Bonjour,
Cet “article” manque cruellement de professionnalisme, déjà parce que cela n’a absolument aucun rapport avec l’animation et de plus, les opinions politiques devraient rester chez vous. Les liens sont clairement bancal et vous manquez clairement de connaissance sur ce sujet…
Je n’ai rien contre : cela s’appelle <i>la vie sociale,</i> que les rapports de force, sociologie de Georg Simmel à l’appui, mais après qu’on ne vienne pas me dire que <i>”les valeurs féminines”</i> sont plus douces que les masculines, ce n’est pas vrai. Mon propos est profondément féministe, au sens de libertiste, ce que je n’ai pas cessé d’être et ne cesserait jamais d’être. C’est-à-dire, un beau diable – et rien que cela.
En définitive, le monde devient plus agressif, parce que c’est de militantisme (milice, militaire, étymologiquement) et que ça sécrète forcément aussi ses contre-militances (au hasard : Trump).
Comme ça j’ai eu un vrai long débat sous Doctissimo : http://forum.doctissimo.fr/psychologie/Psychanalyse/traumatisme-naissance-mediatique-sujet_4285_1.htm
L’animation est socioculturelle, sociale et culturelle, ou socioéducative, sociale et éducative. Il suffit de déduire ceci de cela : les idéologies d’époque nous (é)meuvent, tant comme animateurs-trices que jeunes. C’est d’ouverture d’esprit.
Sauf à vouloir tuer la vie, je n’ose pas imaginer ce qu’est un milieu animatif/formatif sans ces (é)motions idéologiques.
Salut marzhin, bienvenue sur planetanim ; as-tu bien vu que tu étais sur un forum à propos de l’animation socio-culturelle ?
Et si oui, c’est peut-être moi qui ne pige pas en quoi tes posts sont en rapport direct avec le sujet… et donc j’veux bien un éclairage.
Le fait est que ce sont des femmes, qui excisent traditionnellement d’autres femmes, par exemple en Éthiopie. Cela témoigne de la méconnaissance/déni/refoulement féminins eux-mêmes, quant à leur propre génitalité, autour de leurs traumatismes de la naissance. Ainsi, le féminisme d’une telle vidéo est branlant : https://www.dailymotion.com/video/xhs1dv_l-invite-odile-buisson_tech (Yvelines Première – Invitée Odile Buisson). Une réalité qui n’a bizarrement, depuis le temps, jamais été bien relayée publiquement dans les grands médias. Je ne serai pas complotiste, ni féministe, puisqu’il est juste évident que “l’antre” génitale féminine est en fait confirmée dans sa traumatisation, d’être ainsi reléguée à toutes les secondes zones. Et ainsi les féministes eux-mêmes, d’être antiféministes.
Ecoutez, moi quand je vois ça :
Tout ce que je constate, factivement, c’est que ce féminisme-là veut rester petite fille/princesse, dans une folie de donner raison aux préjugés misogynes, puisque le clip sous ses airs fanfreluches sympathiques est pervers, sournois et insidieux de suggérer la notion de porc tout en étant agressif sur le même mode : “va te faire en-mmmh”. Bref, en somme, les porcs peuvent se faire enculer, elle est belle la France. Enfin je crois que la chanteuse est Belge, mais ça revient au même dans le contexte Européen.
La vérité me semble plus simple, rapport au Traumatisme de la naissance psychanalysé par Otto Rank : l’organe génital féminin – qui d’ailleurs est aussitôt mis en scène sous forme de chatte dans le clip – renvoie directement à ‘la possibilité de l’enfantement, même si on peut s’en servir pour le plaisir. Reste qu’une femme, dans son développement, est toujours directement confrontée à cette possibilité de l’enfantement, c’est un fait, même si elle n’aura jamais d’enfant de sa vie au final et qu’elle en a certes la liberté, c’est un fait.
Du coup ce qui se passe, c’est que ces féministes-là, ce féminisme-là, devient nettement androphobe, au sens psychiatrique, au point de ne pas réaliser sa perversité donnant raison à la misogynie ! dans sa démarche, qui par ailleurs est tordue au point de cultiver la gynophobie. Cela dit, parfois, en théoricien du complot, on se demande si tout ça n’est pas médiatisé pour troller le monde occidental, histoire de nous pourrir l’esprit avec de faux problèmes, dont l’immense majorité des hommes sont innocents – au contraire ils sont respectueux et protecteurs.
Mais donc, ces féministes-là, ce féminisme-là, n’assume pas qu’une femme ou du moins ce qui y ressemblera (une folle, un travelo, un trans, et tout ce que vous voudrez), évoque la possibilité de l’enfantement. Or cela, y compris pour les femmes elles-mêmes (et du moins tout ce qui est humainement capable d’enfanter, ce qui se limite aux femmes jusqu’à preuve transhumaniste contraire). A partir de là donc, il y a une volonté effectivement, de rester une petit fille/princesse désexualisée, comme si la puberté n’avait jamais eu lieu, à être maintenu dans la période de latence des 5-12 ans environ (Françoise Dolto).
C’est très bizarre, et finalement purement individualiste-consumériste-surréaliste.
”’Violences sexuelles: 81% des victimes sont des mineurs, 94% des agresseurs sont des proches, selon une enquête soutenue par l’UNICEF”’ : https://www.huffingtonpost.fr/2015/03/01/violences-sexuelles-victimes-mineurs-agresseurs-proches-enquete-unicef_n_6751902.html
Cela signifie que la psychose collective, hystérie de masse, est surfaite. D’ailleurs, si on fait le calcul morbide : 1 femme mourant tous les 3 jours sous les coups de son mauvais conjoint, cela fait moins de 150 femmes par ans, c’est-à-dire (rapporté à la population française de 25.000.000 d’hommes de +15 ans), une chance infime de mourir sous les coups de son conjoint, de l’ordre de 0,000…%. C’était évidemment sans parler des violences conjugales contre les hommes (1/4 des violences totales enregistrées). Mais il faut savoir que les hommes se suicidant beaucoup plus que les femmes, on pourrait envisager que certains s’y sentent acculés sous le coup de leur mauvaise conjointe. Et c’était sans parler du Center for Disease Control étasunien, enregistrant proportionnellement plus de violences conjugales dans les couples lesbiens ; viennent ensuite les couples mixtes, et seulement enfin les couples gays. Ce qui signifie donc que les femmes ne sont pas en reste de provocations et d’agressions, mais qu’au final on se tourne toujours vers celui qui en moyenne – ou du moins selon des préjugés – tape le plus fort.
A partir de là, le féminisme actuel charrie.