Plan vigipirate et CVL
Les mesures suivantes doivent ĂȘtre respectĂ©es :
* Accueil des visiteurs : Le niveau rouge prĂ©voit notamment un filtrage Ă l’entrĂ©e des bĂątiments publics : l’identitĂ© des personnes doit ĂȘtre connue. Soyez attentif aux personnes pĂ©nĂ©trant dans votre structure.
* Fermeture des locaux : en dehors des pĂ©riodes de permanence physique Ă l’accueil, vos portes d’entrĂ©e seront systĂ©matiquement fermĂ©es Ă clĂ©. Pensez Ă©galement Ă sĂ©curiser vos structures en fermant, le soir, les volets dans l’ensemble des bureaux.
* Information – communication : Rappel, les numĂ©ros d’appel tĂ©lĂ©phonique d’urgence sont les suivants :
+ SAMU : 15
+ POLICE : 17
+ POMPIERS : 18
D’une façon gĂ©nĂ©rale, il appartient Ă chacun de signaler tout objet suspect ou toute personne dont le comportement serait Ă©trange, dans les meilleurs dĂ©lais.
* CLSH – CVL : Les organisateurs de centres de vacances et des centres de loisirs doivent naturellement apporter la plus grande vigilance quant Ă la mise en Ćuvre des dispositions habituelles de sĂ©curitĂ©, notamment lors des regroupements, visites, participations aux manifestations locales, dĂ©placements. L’Ă©quipe d’encadrement devra s’assurer qu’aucun paquet suspect ne se trouve Ă l’intĂ©rieur des soutes ou des casiers Ă bagages et donnera pour consigne aux enfants de surveiller leurs bagages. Comme les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, le bureau des centres de vacances et de loisirs est Ă votre disposition et a mis en place en place :
o une permanence téléphonique« été CVL »
au numéro suivant 01-40-45-93-11.
o dans chaque département, vous pouvez également contacter la DDJS ou la DRDJS.
* S’agissant des sĂ©jours Ă l’Ă©tranger, il convient d’aller s’informer rĂ©guliĂšrement sur le site du ministĂšre des affaires Ă©trangĂšres www.france.diplomatie.fr qui donne des informations et des recommandations concernant les dĂ©placements hors du territoire français.
* “Aucune mesure de restriction pour les transports d’enfants n’est Ă l’ordre du jour”.
* “S’agissant des grands Ă©vĂšnements sportifs et de jeunesse, il appartient au prĂ©fĂ©t, en fonction de la situation locale, d’en autoriser ou non la tenue.”