Oui Vassrohm, moi aussi je serais très intéressé de voir comment tu procèdes concrètement.
Salut,
tu aimes contredire, et oui tout le monde n’est pas d’accord avec toi. La théorisation de tout, le formateur qui parle, mais il y en a marre. On a l’air d’accord sur le fait de laisser le stagiaire se positionner, de réfléchir, mais il lui faut des outils et à part critiquer tu proposes concrètement quoi ?
Ton planning en FG, il ressemble à quoi, comment tu expliques le rôle de formateur, comment tu veux que tes collègues se positionnent,
Tu parles d’autorité, mais c’est se mettre au service des autres, partgager et recadrer. Tu ne lis pas les post en entier,, tu prends des morceaux. Autorité de compétence !!! technique et relationnel et comment ne pas réfléchir au travail d’équipe, la plupart des stagires sont à l’école et s’écouter, entendre se que l’autre et se remettre en question. Il est trop facile de destructurer quelqu’un en terme de valeur, de conceptio mais on lui donne quoi derrière, on ne peut pas laisser le stagiaire partir comme cela. Et oui se postionner face un PP, mais tu vois déjà des BAFD avoir du mal à monter un PP rélisable sur trois semaines de colo.
Aussi, je pense qu’on doit permettre au stagiaire de réfléchir de lui montrer les avantages et les inconvénients de chacun de ses choix afin qu’il entame une réflexion plus globale et qu’il soit autonome
Aussi, tu parles de veillée. Et les cluedos, les veillées jeux de table, les rallye son et lumière, les fureurs, les jeux de rôle, les casinos, les thèques, les chasse au trésors, les découverte du milieu, les jeux de piste et oui j’ai beaucoup de stagiaire qui ont vécu des colos et ils n’ont JAMAIS vécu cela, les veillées libres, les veillées jeu de sociéte, ping pong super mais voitr un anim déguisé, un décors et tout le tintouin JAMAIS, je trouve cela triste quand on part comme moi du principe qu’un enfant se construit par le jeu.
Ton post m’a un peu remonté, mais j’aime cela. Si tu pouvais me montrer une idée de grille de stage que tu pratiques, je suis vraiment interressé
Vassrohm, tes ambitions sont tout à fait honorables mais comment faire pour aborder tous les éléments théoriques dont tu parles en une semaine (sachant qu’il ya a aussi tout le reste) ? 😕
Il me semble que, si l’on veut amener les stagiaires à faire des choix critiques, il faut faire une étude approfondie des différents courants pédagogiques, il faut aussi étudier de façon précise les différents types d’organisations que l’on peut trouver en ACM…
Tout cela ne peut pas se faire en si peu de temps ? Alors comment faire concrètement ? 😕
vassrhoom fonce dans le tas, j’adore! 🙂
mais on parle d’animateur,
J’adore cette expression qui sous entend que puisqu’on parle d’animation et d’animateurs on puisse rester au niveau de la crétinisation.
ils ont besoin de savoir commet cela se passe sur terrain: le travail d’équipe, la gestion de son trvail, de sa fatigue, comment monté des veillées d’enfer efficacement …
Tout ça c’est du pipi de chat et ce n’est pas cela qui t’aide à te positionner vis à vis d’un projet pédagogique, qui t’aide à avoir de grandes idées directrices qui mènent ton travail. C’est à cause de cela que les anims se retrouvent dans des fonctionnements qui vont à l’encontre de leur véritable positionnement. Il manque beaucoup trop d’armes théoriques et du coup on se laisse embarquer dans des projets à la noix. D’ailleurs, tous les projets ne sont bien souvent que du vent, de l’esthétique réglementaire où jamais le directeur et les animateurs ne se sont posés la question de leur implication et de leur orientations théoriques communes. Ce qui est commun à tous c’est de rendre l’enfant acteur ce qui est surement la vulgate la plus répandue dans l’animation alors que des milliers de mômes suivant chaque année les programmes bien concotés par les supers animateurs.
D’ailleurs, une veillée d’enfer, je ne sais pas ce que c’est à part que ça doit se résumer à faire beaucoup de bruit, beaucoup de musique et à une soirée de TF1 ou Intervilles!
Comment je fais pour avoir de l’autorité avec des enfants ?
Peut être que c’est une question à laquelle il ne faut pas répondre et plutôt l’inverser en “dois je avoir de l’autorité sur les enfants?” A quoi cela sert-il? Quel rapport j’institue avec les enfants quand je me place dans la perspective d’avoir de l’autorité? Et puis quelle autorité? Celles des compétences techniques, savoir faire ou celle des braillards et des démagos?
Et j’ai commencé à travailler les règles de vie: comment on les pose, comment on les explique ..
Les règles de vie, je l’ai fait pendant longtemps et j’ai aujourd’hui arrêté. faire une jolie liste où on écrit qu’on n’a pas le droit de se taper, de crier, de pisser dans le lit des autres, … mais aussi les droits de jouer, cahnter,… les gamins le font chaque année et s’en contrefichent…
Ce qui importe c’est la vie commune dans l’ici et maintenant, la libération de la parole, la mise en place des conseils d’enfants et réunion de groupe où se gèrent ces questions …
Bonjour,
je suis d’accord dans l’ensemble mais on parle d’animateur, et dans un premier temps avant d’apprendre les travaux des différents pédagogues (vous avez oublié De Laganderie), ils ont besoin de savoir commet cela se passe sur terrain: le travail d’équipe, la gestion de son trvail, de sa fatigue, comment monté des veillées d’enfer efficacement …
Le problème que l’on rencontre chez les appros est surtout le soucis d’autorité. Et la question à laquelle je cherche à répondre est simple:
Comment je fais pour avoir de l’autorité avec des enfants ? Bien sûr au delà des trois heures de transport pendant laquelle les stagiaires ont une autorité de fon,ction..
Et j’ai commencé à travailler les règles de vie: comment on les pose, comment on les explique ..
Puis pourquoi elles ont tendances à varier … Puis comment on pose une sanction ? …
Tout cela je cherche des cas qui fait réfléchir, se posiotionner les stagiaires et faire prendre conscience.
Mais il est vrai que le stage pratique est indispensable et je crois sincèrement que lorsque les règles de vie sont justes, et identiques pour tout le monde et que chacun les fait respeceter.
Enfin il y a l’animation, il faut donner envie aux stagiaires de refaire les animations avec les enfants plus tard.
A bientôt
François
Lau a écrit:
Il faudrait aussi que tous les organismes se donnent les moyens d’avoir des formateurs compétents, ce qui est loin d’être le cas.
Il est clair que un animateur de qualité sur le terrain peut être un mauvais formateur sur un stage. La formation d’un animateur n’est pas la même que celle d’un formateur et je trouve que l’on recrute les formateurs sur le tas (comme j’ai pu voir sur des sessions BAFA). Concrètement même si la personne est capable, est ce que l’on lui en donne concrètement toujours les moyens d’apporter des billes aux jeunes ou moins jeunes en fasse d’elle?
Et il est clair qu’un peu de théorie en parlant des travaux de Freinet, Wallon, De Failly,… ne serait pas un mal. Reste que nous connaissons tous l’impératif temps d’une semaine de formation.
Oui bien sûr, il faudrait avoir plus d’apports d’apports techniques, plus d’apports théoriques aussi… Mais les stages sont de très courte durée alors comment faire pour caser tout ça en si peu de temps ?
Il faudrait aussi que tous les organismes se donnent les moyens d’avoir des formateurs compétents, ce qui est loin d’être le cas.
Faut pas non plus faire des Bafa juste des temps de réflexion. Des formateurs-accompagnateurs qui n’amènent rien que de la théorie.
Faudrait déjà que les formateurs amènent de la théorie ce qui me semble loin d’être gagné. La théorie se résume bien souvent à une information sur les besoins liés à chaque âge et à des points de réglementation mais ne sont jamais abordés les enjeux de l’éduc populaire, la culture, les connaissances pédagogiques (Freinet, Péda institutionnelle, …)
Un temps pour découvrir des techniques, des matières, des possibiités, des pistes à creuser…
Ca, je suis bien d’accord, emmagasiner des techniques en lien avec une théorie conséquente pour pouvoir faire un boulot de qualité et pas se contenter des formations actuelles qui ne sont que des journées de palabres, de centration sur soi ou retour sur sa formation personnelle (qu’ai je appris, que pourrai je changer, qu’ai je encore à acquérir,…), ou de vague découverte des matières (surtout n’apprenons rien…)
Oui, bon, d’accord :
“… De plus en plus de stagiaires, qui viennent en FG BAFA ont déjà travaillé avec des enfants. Mon vécu me pousse à dire qu’avec eux, ils faut travailler, davantage, les objectifs d’une activité, plus que la menée elle même”
Faut pas non plus faire des Bafa juste des temps de réflexion. Des formateurs-accompagnateurs qui n’amènent rien que de la théorie.
Le Bafa devrait être aussi un temps où l’animateur “emmagasine” des billes pour être opérationnel sur le terrain pour ce qui est des propositions d’animations. Un temps pour découvrir des techniques, des matières, des possibiités, des pistes à creuser…
Sinon on en arrive à tous ces animateurs qui arrivent ici sur le forum (et que l’on retrouve sur le terrain) qui sont incapables de propositions originales, qui accumulent les animations merdiques parce qu’ils n’ont pas même imaginé qu’ils pouvaient faire autre chose.
Lau a écrit:
Il s’agit de la Pyramide des besoins de Maslow. (J’ai appris ça en cours d’économie en première.) Je sais que c’est une théorie qui est utilisée en stage BAFA mais je ne vois pas bien en quoi ça peut servir pour les besoins de l’enfant. Il s’agit plutôt de généralités théoriques et économiques.[/quote]
Rassure toi, il n’ya rien d’économique la-dedans.J’ai bien dit Maslow ADAPTE. ( A ma sauce si tu veux).
En gros voila de quoi il s’agit. Les stagiaires sont divisés en petits groupes. Chaque groupe definit, une liste de besoins, par catégorie( physiques, relationnels, affectifs, liés à la découverte etc).Parfois cela se recoupe, mais qu’importe.
Ensuite synthèse générale. Cette synthèse étant utilisé ensuite tout au long du stage.
Anthony45 a écrit:
[/quote]
Oui première image je sais pas trop. La plus part des stagiaires ont déja une vision de l’animation.Je suis pas pour leur dit que je suis un modèle. J’ai mes qualités et aussi mes défauts. C’est pas sur les stages que j’encadre que je montre toute mes compétences mais je les fais partager en laissant les stagiaires se questionner. Pour moi on ne forme pas un stagiaire (je suis pas du genre à faire des clones), on l’accompagne dans sa formation propre.[/quote]
Je pense que tu as raison; De plus en plus de stagiaires, qui viennent en FG BAFA ont déjà travaillé avec des enfants. Mon vécu me pousse à dire qu’avec eux, ils faut travailler, dava,tage, les objectifs d’une activité, plus que la menée elle même.
D’autres part, En effet un formateur ne doit pas prétendre être un modèle; il faut laisser au candidat la possibilité de se questionner, de critiquer.N’oublions pas que le stagiaire doit être acteur de sa formation. Un stage BAFA, et encore plus BAFD doit être une interaction entre formateurs et formés.
Par contre, nous instaurons un moment où il faut définir les besoins des enfants; et la, je préfère faire découvrir un triangle de Maslow (j’ai oublié le nom exact) adapté.
Il s’agit de la Pyramide des besoins de Maslow. (J’ai appris ça en cours d’économie en première.) Je sais que c’est une théorie qui est utilisée en stage BAFA mais je ne vois pas bien en quoi ça peut servir pour les besoins de l’enfant. Il s’agit plutôt de généralités théoriques et économiques.
Je pense que tu as raison de vouloir parler de tout cela, mais si tu mets tout dans connaissance de l’enfant,j’ai peur que le stagiaire se perde.
A moins que tu es une méthode et là je suis intéressé
Merci et à bientôt
Bonjour à tous,
simplement je remercie ceux qui échangent leur méthode et aussi leur contenu. Mais attention, en échange de contenu il faut d’abord définir l’objectif du temps, et ce n’est pas le sujet.
Aussi, certain parle d’utopie dans l’échange, mais ce n’est pas le sujet, ici on parle d’échange, de don, pourquoi donner son point de vue sur cela, il n’y a aucun intérêt pour le moment.
Merci pour les méthodes.
METHODE VIE QUOTIDIENNE
Il faut installer la salle, en trois espaces. il faut trois groupes de chaise.?
L’objectif pour les stagiaires est de rendre le débat dynamique et l’obligation de se positionner.
Par exemple, vous lancer la vie quot repas.
Trois possibilités:
Les enfants mangent ce qu’ils veulent
Les enfants sotn dans l’obligation de goûter une petite quantité
Les enfants doivent finir leur assiette
Les stagiaires se positionnent et ensuite chacun explique son point de vue. Ils ont le droit de bouger d’une position à une autre.
On peut le mener seul, mais ce qui est aussi intéressant est de la mener à deux. Un qui gère le débat, l’autre qui est avec les stagiaires et qui argumentent sur chaque position. A la fin, faire une synthèse en montrant les avantages et les inconvénients de chaque choix. Puis passer à la question suivante.
J’ai tenté avec différent sujet, le repas, le courrier et les colis sont intérressant comme cela.
Je pratique le repos sous forme def topo participatif et enfin l’hygiène, ceux sont les stagiaires qui mettent en place une organisation complète et la défendent devatn les autres groupes.
Voilà, bonne journée à tous
troploin a écrit:
On devrait essayer de faire un échange pédagogique sans prendre de position et chacun prend ce qu’il veut …
Plus facile à dire qu’a faire… pour moi cela reste très utopique vu l’évolution des mentalités. Les rencontres inter organisme comme Lulu évoque dans son département son certainement très intéressant, mais y’a t’il réellement une vrai prise de recul des militants sur les questions de fond?!
Je suis peut être très pessimiste mais si de telle rencontre son vraiment mené avec beaucoup de neutralité, je serai curieux d’y assister et d’échanger.
Ce qui est sûr c’est que nous sommes la première image que les stagiaires ont de l’animation, alors autant être toujours au top, et je suis persuadé que l’échange est la clé
Oui première image je sais pas trop. La plus part des stagiaires ont déja une vision de l’animation.Je suis pas pour leur dit que je suis un modèle. J’ai mes qualités et aussi mes défauts. C’est pas sur les stages que j’encadre que je montre toute mes compétences mais je les fais partager en laissant les stagiaires se questionner. Pour moi on ne forme pas un stagiaire (je suis pas du genre à faire des clones), on l’accompagne dans sa formation propre.
salut Lau
Je me permets de té répondre par quelques exemples:
Lorsqu’un groupe de stagiaires en FG BAFA, concoit, prépare, réalise puis évalue un projet d’activité,ce groupe précise, entre autres, pour quel âge ce projet, TEL QU’ON L’A VECU? Quelles modifications à apporté pour des enfants plus jeunes ou plus agés, avec des handicapées etc
Lorsque l’on travaille sur le rythme des activités sur une journée, il est évident qu’il faut préciser l’âge des enfants.
Même chose sur le role de l’animateur pendant la vie quotidienne (repas, coucher, linge etc);
Par contre, nous instaurons un moment où il faut définir les besoins des enfants; et la, je préfère faire découvrir un triangle de Maslow (j’ai oublié le nom exact) adapté.
troploin a écrit:
mais cela manque réellement d’échange entre les organismes.
J’ai été avisée avant cet été par ma fédé qu’il y a une rencontre inter organismes de formation qui serait apparament prévue pour fin d’année 2007 (novembre si j’ai bonne mémoire). Ca concerne mon département. Il n’y a rien de semblable par chez vous ?
XXYYZZ a écrit:
Par contre sur la connaissance de l’enfant, il y a longtemps que je fais plus par tranche d’âge, car pour les besoins d’un enfant, ces besoins, s’expriment, certes, de différentes façons, il y a des dominantes suivant les âges, mais ces besoins restent fondalement les mêmes.
Bien sur noujs revenons sur les tranches d’âges dans d’autres moments du stage (organisation, choix des activités, place des mineurs dans le choix de l’organisation des activités, actes de la vie quotidienne etc.)
Pour la connaissance ce l’enfant, il me semble important de voir comment se traduisent les besoins et comportements de l’enfants dans le projet pédagogique. Exemple : quel peut être la durée maximum d’une activité pour des enfants de 6 ans ? Comment construire un projet d’activités avec les enfants en fonction de leur âge ? Comment organise-t-on un camping pour des 5 ans ? et pour des ados ? Comment réagit-on face à un enfant de 5 ans qui ne veut rien faire ? Et face à un ado ? Etc….
C’est beaucoup mieux que de donner des généralités théoriques, qui sont très souvent discutables.
Bonjour animfolle
J’ai, moi aussi, utilisé la méthode de “conférence” que tu évoques, pour la vie quotidienne. En fait c’est une adaptation du “pannel”. Nous avions la cha,ce d’avoir dans un même lieu des FG BAFA et des Perf BAFD; Ce sont donc les directeurs stagiaires qui répondaient aux queqtions, l’encadrement apportant les manques ou les compléments et rectifiant les erreurs. Bien évidemment une évaluation de ce moment a été fait apres.
Par contre sur la connaissance de l’enfant, il y a longtemps que je fais plus par tranche d’âge, car pour les besoins d’un enfant, ces besoins, s’expriment, certes, de différentes façons, il y a des dominantes suivant les âges, mais ces besoins restent fondalement les mêmes.
Bien sur noujs revenons sur les tranches d’âges dans d’autres moments du stage (organisation, choix des activités, place des mineurs dans le choix de l’organisation des activités, actes de la vie quotidienne etc.)
Allez A+