merci à la jeune lalune pour ce témoignage touchant.
Nous changeons maintenant de génération et nous partons de ce pas interroger la mémoire vivante du petit village de nébouchez-sur-mer, dans l’Ouest de la France.
– Madame situlapasdemainj’teniktarace, puis-je vous appeler Situla ?
– oh oui oui, bien sûr. Ici, tout le monde m’appelle ainsi, ou tante’mo, ou encore mo’mo
– hum… ok. Vous êtes donc la mémoire vivante de nébouchez. On dit de vous que vous avez côtoyé une bonne centaine de générations. Mais alors on se pose la question : quel âge avez-vous madame mo’mo ??
– oh, v’savez, je vous trouve bien impoli petit mouflet. C’est quoi ces manières ? Parlez-moi plutôt de mon chat ou de ma machine à coudre, arrêtez de m’embêter avec mon grand âge…
– hum… toutes mes excuses. C’est que la liberté de thon n’était pas la même avec l’invitée précédente. Parlez-nous justement de cette nouvelle génération, comment la décrivez-vous ? Vous fait-elle peur ?
– oh, pouah. Boarf. Humpf…? rrrrrrrrr (chat qu’est passé de la machine à la gorge). Bah non. Ils sont juste cons. Ils s’intéressent aux poupées passé 22 ans. A notre époque, c’était 20 ans plus tôt. Et en même temps, pour d’autre choses, ils perdent pas d’temps si vous voyez c’que j’veux dire, jeune mouflet.
– heu, tout à fait… Bon, c’est pas qu’on s’en branle, mais faut qu’on rende l’antenne m’dame mo’mo. Merci également à vous pour ce témoignage poignant. A très bientôt j’espère m’dame mo’… madame mo’mo ? Ca n’va pas ? Madame mo’mo !!
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