[Sophdu13]

Oui je suis d’accord on peut s’aider. Moi je sors d’une formation BPJEPS avec les francas j’ai eu presque tous les UC il me manque le 1 et le 3 donc je vais les faire cette année en VAE.
Il faut écrire tes expériences en utilisant la méthodo de projet il faut faire voir au jury que la méthodo est comprise.
et voir si les actions d’animations ont du sens.
toujours avoir du lien.
les actions d’animations doivent s’incrirent dans PP.
et avoir du recul sur le actions qu’est ce que cela va faire après.
voilà
je te donne mon mail sophie.agnelli@orange.fr
pour correspondre avec moi je peux t’envoyer me dossiers du UC validé l’UC de direction était très bon la formatrice l’avait fais lire a tous le monde.

[straph]

Bonjour,

j’effectue actuellement une VAE BPJEPS Tous loisirs. J’ai bénéficié d’un accompagnement; mais qui a pris fin de façon abrupte. Je n’ai donc pas toutes les réponses à mes questions. Je bloque sur la partie une du livret 2… Je suis complètement perdue. Il ne me manque que ces quelques fiches pour pouvoir présenter mon dossier…
Quelqu’un peut-il m’éclairer sur les informations à remplir concernant les fiches 16, 17 …
Merci

[crevette76]

poretta2b, tu en es où ?

je viens de retomber sur des écrits (que j’avais plus avancés que je ne me souvenais), et en fait j’métais pas trop pris la tête sur les histoires de mise en forme et de respect des “cases” des formulaires type.

[POITOU]

Voici,
un autre exemple de fiche….
j’ai essayé d’être plus synthétique mais…. pas évident pour le moment….

Nature exacte de cette expérience :
L’expérience se passe à La Ligue de l’Enseignement de Haute-Corse, pour la période des Vacances scolaires de Pâques 2011 : coordination de l’Accueil Collectif pour Mineurs de la Pieve di Lota (gestion de l’ACM en période extrascolaire, 45 places, suite à l’attribution d’un marché public regroupant 3 communes : San Martino di Lota, Santa Maria di Lota et Ville de Pietrabugno).
10 jours d’ouverture du lundi 18 au vendredi 29 avril 2011.

Dans cette expérience, quelles sont vos pratiques en rapport avec :

L’encadrement des publics :
Le public « principal » concerné par cette action est l’Enfant. C’est lui, évidement, qui est au cœur de l’équipe pédagogique d’un ACM. Les enfants sont âgés de 6 à 12 ans. Ils résident ou sont scolarisés sur les communes titulaires du marché.
Afin de mettre en place le projet d’activités, j’ai aussi à appréhender et coordonner différents publics :
– Les parents : lien essentiel, pour les inscriptions sur le planning, les informations sur le fonctionnement du centre (horaires, équipement, règlement intérieur), nouvelles inscriptions, information et sensibilisation au programme d’activités et aux objectifs.
– Les prestataires : préparer l’intervention, les informer de notre projet pédagogique et des objectifs de la période, fixer les prérogatives pédagogiques et rédiger la convention. Réserver les repas, les transports, prévoir l’achat de matériels pédagogiques, et autres (équipement, denrées et matières premières)
– L’équipe d’animateurs : Nous avons une équipe d’animateur fidélisée : en effet, le centre fonctionne depuis l’Eté 2008, et certains des animateurs postulent pour chaque période ou du moins pour plusieurs périodes consécutives. C’est pourquoi, nous n’avons pas eu de recrutement à faire pour cette période (équipe d’animation identique à la période précédente Eté 2011). L’équipe était composé ainsi 1 directrice, 3 animateurs, 2 stagiaires (dont 1 stagiaire en direction).

L’encadrement des activités :
Afin de planifier les activités de la période, je tiens compte du projet pédagogique 2011/2012 axé sur les objectifs du développement durable et des activités de pleine nature.
Les projets et idées ne manquent pas mais il faut savoir les articuler et leur donner un sens…
Le projet d’activité est commun au Centre de Loisirs, en revanche les activités sont adaptées aux différentes tranches d’âge. Il s’agit de respecter le rythme de chaque individu et de favoriser l’épanouissement de chacun. Il est vrai que le public fréquentant le centre est un public consommateur d’activités. Il est très difficile de faire comprendre aux parents que le but d’un Accueil Collectif pour Mineurs n’est pas de la garderie mais un espace d’accueil éducatif qui apporte un « plus » à l’enfant à travers des activités ludiques de loisirs. Ce discours est répété à chaque inscription et les familles fréquentant le centre ont fini par le comprendre et l’accepter au vue de la satisfaction des enfants. Par conséquent, nous accentuons le programme sur des sorties éducatives.
Au cours de cette période est prévu :
– Périodes en centre : l’animateur a pour consigne de préparer les enfants aux sorties programmées sur la période. C’est ainsi qu’il a été programmé une séance d’activité manuelle sur la confection d’un épouvantail, ainsi qu’une fresque sur le cycle de l’agriculture biologique. En centre les enfants alternent activités d’Art&Loisirs créatifs, séances d’initiation à divers pratiques (par exemple hip-hop pour cette période car la stagiaire présente a conduit une séance évaluer pour son stage), petits jeux et temps calme.
– Mise en place du tri sélectif : mise en place de poubelle de couleur, écriture d’une charte du « parfait recycleur », confection de panneau d’informations sur le tri sélectif
– Explorer le domaine de la botanique à travers le jardinage et le produit « bio » : en partenariat avec une association locale, nous prévoyons 1 journée/groupe, en jardin pédagogique sur une commune voisine. Le but de la journée est de sensibiliser les enfants au jardinage (réalisation d’un carré de potager, plantation de semences)… De plus ce jardin pédagogique est ouvert au tout public, nous souhaitons donner envie à l’Enfant de retourner plus tard au jardin pédagogique afin de voir l’évolution de ses plantations et les récolter
Pour l’ensemble des groupes : 1 journée sur une exploitation d’agriculture « biologique », couplée avec des ateliers de « sensibilisation à l’agriculture bio » (cf. 2ème étape du livret 2).
– Activités de pleine nature : 1 journée poney pour le groupe des 6/8 ans – journée équitation couplée avec l’activité Tir à l’Arc pour les 8/12 ans. Une randonnée, à proximité du centre, afin de découvrir les Glacières de Cardo pour les 2 groupes des 8-12 ans, et 2 séances d’activités aquatiques pour les 6/8 ans.
Une vérification est faite de la règlementation.

La participation au projet et au fonctionnement de la structure :
J’encadre la gestion du centre depuis l’ouverture (Eté 2008). Dans un premier temps, j’ai été l’adjointe administrative de la directrice. Je me suis donc formée à la gestion de Centre de Loisirs, j’ai passé mon BAFA en 2009 et c’est au départ de la directrice en juin 2010 que j’ai naturellement repris ses fonctions.
Je suis tutrice, à cette période concernée, de la stagiaire de direction (en CDD temps plein au sein de la structure). L’équipe d’animateur/trice est recruté avec un Contrat d’Engagement Educatif et est présente aux 2 jours de préparation ainsi qu’au cours de la période.
Mes tâches consistent à tout mettre en œuvre pour assurer l’ouverture de l’accueil pendant les vacances avec une équipe prête et qui dispose de tous les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs fixés.
– Organiser le planning des tâches : fixer les dates d’inscription pour les familles, fixer les dates de réunion de préparation des animateurs, les rencontres avec les prestataires, la date des achats du matériel
– Organiser les répartitions des tâches de l’équipe
– S’assurer des obligations administratives : déclaration préalable à l’ouverture d’un ACM auprès de la DDCSPP – d’où la maîtrise de l’application TAM (intranet des ACM).
– Mettre en place le planning d’activités de la période,
– Respecter le budget alloué à la période : je travaille avec le budget prévisionnel (budget global pour les 4 période, que j’ai estimé en début d’année et veille à être en adéquation avec ce qui avait était prévu. Je gère donc en autonomie le budget de la période. La gestionnaire de la structure me fait part en fin de période d’un état récapitulatif des dépenses, j’ai ainsi une très bonne lisibilité du budget restant période après période.

Dans cette expérience, avez-vous eu d’autres pratiques en lien avec le diplôme que vous sollicitez :
– Gestion autonome de budget d’un accueil de Loisirs pour Mineurs
– Choix sur le recrutement – Conduite d’entretien d’embauche (en présence de la directrice du centre)
– Choix sur les prestataires et négociations des tarifs
– Organiser la circulation des infos en interne : j’informe régulièrement, par mail, téléphone ou réunion, ma responsable hiérarchique du travail effectué, des éventuelles problèmes ou incidents rencontrés.
– Responsabilité sur les achats : choix des fournisseurs et du matériel
– Rédaction de bilan d’activités à transmettre aux élus et secrétaires généraux des communes

voilà, à vous de me dire ce que vous en pensez ???
je rappelle aux lecterus qu’il s’agit uniquement de la 1ère étape du livret 2 !!

[POITOU]

Crevette,

je me doutais bien être trop entrée dans les détails sur la première étape…
je vais faire une fiche sur une autre action en étant plus synthétique… je te transmettrai…

merci de ton aide, à+

[crevette76]

Salut – pas trop le temps donc je te réponds en speed et j’ai pas tout lu – juste : peux-tu remettre les questions “officielles” du doc pour bien être sure ?

Là à vue de nez, ben j’ai l’impression que simplement t’as commencé le travail de la seconde partie, je pense que tu veux trop détailler.
Ces fiches – si elles servent à quelque chose – doivent être hyper synthétiques, genre une phrase où quelques points sous forme de tirets suffit à chaque question à mon avis.

[POITOU]

Ok crevette, tu marques 1 point dans ta réponse !!
puisque tu l’as bien compris, je suis un peu perdue sur l’étape 1 du livret 2, tu trouveras ci -après 1 des fiches :

Nature exacte de cette expérience :
L’expérience se passe à La Ligue de l’Enseignement de Haute-Corse, mise en place et coordination de l’action « Langue et Culture Corse » au Centre pénitencier de Borgo de Février à Décembre 2005.

Dans cette expérience, quelles sont vos pratiques en rapport avec :

L’encadrement des publics :
Il s’agit de faire le lien entre les différents acteurs, c’est-à-dire :
L’administration pénitentiaire composée :
– S.P.I.P. 2B (Service de Pénitencier et d’Insertion Probatoire de Haute-Corse) : chargé du suivi des prisonniers et de la mise en place d’action culturelle, sportive ou de loisirs au centre pénitentiaire. C’est aussi le financeur.
Dont – les conseillers d’insertion et de probation (CIP) : ils informent les détenus des activités socioculturelles et sportives mises à leur disposition, ils gèrent l’inscription des détenus aux activités.
– le directeur de la prison : il est indispensable qu’il soit informé des activités mise en place dans son établissement,
– le chef gardien : sur le terrain, il assure le déplacement des détenus vers la salle d’activité, il s’assure de la présence des détenus inscrits aux activités,
– L’intervenante de La Ligue de l’enseignement 2b (le prestataire) en langue corse : elle assure l’activité au Centre Pénitentiaire, elle communique sur le contenu des séances et sur son planning d’intervention.
Ces différents acteurs ont un rôle primordial pour la réussite du projet. A l’occasion des réunions de bilan, chacun a fait part des difficultés à coordonner l’action, tant le nombre d’acteurs différents rendent la tâche difficile.
En effet, lors de l’absence de l’intervenante, par exemple, nous devions prévenir les Conseiller d’Insertion et de Probation, qui devaient eux prévenir la Direction du Centre Pénitentiaire. La Direction était alors chargée de communiquer auprès des détenus l’annulation de la séance. De plus, il est quasiment impossible de joindre le bon interlocuteur, sachant que certaines communications sont impossibles dans l’enceinte d’une prison (notamment pour joindre les C.I.P). De plus, l’information ne parvenait parfois pas à tous les interlocuteurs. Par conséquent, il est arrivé que les détenus se retrouvent en salle d’activités alors que la séance était annulée. A contrario, il est arrivé que l’intervenante passe les ¾ du temps de la séance dans un sas de sécurité (parcours obligatoire à passer lors de la pénétration dans une enceinte sécurisée), car les gardiens n’étaient pas au courant de l’intervention et le déplacement des détenus étant très long (d’un bloc à l’autre) afin de se rendre en salle d’activité.

L’encadrement des activités :
Il a fallu tenir compte des dispositions règlementaires inhérentes à l’accès d’un Centre Pénitencier. Tout d’abord, l’intervenante a fait l’objet d’une enquête de la part du SPIP. Il s’agissait de déterminer son degré d’implication politique, voir son appartenance à certains groupes, son passé judiciaire ou sa filiation avec d’éventuels détenus. L’intervenante a été validé par le SPIP, en revanche une intervenante proposée au préalable s’était vu refusé l’accès à l’enceinte pénitentiaire à cause de son passé.
Compte tenu du fait que nous avions affaire à un public très particulier, sujet à une motivation aléatoire aux activités quelles qu’elles soient, il a fallu mettre en place un contenu pédagogique pertinent et adapté aux publics : corsophones et non corsophones. Cela s’est traduit par :
En Maison d’Arrêt : Chants Polyphoniques Corses. L’intervenante travaille sur la langue corse à travers le chant. Environ 10 détenus par séance, les détenus sont d’origine corse et attachés aux valeurs fortes de l’île (histoire, chants polyphonique, etc…). Centre de Détention : Sensibilisation à la langue et culture Corse, à travers des thèmes historiques, géographiques, littéraires, etc…Durant les séances, les détenus travaillent sur des exercices (écrits et oraux) de manière ludique, des dialogues en binôme, des échanges culturels grâce aux diverses nationalités présentes. Les séances permettent l’apprentissage de la langue corse par la reconnaissance des sons et facilite la pratique d’une conversation : répétitions de phrases, acquisition de règles grammaticales et syntaxiques de base, exercices oraux afin d’acquérir des réflexes linguistiques. Cette action fait l’objet d’un suivi et de bilans partagés. Une réunion de suivi a lieu chaque trimestre afin de coordonner l’action et intervenir pour régler d’éventuels problèmes pouvant survenir dans le fonctionnement entre les différents acteurs.

La participation au projet et au fonctionnement de la structure :
J’ai élaboré le projet qualitatif et quantitatif afin de le présenter au SPIP. Une réunion a été planifiée afin de présenter ce projet pour validation du financement. Je rencontre les CIP afin de planifier les interventions. Il s’agira du jeudi matin (10h-12h) en Maison d’Arrêt et le mardi matin (10h-12h) en Centre de Détention. Je centralise donc l’ensemble des informations sur la mise en œuvre de l’action. Il faut instruire la demande d’autorisation d’entrée en milieu carcéral pour l’intervenante. Il faut signaler au CIP (par fax ou téléphone) une éventuelle absence de l’intervenante. A chaque fin de mois, je transmets le relevé de présence en comptabilité pour facturation au SPIP.
En fin d’action, je réalise le bilan qualitatif et quantitatif qui sera transmis au financeur.

Dans cette expérience, avez-vous eu d’autres pratiques en lien avec le diplôme que vous sollicitez :
L’intérêt de cette expérience est d’appréhender d’un nouveau public : individus dans un milieu carcéral. La particularité de ce public repose sur plusieurs points :
– la durée du séjour : en Centre de Détention le détenus effectue un séjour « court » ou bien n’a pas encore été jugé – En Maison d’Arrêt : peine plus longue, le jugement est fait. Voilà pourquoi, l’intervenante a adapté ses interventions. Les détenus en séjour court/temporaire exerce une approche de la langue, acquière les notions de bases en quelques séances alors que les détenus en Maison d’Arrêt peuvent exercer un suivi des interventions et ainsi créer un projet durable : l’intervenante a travaillé sur plusieurs chansons et chants polyphonique. Ils ont par ailleurs offert à l’occasion du Téléthon un concert à l’ensemble des détenus.
Par définition la prison est un lieu d’Entrée et de Sortie incessantes, voilà pourquoi le nombre de participants était fluctuant à chaque intervention.
– l’état d’esprit / la motivation : certains détenus inscrits aux activités (selon leur propre volonté) sont parfois démotivés, démoralisés, ont reçu de mauvaises nouvelles, etc… et ne souhaite pas assister à la séance. Lorsque le gardien vient le chercher en cellule, le détenu fait part de sa non motivation pour aller en activités.
– La disponibilité : certains détenus, les jours d’intervention ne sont pas présents au sein de la prison (au tribunal ou rendez vous avec leur avocat).
Sur cette expérience, c’est l’aspect règlementaire qui m’a le plus marqué et qui a occupé une place importante dans mes tâches de coordinatrice.
– L’enquête préliminaire concernant l’intervenante : la première intervenante que nous avions sollicité pour intervenir s’est vu refusé l’accès à la prison, car elle a été, dans son passé, la compagne d’un homme « politique » corse assassiné quelques années avant. Elle-même avait été profondément choqué par se refus, dans la mesure où son histoire faisait parti du passé. De la même manière que l’intervenante titulaire s’est vu refusé l’accès de la prison en 2007 puisque son fils faisait l’objet d’une procédure judicaire. C’est ainsi que l’action s’est terminé en 2007, alors que nous avions passé une convention avec le Centre Pénitentiaire pour la formation en « langue corse » du personnel de la prison (gardiens, directeur, personnel administratif…)
– J’ai moi-même fait l’objet d’une enquête (uniquement sur mon identité) afin de rentrer dans l’enceinte du bâtiment pour participer aux réunions de bilan trimestriel. Une ambiance lourde et pesante se fait ressentir lorsqu’on pénètre dans ce lieu. Au cours des réunions, les intervenants ou coordinateurs ne se félicitent pas de la réussite des actions mais on parle plutôt de réinsertion, de non isolement et de comportement favorable à une remise de peine…ou bien des tensions entre détenus, de leur rythme de vie au sein de la prison.
– La coordination des différents acteurs : au réunion de bilan trimestriel était évoqué la difficulté des intervenants sur la coordination administrative : en cas d’absence, obtenir les autorisations afin de faire entrer du matériel pour mener à bien les activités (exemples : sono pour la guitare, etc…), le manque d’informations de la part du personnel de la prison (pour qui, je l’ai compris plus tard, avait également des difficultés à travers la communication interne à obtenir les bonnes informations). Les délais d’attente en sas de sécurité, trop long, laissant parfois penser que peut-être ils avaient été oubliés là. Une fois même, après un délai d’attente de 30mn dans le sas de sécurité, l’intervenante s’est vu notifié sans explication l’annulation de l’activé. Après avoir contacté les CIP, je n’ai jamais eu l’explication de cette annulation (et je suis sûre qu’eux-mêmes n’avaient pas l’information).

[crevette76]

poretta2b a écrit :
N’y a t-il personne sur ce forum qui soit prêt à décrire sa méthode, son travail sur sa VAE BPJEPS…???

Je l’ai déjà fait plusieurs fois sur planetanim, et je ne suis pas la seule.

D’ailleurs dans mon post précédent, même s’il y a des questions, j’y donne des pistes sur ma manière de voir le truc.

Je ne comprends toujours pas ton but sur ce fil, tu parles d’échange et de suggestions mais je ne vois pas de suggestions dans tes posts, si ce n’est celles de suggéerer aux autres de raconter comment ils rédigent leur vae à eux… si c’est une méthode “clé en main” que tu cherches, ne t’attends pas à la trouver, la rédaction d’une VAE c’est personnel, puisque ça raconte des morceaux de vécu du candidat… à sa manière donc.
Non ?

Et puis tu n’as pas répondu à mes questions, ça ça aurait pu être un début d’échange…

Si tu rappelais ce qu’est l’étape 1 du livret 2, ça aiderait peut-être, parce que ça me parait bizarre ton truc là…
tu remplis les fiches type par expérience c’est ça ?
Si c’est ça, le “vrai” du boulot n’est pas là, et c’est de la paperasse un peu redondant.
L’intérêt de l’écrit est bien dans la partie rédactionnelle ou tu racontes tes morceaux d’expérience.

J’sais pas si on parle sur le même canal, m’enfin bon courage 🙂

[POITOU]

Chère crevette,

merci pour ta réponse…
Rassure toi, il n’y avait pas de questions dans mon post mais simplement un échange, ou suggestions sur la VAE BPJEPS LTP…

Lorsque que je parle de “manière générale” peut-être je m’exprime mal….
J’avais cru comprendre qu’il ne fallait pas s’attarder sur la première étape du livret 2, donc je décris des pratiques qui font référence aux UC du diplôme…
lorsque je dis de manière générale, c’est à dire, bcp moins détaillé que la deuxième étape où tu dois décrire le moindre faits et gestes de l’action choisi.

N’y a t-il personne sur ce forum qui soit prêt à décrire sa méthode, son travail sur sa VAE BPJEPS…???

Allez, je me mets au boulot !!!
à +

[crevette76]

Ben j’ai pas compris ta question j’crois… (ça doit être de nouveau ma période “j’comprends rien”)

Mais par contre tu dis “et je les décrits de manière générale en faisant du rédactionnel”, je ne suis pas certaine que ce soit la bonne méthode :

– pourquoi “de manière générale” ? dans tes écrits on doit pouvoir “voir” comment tu travailles et piger pourquoi, il faut donc plutôt être assez détaillé que général je pense

– ton “en faisant du rédactionnel” je pige pas trop ? Si tu veux dire que tu te relis pour avoir des phrases cohérentes dans un français correct et sans (trop de) fautes, ok, sinon..?

Bon courage

[POITOU]

[POITOU]

Bonjour à tous,

un “énième” post sur la VAE du BPJEPS LTP…

Je travaille actuellement sur la partie 2. J’ai parcouru longuement l’ensemble des forums sur ce sujet.

Le but de mon post est d’échanger sur la rédaction du livret 2 avec d’autres personnes dans la même situation que moi.

Concernant la première étape du livret 2 :
– répertorier pour chacune de vos expériences salariés (j’ai 12 ans d’expérience au sein de la même structure) vos pratiques… :
j’ai choisi plusieurs actions menées au sein de ma structure et je les décrits de manière générale en faisant du rédactionnel. je reprends les termes du référentiel diplôme pour chaque pratique menée soit par expl : programmation des étapes de la réalisation du projet” ou prévoir l’organisation du travail collectif”, ce pour prouver aux jurys que la pratique est acquise.

Vous serez d’accord qu’il n’y a rien d’évident à rentrer dans le rédactionnel de nos pratiques mais ne sommes nous pas sensés avoir écrit divers projets éducatifs ou pédagogiques ?

Suis donc dispo pour échanger conseils, idées et écrits sur la VAE du BPJEPS LTP…

A vos post !!!

[Auteur]

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