réponse. on est d’accord. Toute la subtilité est de pouvoir s’adapter à un contexte, une problèmatique, qui change souvent, même au sein d’un même groupe d’age.
Mais tant qui ya d’la vie…
Manu
Yop,
Il est arrivé u’un jour on m’a demandé l’avis sur la pyramide des besoins de maslow.
Et j’avais alors évoqué le début d’une thèse selon laquelle cette pyramide n’avait pas de caractère universel. Thèse que je défendais selon l’idée que cette pyramide avait été concue en 1943 par Maslow donc, psychologue américain à la suite d’une étude sur le comportement humain…dans la société américaine. Avec l’aide de quelques personnes, on avait alors retourné cette pyramide des besoins présentée comme une vérité absolue en la posant sous l’angle des facteurs temps et culture. Le résultat a été qu’on a pu modifier, transformé l’ordre établi de la pyramide, jusqu’à la représenter pour notre société occidentale d’aujourd’hui sous forme de cercles concentriques en placant en premier le besoin de sécurité (argumenté par le fait que la sécurité est la première préocupation politique et civile).
Ainsi, de même, il est tout à fait louable de présenter des théories parfois vieilles depuis plusieurs décennies à des stagiaires. Mais quel crédit donne t-on à ces théories pour la plupart construites sur des analyses de la population dite occidentale?
Ainsi, la vérité sui se veut inébranlable sur les besoins hiérarchisés par âge, est-elle pertinente? A une époque où l’entité individuelle se renforce, où l’affirmation de soi se fait de plus en plus pressante, comment fait-on pour déterminer des critères collectifs?
Aujourd’hui, ce qui me semble le plus important pour un animateur, c’est de pouvoir maintenir le lien social. Loin du terme qui semble plus qu’usité à perte, il s’agit bien d’affirmer qu’il est nécessaire de faire perdurer les relations interpersonelles, et de démontrer l’interdépendance des individus… Car il s’agit pour l’animateur de faire vivre des personnes au sein d’un groupe. Comment faire vivre les contraintes collectives à chaque individu.
Et ainsi, en quoi le projet peut-il répondre à la propblématique de la relation des uns aux autres. En effet, construire un projet nécessite l’apport de compétences, donc l’association de plusieurs personnes qui peuvent se projeter dans le temps.
Voici des questions qui devraient être traitées prioritairement en stage Bafa.
Comment les traiter? Avec les méthodes qu’on défend en centre de vacances…
La plannification d’un stage est-elle absolue? On fait des colos, des séjours sans planning…
Les temps théoriques sont-ils vraiment d’une grande utilité? Besoins, Autorité, Ados, souvent des apports qui affirment apporter des solutions universelles alors que chaque cas particulier a sa solution et son explication propre…
Le temps des projets? Un temps sacrifié où le stagiaire n’est même pas en position de se questionner sur ses choix ou de repérer des besoins susceptibles de devoir être traités en urgence.
Les temps de GAF, accompagnement à la formation, ne seraient-ils pas plus démagogiques qu’autre chose? Des autoévaluations soumises à la critique collective, jugées sur pièce et finalement normées.
Pourquoi on fait des colos? Quel intérêt? Que peut-on y faire? Quelle est la place de l’enfant dans son séjour?
Questions sans réponses?
D’après mon observation, il me semble que beaucoup d’animateurs ne se posent même pas la question de l’utilité de leur métier.
Entre projets éducatifs tels des ornements platoniques ou de sprojets pédagogiques tous semblables les uns que les autres, nous assistons à une pléthore d’animateurs incompétents, qui ne vivent que sur l’instant et le tout de suite tombant dans le piège cruel de la consommation.
Il est évident qu’on ne saurait leur reprocher ces lacences, il faut alors se retourner vers les organismes qui valident à tour de bras, ralentissant à peine le rythme sur des cas jugés dangereux, et alors même, ils seront validés sans regrets et sans remords.
Association de personnels immatures et de décisionnaires égocentriques qui ne voient pas plus loin que la propre échéance électorale…ou subvention telle l’épée de Damoclès, donne fatalement des séjours où tout n’est que vide, plaisir gâché. Je m’en suis convaincu pas plus tard que cet été où j’ai pu en parler avec les premiers concernés : les enfants.
Ciao.
P.S. L’ébauche de thèse sur la pyramide de Maslow est évidemment disponible pour ceux que ca intéresse. Signalez-le donc par MP.
P.S. 2 Troploin, si cela ne prête pas à l’échange, il ne reste alors plus grand espoir. Symptôme d’une société malade de ses égoïsmes multipliés.
enadiras a écrit:
j’ai vécu ça aussi.. car les stagiaires ont une facheuse tendance à nous prendre comme des modèles. afin de combattre l’image du formateur-savant…..
Il y a aussi beaucoup de formateurs qui se présentent ainsi, parfois sans même s’en rendre compte.
Il y a aussi des formateurs, moins fréquents, qui étalent leur science infuse et leur culture.
“”les chants retenus par les stagiaires étaient ceux des formateurs. Et ceux menés par les stagiaires eux mêmes, partent aux oubliettes… “”
j’ai vécu ça aussi.. car les stagiaires ont une facheuse tendance à nous prendre comme des modèles. afin de combattre l’image du formateur-savant, je pense qu’il est important de demander aux stagiaires de mener des chants, jeux, etc, et de leur demander d’afficher des fiches récapitulatives dans la grande salle pour que ça profite à tout le monde.
Le grand jeu inaugural je le fais aussi, et quand on fait l’analyse aprés coup avec les stagiaires, on souligne aussi les points à améliorer (certaines erreurs de notre part sont volontaires, et bien visibles) ça leur permet de voir une animation, et de noter que la perfection n’est pas exigée. Ceci dit on soigne les regles, l’imaginaire et la conclusion, on ne met pas les gens en danger.
évidement, les stagiaires reprennent souvent nos idées. dernierement on a fait une véillée voyage dans le temps, et la seule véillée qu’ils nous ont fait était… un voyage dans le temps.
sur un autre stage on les a fait rentrer dans la foret magique, et a chaque grand jeu on nous faisait rentrer dans la cascade magique, ou la grotte magique… même le cerceau magique…
on n’y peut rien… ils ont parfois besoin de recopier.
En voulant contribuer à ce débat j’ai créé un nouveau dossier, par erreur.
il n’en demeure pas moins intéressant : voir donc le dossier “autorité”.
Manu
Bien sûr, mais il faut veiller, il me semble, à ne pas oublier la “technique pure”, qu’on a tendance à bien maîtriser quand on est formateur. Par exemple, l’explication d’une règle de jeu relève de certaines difficultés (être clair, vu, entendu, compris, suffisant, etc.) que les stagiaires doivent apprendre à surmonter.
A mon avis, ici intervient la différentiation entre les stagiaires.Il est évident qu’avec des jeunes stagiaires, par exemple des lycéens ou autres, les techniques que tu expliques sont très importantes.
Par contre, chez nous nous recevons de plus en plus de stagiaires qui travaillent déjà, avec des enfants, pour des CCAS, OMS ou des associations para municipales. Cela sans aucune formation théorique.J’ai constaté que, très souvent ces stagiaires pratiquent l’activité pour l’activité, et souvent les mêmes. Par contre ils maîtrisent correctement les problèmes que tu évoques.
D’où nécessité de travailler davantage sur les objectifs de l’activité, les variantes adaptés aux diférents enfants ( âges, handicaps, cultures etc.)
Je trouve également ce post très intéressant…
Pour ce qui est de la connaissance de l’enfant, je raconte une hisoire aux stagiaires: Léa 4 ans, Paul 8 ans ou Julie 13 ans… Je raconte la journée de chacun avec quelques anecdotes et par groupe, les stagiaires me font un récatulatif,chaque groupe prend un enfant et fait une affiche avec les caractéristiques de l’âge, les besoins… puis l’explique à tout le monde. On peut ensuite lancer le débat…
Sinon, j’aimerais connaître votre façon de faire…. J’ai pus remarquer que lors des FG notemment , les chants retenus par les stagiaires étaient ceux des formateurs. Et ceux menés par les stagiaires eux mêmes, partent aux oubliettes… Je trouve donc ça de moins en moins utiles de leur demander en menée… Et par contre je m’attache à leur donner un stock de chants et à leur faire un grand jeu le premier jour (comme ça ils savent ce qu’on leur demande). Ce premier grand jeu est l’ouverture du stage et il va par exemple permettre la découverte des lieux, la formation de groupes pour les tâches quotidienne, la découverte de l’organisme….
Bonjour,
Au sujet de la méthode “des étiquettes” en connaissance de l’enfant, proposée par animfolle :
animfolle a écrit:
(…) les formateurs apportent des compléments, expliquent, répondent aux questions ou donnent des exemples (…)
Bien sûr, mais il me semble que l’avantage majeur de cette méthode réside dans l’argumentation, et dans les actions qui vont en découler, comme Lau a pu l’évoquer.
Par exemple, par rapport à l’étiquette “ma chambre est mon repère”, il me semble qu’il n’y a pas de réponse unique. Elle peut concerner les plus jeunes (sentiment de sécurité, personalisation…) comme les plus grands (différenciation, intimité…). Il est interressant de demander aux stagiaires ce qu’il peuvent donc mettre en place (dire en amont aux enfants qu’ils peuvent apporter des affiches ou des photos pour leur chambre, faire une activité déco spécifique, mettre les noms sur les placards à vêtements ou chaussures, etc.).
Au sujet de la préparation du projet d’activité (cf XXYYZZ), ou de la pédagogie de l’activité (cf troploin) :
XXYYZZ a écrit:
Je pense qu’il faut aussi insister sur les menées d’activités en essayant d’innover ,de trouver des variantes( en fonction des enfants ) et aussi de faire comprendre aux stagiaires l’intêret de ces activités
Bien sûr, mais il faut veiller, il me semble, à ne pas oublier la “technique pure”, qu’on a tendance à bien maîtriser quand on est formateur. Par exemple, l’explication d’une règle de jeu relève de certaines difficultés (être clair, vu, entendu, compris, suffisant, etc.) que les stagiaires doivent apprendre à surmonter.
je relance le sujet car il est très enrichissant…
Concernant les PA: je parle plutôt de péda de l’activité avec le type de menée, , et je vois concrètement le PA et la rédaction, l’évaluation en appro.
Mais je suis vraiment content de voir que l’on peut échanger.
Mais si tu vois le PA jusqu’à quel point? Est ce que tu me détailler cela un peu.
Merci d’avance
Bon courage à tous
Excuse-moi troploin, mais il y a eu des bogs avec internet.La Réunion est loin, ou alors j’ai fait de fausses manoeuvres..
Je voulais simplement dire qu’en FG bafa, on insiste davantage sur les PA en faisant valoir l’effet “poupée gigogne des Projets éducatifs, pédagogiques et d’activités.
Comme tu le dis, tres souvent, en stage pratique les anims sont déçus de la façon dont on leur présente le PP et surtout sur sa réalisation.
Je pense qu’il faut aussi insister sur les menées d’ac tivités en essayant d’innover ,de trouver des variantes( en fonction des enfants ) et aussi de faire comprendre aux stagiaires l’intêret de ces activités.Ensuite il y a tous les points obligatoires de la DDJS.
8jours cela veut dire une formation plus large que profonde, en formation GENERALE;
Nous demandons à tous les stagiaires de préparer, réaliser, puis évaluer un projet d’activité
Personnellement, je ne sais pas ce que c’est qu’un projet d’activité et je ne sais pas comment cela s’évalue dans une démarche de travail éducatif avec les enfants qui suppose d’être dans une relation de vie commune et non dans une bureaucratisation et rationnalisation de l’action des anims et enfants. Je n’évalue pas si mon activité peinture a marché parce que mon objectif n’est justement pas que “ça marche” que “ça fonctionne” car nous n’avons pas à être rentable ou performants, nous avons à prendre du plaisir conjointement, cela peut être le critère d’évaluation mais il résiste beaucoup à rentrer dans une grille!
Je n’ai pas de grille de stage à proposer car je ne suis pas formateur BAFA ou tout du moins pas dans sa partie pseudo-théorique mais je suis simplement directeur de séjour. Je ne veux d’ailleurs pas que les anims apprennent à faire un projet pédagogique c’est tellement sclérosé. Ce qui est plus difficile en revanche c’est de réussir à penser l’éducation populaire, penser ce qu’est la culture (puisqu’on prétend en favoriser l’accès), penser ce qu’est en terme philosophique et politique l’autonomie ou l’autorisation.
troploin a écrit:
. Et oui se postionner face un PP, mais tu vois déjà des BAFD avoir du mal à monter un PP rélisable sur trois semaines de colo.
Aussi, je pense qu’on doit permettre au stagiaire de réfléchir de lui montrer les avantages et les inconvénients de chacun de ses choix afin qu’il entame une réflexion plus globale et qu’il soit autonomeAussi, tu parles de veillée. Et les cluedos, les veillées jeux de table, les rallye son et lumière, les fureurs, les jeux de rôle, les casinos, les thèques, les chasse au trésors, les découverte du milieu, les jeux de piste et oui j’ai beaucoup de stagiaire qui ont vécu des colos et ils n’ont JAMAIS vécu cela, les veillées libres, les veillées jeu de sociéte, ping pong super mais voitr un anim déguisé, un décors et tout le tintouin JAMAIS, je trouve cela triste quand on part comme moi du principe qu’un enfant se construit par le jeu.
Je suis d’accord avec toi troploin, mais permet moi d’apporter quelques précisions.
Une FG BAFA dure 8 jours.
Chez nous chaque stagiaire conçoit, prépare, réalise puis évalue un projet d’activité. Au travers de cela les formateurs aident le stagiaire à réfléchir sur les avantages et les inconvénients de ses choix. Mais le problème est que ces PA doivent découler d’un Projet péda
troploin a écrit:
Et oui se postionner face un PP, mais tu vois déjà des BAFD avoir du mal à monter un PP rélisable sur trois semaines de colo.
Aussi, je pense qu’on doit permettre au stagiaire de réfléchir de lui montrer les avantages et les inconvénients de chacun de ses choix afin qu’il entame une réflexion plus globale et qu’il soit autonomeAussi, tu parles de veillée. Et les cluedos, les veillées jeux de table, les rallye son et lumière, les fureurs, les jeux de rôle, les casinos, les thèques, les chasse au trésors, les découverte du milieu, les jeux de piste et oui j’ai beaucoup de stagiaire qui ont vécu des colos et ils n’ont JAMAIS vécu cela, les veillées libres, les veillées jeu de sociéte, ping pong super mais voitr un anim déguisé, un décors et tout le tintouin JAMAIS, je trouve cela triste quand on part comme moi du principe qu’un enfant se construit par le jeu.
Je suis, d’accord avec toi troploin, et j’ ajoute quelques précisions .
Une FG BAFA dure 8 jours. Nous demandons à tous les stagiaires de préparer, réaliser, puis évaluer un projet d’activité. Dans cette préparation et cette évaluation le stagiaire doit mesurer les avantages et les inconvénients de ses choix. L’rencadrement est la pour les y aider.
Malheureusement on ne peut aborder le PP que de façon générale, en insista