Les repas échelonnés

  • Ce sujet contient 82 réponses, 27 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par solleana, le il y a 8 années et 4 mois.
20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 83)
  • Auteur
    Messages
  • #141183
    Simon
    Administrateur
      @simon

      Solleana,

      1/Je ne fais pas de direction, mais participe en tant qu’animateur à la conception de nos “projets de vie”;
      2/Il s’agit d’un projet de fonctionnement. L’organisateur ne participer pas à sa rédaction. Même si bien sûr le projet est en adéquation avec leur projet éducatif. Ce repas échelonné ne se retrouve donc pas forcément sur d’autres centres du même organisateur et n’est pas systématique d’une session à l’autre ;
      3/L’organisme est : Mairie de Saint-Denis. La classe internationale en terme d’orientations éducatives.

      #141214
      solleana
        @solleana

        Avec quel organisme mets tu ça en place?
        Est ce ta volonté en tant que directeur ou est global au niveau de l’organisateur?

        #141249
        Simon
        Administrateur
          @simon

          Je ne sais pas ce qu’est un “effectif convivial”.

          Je l’ai réalisé avec des groupes de 40 à 80 enfants.

          Mais peut être qu’effectivement qu’avec un groupe de 20 enfants, la question n’a pas besoin de se poser. J’ai fait un séjour avec 10 enfants, je n’y ai même pas pensé.

          #141250
          crevette76
          Administrateur
            @crevette76

            Alors donc les avantages majeurs seraient :
            * réduction de l’effectif mangeant synchro, donc plus de confort pendant le repas (bruit etc)
            * coup de feu moindre pour le perso
            * souplesse dans la fin d’une acti ?

            Alors si j’ai une colo avec un effectif déjà convivial… est-ce encore intéressant de mettre en place un repas échelonné ?

            #141255
            Simon
            Administrateur
              @simon

              Salut,

              Je pratique aussi le repas échelonné. Et effectivement, il est encore moins compris par les animateurs que le lever individualisé et donc beaucoup moins répandu. Pourtant il est tout aussi légitime et tout aussi intéressant. Il procure des avantages et pour les adultes et pour les enfants.

              De mon côté, le repas échelonné commence à midi. Cependant, il y a une règle pour nous, c’est le service à la tablée. C’est à dire qu’il n’est pas possible qu’un enfant vienne manger seul. Le service est assuré par le PS qui commence à servir donc quand une table est remplie. Un roulement d’animateurs permet d’assurer la bonne continuité du repas et du début du temps de l’après-midi. A 12h45, les enfants qui n’ont pas encore mangé, viennent rejoindre la salle à manger.

              Autre chose, l’accent est aussi mis sur l’aménagement et le service pour faire d’une “cantine” un vrai restaurant et donc un instant “plaisant” et “convivial”. Nous disposons d’une belle vaisselle. C’est peut être idiot, mais pas tant que ça. La nourriture est de qualité, la plupart du temps bio. Les plats sont préparés sur place. Chaque table se réserve le droit si elle le souhaite de se déplacer dehors sur une table extérieure. A charge pour l’animateur d’en assurer le service.

              Les conséquences, nous n’avons jamais de problème de bruit. Le repas est convivial puisqu’il y a existence de groupe, la table. Pas de système de self. On est servi, c’est agréable. Par contre on participe au repas, en débarrassant et en nettoyant la table. Et pour les volontaires, en assurant le service. Ils mangeront alors en fin de service.

              #143056
              Ady
                @ady

                moilapa a écrit:

                Et donc ? Faut-il imposer ton “mauvais rythme perso aux enfants” ?

                Euh gna!
                Reconnaitre avoir un mauvais rythme ne veut pas dire vouloir le transmettre à d’autre.
                Un raccourcis un peu rapide, decevant 🙁

                Si je suis comme ça, je suppose que d’autres enfants le sont. Donc je veux pas leur imposer quelque chose qui m’a bloqué par la suite.

                Ca, c’est un drôle de fonctionnement !!!
                Le problème est peut-être alors de faire un travail sur toi, et non de reporter sur les enfants les possibles difficultés de ton enfance.
                Le problème n’est pas dans le fait d’avoir des temps de repas “posés”, mais dans le fait de ne pas en avoir (pas de repère, etc.. je ne vais pas redire ce que j’ai écrit dans le post précédent)
                Celui de travailler sur ce qui “t’a bloqué ” en essayant de ne pas le reproduire, et non de rejeter toute forme de bon sens concernant les repas.

                Ce qui pourrait “bloquer” un enfant, ce n’est pas le fait d’avoir des repères concernant les repas, mais dans la violence par exemple des adultes qui imposent sans expliquer, qui hurlent à table, …
                Et sur ça oui, on peut avoir une action.

                Je commence déjà à travailler sur moi, mais j’ai du mal. J’ai encore du chemin à faire.

                Petit, quand je n’avais pas envie de finir mon assiette, on m’obligeait à rester devant parfois jusqu’à 16h. Est-ce ça, ou en partie ça…? bref.
                Donc oui, j’ai peur, en obligeant un enfant à respecter le rythme, qu’il devienne comme moi.
                Faut que je dépasse ce raisonnement ‘égoiste’.

                Comme tu dis, à partir du moment où les repères sont expliqués, ce n’est plus la même situation, c’est vrai. Faudrait-il encore que je sache l’expliquer… A réfléchir.

                #143059
                moilapa
                  @moilapa

                  Comme je l’ai dis, je suis mal placé pour parler de la bouffe. J’ai un mauvais rythme perso.

                  Et donc ? Faut-il imposer ton “mauvais rythme perso aux enfants” ?

                  Si je suis comme ça, je suppose que d’autres enfants le sont. Donc je veux pas leur imposer quelque chose qui m’a bloqué par la suite.

                  Ca, c’est un drôle de fonctionnement !!!
                  Le problème est peut-être alors de faire un travail sur toi, et non de reporter sur les enfants les possibles difficultés de ton enfance.
                  Le problème n’est pas dans le fait d’avoir des temps de repas “posés”, mais dans le fait de ne pas en avoir (pas de repère, etc.. je ne vais pas redire ce que j’ai écrit dans le post précédent)
                  Celui de travailler sur ce qui “t’a bloqué ” en essayant de ne pas le reproduire, et non de rejeter toute forme de bon sens concernant les repas.

                  Ce qui pourrait “bloquer” un enfant, ce n’est pas le fait d’avoir des repères concernant les repas, mais dans la violence par exemple des adultes qui imposent sans expliquer, qui hurlent à table, …
                  Et sur ça oui, on peut avoir une action.

                  #143065
                  Ady
                    @ady

                    moilapa a écrit:
                    Donc ce n’est pas un système “Où on y bouffe à l’heure qu’on veut !”
                    A moins de n’avoir aucune notion s’agissant de nutrition, en tant qu’animateur enfants, on ne peut décemment adhérer à ce genre d’idée.

                    […]

                    Une “instance supérieure” ? Le fonctionnement de notre corps.

                    Comme je l’ai dis, je suis mal placé pour parler de la bouffe. J’ai un mauvais rythme perso. On m’a tellement fait chier avec quand j’étais gosse que je n’y trouve pas de plaisir. Subjectivité qui doit surement influencer/tronquer mon point de vu. Je le reconnais.

                    Si je suis comme ça, je suppose que d’autres enfants le sont. Donc je veux pas leur imposer quelque chose qui m’a bloqué par la suite.
                    Mais est-ce la bonne solution ? Est-ce que ça ne peut pas mener au même résultat finalement ?

                    (merci, c’est grace à vous que je me pose cette dernière question, ce n’est pas forcément en faisant l’inverse qu’on obtient l’inverse ^^)

                    Par contre, pendant les vacances (je dis bien pendant les vacances), le fonctionnement de mon corps n’a pas le même rythme qu’en périodre hors-vacances. Je vais parfois avoir faim à 12h, parfois à 15h… Parfois ma vie est décalée de 5 heures avec “la moyenne”, disons que je vis beaucoup la nuit. Mais c’est les vacances, je peux me le permettre et ça me fait plaisir, j’en profite.

                    solleana a écrit:
                    Des petites tables, des petits groupes, les enfants qui choississent d’eux-même avec qui ils ont envie de manger ce n’est pas envisageable?

                    Je n’ai fermé aucune solutions. Evidemment oui, et heureusement !

                    solleana a écrit:
                    Donc les anim’s “pointent” les enfants qui mangent? Sinon je ne vois pas comment on peut être sur de ne pas passer à côté de la petite anorexique ou du petit bout de nerf qui se nourrit de stress..
                    Assez paradoxal nan? C’est finalement pas si libre comme système, d’autant plus que l’instance supreme que tu décries dans un premier temps à 15h se réveille aussi dans ce cas de figure et de manière répréssive “il faut manger maintenant” contrairement au fonctionnement où les horaires de repas sont établies et claires

                    (Je ne parle evidemment pas du petit déjeuner qui pour le coup lui se doit d’être échelonné pour respecter le cycle de sommeil de chaque enfant)

                    Oui, les enfants sont suivis par un listing. Histoire de ne pas passer à côté de ce que tu décris.
                    La ‘L’iberté n’existe pas. Mais il existe la liberté, ensemble de libertés. Donc pas de système ‘L’ibre, mais avec davantage de libertés, si.
                    J’ai pas la prétention de vivre dans une utopie hein 😉

                    solleana a écrit:
                    C’est le problème de la maison de Courcelles que je trouve assez individualiste dans le fond.
                    Il y a des pratiques intéressantes mais il y a une forme de paroxysme du choix de l’individu. On y évoque jamais les conseils d’enfants, les réunions quotidiennes simplement des espaces où les gosses vont et viennent pour choisir une activité et c’est cela qui me pose problème.
                    De même on évoque pas les problèmes qui peuvent survenir dans le groupe, peut être n’y en a t il pas tellement les gosses finissent par vivre au sein de la même colo dans des mondes différents.
                    Ce qui semble importer à Courcelles c’est que l’individu s’éclate (ce qui est déjà pas mal) mais il y manque à mon avis la confrontation nécessaire avec le collectif. le but des colos et de tout acte éducatif est bien que l’individu puisse se réaliser au sein d’un collectif, pas que des individus vivent sans lien réciproques avec des règles qui resteront finalement élaborées non par eux mais par une puissance extérieure qui est celle de l’adulte.

                    J’aime beaucoup et je te rejoins sur plusieurs points.
                    Je ne parlerai pas d’invidualisme, mais de respect de l’individualité.
                    C’est vrai que je trouve que la coopération (conseils, …) est un gros manque (mais ils le font peut être, je ne connais pas tout de Courcelles). Ils le font surement en partie, au moins dans certains jeux, mais peut être pas assez ?
                    L’individualité ne pose aucun problème, au contraire, si elle va de paire avec la coopération, la solidarité, … L’individualisme n’apparait que lorsque ces derniers aspects sont occultés.

                    #143069
                    solleana
                      @solleana

                      C’est le problème de la maison de Courcelles que je trouve assez individualiste dans le fond.
                      Il y a des pratiques intéressantes mais il y a une forme de paroxysme du choix de l’individu. On y évoque jamais les conseils d’enfants, les réunions quotidiennes simplement des espaces où les gosses vont et viennent pour choisir une activité et c’est cela qui me pose problème.
                      De même on évoque pas les problèmes qui peuvent survenir dans le groupe, peut être n’y en a t il pas tellement les gosses finissent par vivre au sein de la même colo dans des mondes différents.
                      Ce qui semble importer à Courcelles c’est que l’individu s’éclate (ce qui est déjà pas mal) mais il y manque à mon avis la confrontation nécessaire avec le collectif. le but des colos et de tout acte éducatif est bien que l’individu puisse se réaliser au sein d’un collectif, pas que des individus vivent sans lien réciproques avec des règles qui resteront finalement élaborées non par eux mais par une puissance extérieure qui est celle de l’adulte.

                      #143070
                      solleana
                        @solleana

                        Libertaire a écrit:
                        Une “instance supérieure” doit t’imposer une heure pour faire une grande bouffe avec d’autres ?

                        Je pense que tu peux m’épargner ta vision simpliste d’une philosophie libertaire tronquée

                        Ou tu peux te l’imposer tout-e seul-e avec ceux-celles qui veulent sur le moment ? On peut aussi organiser de temps en temps un grand diner avec tout le monde. Aux enfants de découvrir ce qu’ils préfèrent.
                        Echanger avec les copain-ines et tripper ensemble ? Se prendre la tete à chaque repas avec un tel ? Manger dans son coin sans parler ? Organiser tous les soirs un grand banquet avec tou-te-s ?

                        Libres enfants de Summerhill montre parfaitement la nécessité des règles dans une vie de groupe et dans le travail éducatif
                        Pourquoi parler de banquet? Des petites tables, des petits groupes, les enfants qui choississent d’eux-même avec qui ils ont envie de manger ce n’est pas envisageable?
                        Pourquoi sombrer dans la caricature?

                        Après, il y a un roulement d’anim et le repas est accessible entre 11 et 15h si je me souviens bien. Alors quand je disais à l’heure qu’on veut, je faisais un raccourcis.
                        Parce que vers 14h, les anim’ font le tour de ceux-celles qui n’ont pas encore manger pour veiller à ce que certain-e-s n’oublient pas ^^

                        Donc les anim’s “pointent” les enfants qui mangent? Sinon je ne vois pas comment on peut être sur de ne pas passer à côté de la petite anorexique ou du petit bout de nerf qui se nourrit de stress..
                        Assez paradoxal nan? C’est finalement pas si libre comme système, d’autant plus que l’instance supreme que tu décries dans un premier temps à 15h se réveille aussi dans ce cas de figure et de manière répréssive “il faut manger maintenant” contrairement au fonctionnement où les horaires de repas sont établies et claires

                        (Je ne parle evidemment pas du petit déjeuner qui pour le coup lui se doit d’être échelonné pour respecter le cycle de sommeil de chaque enfant)

                        #143087
                        papiles
                          @papiles

                          Après, il y a un roulement d’anim et le repas est accessible entre 11 et 15h si je me souviens bien. Alors quand je disais à l’heure qu’on veut, je faisais un raccourcis.
                          Parce que vers 14h, les anim’ font le tour de ceux-celles qui n’ont pas encore manger pour veiller à ce que certain-e-s n’oublient pas

                          La je comprends mieux. Effectivement ces pratiques sont possibles, mais pour respecter un certain équilibre nutritionnel, il ne faut pas trop élargir l’éventail des horaires. Pour les repas où je l’ai pratiqué j’allais de 11h à 14H.
                          Apres pour les anims, c’est avant tout une question d’organisation.
                          Cela se fait couramment pour le lever et le petit déjeuner écelonné.

                          #143097
                          moilapa
                            @moilapa

                            Donc ce n’est pas un système “Où on y bouffe à l’heure qu’on veut !”
                            A moins de n’avoir aucune notion s’agissant de nutrition, en tant qu’animateur enfants, on ne peut décemment adhérer à ce genre d’idée.

                            Face à une épidémie inquiétante (1 enfant sur 5 en surpoids) on peut se poser des questions (sans même parler des multiples effets sur la santé, mais des effets sur la place de cet enfant obèse parmi les autres, l’image qu’il renvoye à lui-même en premier lieu, la vie qu’il va mener avec ce handicape social, l’infuence que ça va avoir sur toute sa vie)

                            Essayer de savoir si on peut avoir une action sur ce fléau auprès des enfants. S’interroger sur certaines des causes de cette épidémie et essayer de ne pas les reproduire sur le centre. Surtout si l’on travaille auprès d’enfants de milieux défavoriés les plus touchés par cette épidémie, parce que les parents eux-mêmes n’ont pas ces repères nécessaires.

                            Il est important dans ce domaine de donner aux enfants les habitudes qui vont devenir ensuite pour eux des évidences. comme de manger à heures fixes, d’éviter le phénomène de grignotage qui est à l’opposée de cette idée (manger quand on veut, comme tu le présentes), et surtout de prendre le temps de manger (l’impression de sasiété n’arrive qu’au bout de 15 ou 20 mn !!! )

                            Se prendre la tete à chaque repas avec un tel ?
                            A l’animateur de faire son boulot à ce niveau là. De faire du repas un temps convivial.

                            Vouloir donner aux enfants un accés aux décisions, ce n’est pas faire n’importe quoi, aller vers un “chacun fait ce qu’il veut”, surtout dans un domaine où la situation est plus qu’inquiétante. C’est prendre le temps de manger avec eux dans un créneau donné raisonnable (le repas de midi qui peut être pris jusqu’à 15 h me semble une érésie) , prendre le temps de leur expliquer ce que peut être “bien manger”. C’est être des adultes responsables.
                            Si la journée de l’enfant n’est pas faite d’accidents (grignotage à 10 ou 11h le matin, position assise toute la matinée…) il aura normalement faim quand arrivera midi, midi et demi, 1 heure…

                            Une “instance supérieure” ? Le fonctionnement de notre corps.

                            #143103
                            Ady
                              @ady

                              Une “instance supérieure” doit t’imposer une heure pour faire une grande bouffe avec d’autres ? Ou tu peux te l’imposer tout-e seul-e avec ceux-celles qui veulent sur le moment ? On peut aussi organiser de temps en temps un grand diner avec tout le monde. Aux enfants de découvrir ce qu’ils préfèrent.
                              Echanger avec les copain-ines et tripper ensemble ? Se prendre la tete à chaque repas avec un tel ? Manger dans son coin sans parler ? Organiser tous les soirs un grand banquet avec tou-te-s ?

                              Après, il y a un roulement d’anim et le repas est accessible entre 11 et 15h si je me souviens bien. Alors quand je disais à l’heure qu’on veut, je faisais un raccourcis.
                              Parce que vers 14h, les anim’ font le tour de ceux-celles qui n’ont pas encore manger pour veiller à ce que certain-e-s n’oublient pas ^^

                              #143105
                              solleana
                                @solleana

                                Dans ce système comment faire du repas un moment d’échange et de convivialité? Comment ne pas reproduire le schéma de beaucoup de familles où chacun pioche dans le frigo sans espace de discussion et de rencontre? Et comment se passe le roulement des anim’s? Y en a un qui passe sa journée à table?

                                #143108
                                Ady
                                  @ady

                                  Sur quels points ?

                                  Tout le monde ne déjeune pas à la même heure le matin. Chacun gère son rythme selon ses propres besoins.
                                  Le risque, c’est que les enfants ne passe que 5min à manger… mais c’est alors le rôle des anim’ de leur faire apprécier les plaisirs de la tablée.
                                  Moi je suis mal placé par contre 😡

                                  #143109
                                  moilapa
                                    @moilapa

                                    Où on y bouffe à l’heure qu’on veut !

                                    Je suis pas certain que cela soit une avancée…

                                    #143113
                                    Utilisateur anonyme 37304
                                      @utilisateur-anonyme-37304

                                      Je vais essayer de récupérer un exemplaire de ce DVD, je verrai si je peux le mettre en ligne et/ou en faire des copies à la demande.

                                      #143118
                                      Ady
                                        @ady

                                        Je ne la trouve pas en tous cas.
                                        J’espère pouvoir amener d’autres documents un jour ou l’autre avec des précisions sur l’orga…

                                        #143124
                                        solleana
                                          @solleana

                                          Cette vidéo est elle disponible en ligne?

                                          #143168
                                          Ady
                                            @ady

                                            Tiens, personne n’a parlé de La Maison de Courcelles ?
                                            (pédagogie de la liberté, autogestionnaire)

                                            Où on y bouffe à l’heure qu’on veut !

                                            Sinon, l’ufcv a une vidéo de présentation du centre, et une petite interview de la cuisto sur l’organisation, qui fait la cuisine avec les enfants d’ailleurs ^^

                                            Pendant les vacances, même nous (enfin pas tou-te-s non plus je suppose), on ne mange pas toujours à la même heure. C’est selon nos envies, nos occupations, … notre estomact n’est pas aussi agressif que lorsqu’on travaille ^^ donc pour les enfants, ça me parait carrément légitime et juste.

                                            Ce qui n’empêche pas de se syncroniser avec plein de gens pour faire une grosse tablée bien conviviable, chaleureuse, vivante, amusante, … 😉

                                          20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 83)
                                          • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
                                          3
                                          0
                                          color
                                          https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                          https://archive.planetanim.fr/
                                          #febf42
                                          style1
                                          paged
                                          Chargement en cours
                                          #
                                          on
                                          none
                                          loading
                                          #
                                          Trier la galerie
                                          https://archive.planetanim.fr/wp-content/themes/blake/
                                          on
                                          yes
                                          yes
                                          off
                                          off
                                          off