Simple question de clarification, je ne comprends pas bien le lien entre une “enquête sur le travail réel” des animateurs et l’utilisation d’un questionnaire. Est-il préalable et exploratoire ou sera-t-il le principal outil de recueil de données ?
Différemment, j’ai du mal à faire un lien entre les questions posées et les pratiques réelles que mettraient en place (ceux qui répondent) en situation sans les observer directement. 😕
Il me vient en mémoire l’atelier de Wittorski (Biennale du CNAM, atelier n°5) qui me renvoie à la recherche qu’il faisait mener à une étudiante à qui il demandait d’observer et d’interviewer des personnes en poste dont l’expérience est plus ou moins grande (dans la logique ‘ancien-nouveau’ et pour creuser ce processus de professionnalisation).
Bref. Comme je suis curieux, il me manque quelques précisions sur tes choix théoriques… En retour, je veux bien prendre le temps de répondre. 😀
De façon plus personnelle, le “débat” de la professionnalisation en animation est… ancestral depuis les années 1980 (cf. Poujol, Besnard et d’autres) mais je lui préfère le terme de “métier”, bien plus ‘vivant’. Notamment dans la démarche poursuivie par Claudia Della Croce, Joëlle Libois, Rima Mawad dans “Animation socioculturelle – Pratiques multiples pour un métier complexe” (édité par là).